Latiniste Agrégé de grammaire, docteur ès lettres Directeur d'études à l'Ecole pratique des Hautes études (1954-1978), directeur de la "Revue de philologie" (1966-1980).
L'alimentation et la cuisine à Rome
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.43 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-251-32875-1
- EAN9782251328751
- Date de parution01/06/2009
- CollectionEtudes anciennes
- ÉditeurBelles Lettres
Résumé
On connaît beaucoup de choses sur la civilisation romaine mais ce sont souvent les aspects les plus concrets que nous connaissons le moins. Une question aussi triviale que celle de savoir comment les Romains se nourrissaient n'entrait pas dans les préoccupations des auteurs et même, si nous nous tournons vers la littérature, nous risquons d'avoir une idée fausse de la cuisine romaine. Le festin de Trimalcion, dans le Satiricon de Pétrone, est une orgie qui n'a rien à voir avec les repas habituels des Romains et le seul livre de recettes que nous ayons, celui d'Apicius, privilégie les mets rares et recherchés.
C'est pourquoi Jacques André, en philologue minutieux, a-t-il glané à travers l'ensemble de la littérature antique les renseignements sur ce que, concrètement, le Romain de base était susceptible de manger. Seul un érudit de la classe de celui qui, jusqu'à sa disparition en 1994, forma, par son enseignement à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, des générations de latinistes à la lecture et à l'édition des textes était capable de constituer une telle somme.
C'est pourquoi Jacques André, en philologue minutieux, a-t-il glané à travers l'ensemble de la littérature antique les renseignements sur ce que, concrètement, le Romain de base était susceptible de manger. Seul un érudit de la classe de celui qui, jusqu'à sa disparition en 1994, forma, par son enseignement à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, des générations de latinistes à la lecture et à l'édition des textes était capable de constituer une telle somme.
On connaît beaucoup de choses sur la civilisation romaine mais ce sont souvent les aspects les plus concrets que nous connaissons le moins. Une question aussi triviale que celle de savoir comment les Romains se nourrissaient n'entrait pas dans les préoccupations des auteurs et même, si nous nous tournons vers la littérature, nous risquons d'avoir une idée fausse de la cuisine romaine. Le festin de Trimalcion, dans le Satiricon de Pétrone, est une orgie qui n'a rien à voir avec les repas habituels des Romains et le seul livre de recettes que nous ayons, celui d'Apicius, privilégie les mets rares et recherchés.
C'est pourquoi Jacques André, en philologue minutieux, a-t-il glané à travers l'ensemble de la littérature antique les renseignements sur ce que, concrètement, le Romain de base était susceptible de manger. Seul un érudit de la classe de celui qui, jusqu'à sa disparition en 1994, forma, par son enseignement à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, des générations de latinistes à la lecture et à l'édition des textes était capable de constituer une telle somme.
C'est pourquoi Jacques André, en philologue minutieux, a-t-il glané à travers l'ensemble de la littérature antique les renseignements sur ce que, concrètement, le Romain de base était susceptible de manger. Seul un érudit de la classe de celui qui, jusqu'à sa disparition en 1994, forma, par son enseignement à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, des générations de latinistes à la lecture et à l'édition des textes était capable de constituer une telle somme.