Une certaine épistémologie de la psychanalyse

Par : Claude Maritan, Renée Fraysse-Maritan
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 1 juillet et le 8 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et sera expédié 6 à 12 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages198
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.283 kg
  • Dimensions14,9 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN979-10-91218-08-5
  • EAN9791091218085
  • Date de parution12/12/2013
  • ÉditeurLa Pensée Vagabonde

Résumé

Partant de l'ordinaire du psychanalyste, dans son métier quotidien, ce texte envisage la connaissance de l'inconscient, les conditions de sa possibilité, la nature de ce qu'elle révèle, et les problèmes de sa théorisation. Nous y rencontrons l'écart irréductible entre le point de vue de l'analyste et celui de l'analysant, la différence entre théorie et témoignage, et surtout l'outil de cette connaissance qui est l'inconscient du psychanalyste lui-même.
L'essentiel de l'épistémologie de cette discipline concernera donc ce praticien et tout ce qui l'autorise à laisser advenir l'inconscient d'autrui à des fins soignantes, sans que ce soit de l'inquisition, de la direction de conscience, de la pédagogie ni du saccage colonisateur. Quant aux conséquences pour la théorie, deux seront mises en avant : d'une part l'impossibilité de faire une théorie unifiée d'un inconscient qui, lui, ne l'est jamais, et d'autre part l'impossibilité de donner sur l'affectif et le libidinal un seul point de vue, masculin ou féminin, car les deux doivent coexister, s'entretisser et se répondre.
La préface écrite par Marc Bonnet a pu lui être lue avant sa mort. En postface : Deux psychanalystes de générations différentes, Lucien Mélèse et Jean Peuch-Lestrade connaissant Claude et Renée Maritan ont accepté de donner leurs avis sur le document des auteurs ouvrant et poursuivant le débat.
Partant de l'ordinaire du psychanalyste, dans son métier quotidien, ce texte envisage la connaissance de l'inconscient, les conditions de sa possibilité, la nature de ce qu'elle révèle, et les problèmes de sa théorisation. Nous y rencontrons l'écart irréductible entre le point de vue de l'analyste et celui de l'analysant, la différence entre théorie et témoignage, et surtout l'outil de cette connaissance qui est l'inconscient du psychanalyste lui-même.
L'essentiel de l'épistémologie de cette discipline concernera donc ce praticien et tout ce qui l'autorise à laisser advenir l'inconscient d'autrui à des fins soignantes, sans que ce soit de l'inquisition, de la direction de conscience, de la pédagogie ni du saccage colonisateur. Quant aux conséquences pour la théorie, deux seront mises en avant : d'une part l'impossibilité de faire une théorie unifiée d'un inconscient qui, lui, ne l'est jamais, et d'autre part l'impossibilité de donner sur l'affectif et le libidinal un seul point de vue, masculin ou féminin, car les deux doivent coexister, s'entretisser et se répondre.
La préface écrite par Marc Bonnet a pu lui être lue avant sa mort. En postface : Deux psychanalystes de générations différentes, Lucien Mélèse et Jean Peuch-Lestrade connaissant Claude et Renée Maritan ont accepté de donner leurs avis sur le document des auteurs ouvrant et poursuivant le débat.