Avant, nos enfants étaient rêveurs, dans la lune, turbulents... Aujourd'hui, ils sont "hyperactifs" , "dyspraxiques" , "dyscalculiq ues" , "dysorthographiques" , quand ils n'ont pas un "trouble du comportement" ou un autre trouble psy plus grave. Qu'est-ce que cela dit de notre société ? Et surtout, est-ce qu'apposer de tels diagnostics permet d'apaiser la tristesse, la colère, l'inquiétude, l'autodéception, la culpabilité liées aux difficultés rencontrées ? Pas sûr.
Deux cliniciens tirent le signal d'alarme et proposent une approche plus écologique : "Soignons les relations, pas les enfants ! " Ils nous expliquent comment, en tant que parents ou professionnels de l'enfance, nous pouvons changer de regard. Grâce à des clés concrètes issues de leur pratique de la thérapie brève, ils nous proposent d'aider les enfants à trouver la meilleure façon de résoudre les problèmes qu'ils vont immanquablement rencontrer.
En les accompagnant pour qu'ils puisent dans leurs propres ressources.
Avant, nos enfants étaient rêveurs, dans la lune, turbulents... Aujourd'hui, ils sont "hyperactifs" , "dyspraxiques" , "dyscalculiq ues" , "dysorthographiques" , quand ils n'ont pas un "trouble du comportement" ou un autre trouble psy plus grave. Qu'est-ce que cela dit de notre société ? Et surtout, est-ce qu'apposer de tels diagnostics permet d'apaiser la tristesse, la colère, l'inquiétude, l'autodéception, la culpabilité liées aux difficultés rencontrées ? Pas sûr.
Deux cliniciens tirent le signal d'alarme et proposent une approche plus écologique : "Soignons les relations, pas les enfants ! " Ils nous expliquent comment, en tant que parents ou professionnels de l'enfance, nous pouvons changer de regard. Grâce à des clés concrètes issues de leur pratique de la thérapie brève, ils nous proposent d'aider les enfants à trouver la meilleure façon de résoudre les problèmes qu'ils vont immanquablement rencontrer.
En les accompagnant pour qu'ils puisent dans leurs propres ressources.