René Rémond et Nanterre, les enfantements de 68. Contribution à l'histoire d'un universitaire et d'une université iconiques (1968-1976)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juilletCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- Poids0.692 kg
- Dimensions17,0 cm × 23,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-35687-461-0
- EAN9782356874610
- Date de parution22/06/2016
- CollectionDocuments
- ÉditeurLe Bord de l'eau
Résumé
Mettre en couple, sous les auspices de Mai 68, "Nanterre la rouge" avec l'auteur de La Droite en France, dépeint par certains comme un intellectuel de gouvernement bien éloigné des combats de gauche, et supposer qui plus est que leur rapprochement a été fécond, pourra paraître comme une provocation. L'auteur cherche à convaincre le lecteur qu'il n'en est rien. Bien que cet aspect de sa vie soit tombé dans l'oubli, René Rémond a fait partie des enseignants modérés qui, au lieu de déserter l'Université au moment de 68, s'y sont engagés, aux côtés des étudiants réformistes, pour la transformer.
Cet investissement l'a conduit à prendre des responsabilités de plus en plus importantes à Nanterre, dans une période où les campus universitaires servaient de "terrains de jeu" aux groupuscules radicaux. En mobilisant et en croisant de nombreuses archives (celles de René Rémond, celles de l'université de Nanterre, celles des sphères gouvernementales), en recueillant les témoignages des acteurs de cette époque, l'auteur nous offre un récit vivant et vrai des destins entremêlés d'un universitaire et d'une université.
Au-delà de René Rémond et de Nanterre, c'est l'ambiance bouillonnante et créative des "années 68" qui est ici restituée.
Cet investissement l'a conduit à prendre des responsabilités de plus en plus importantes à Nanterre, dans une période où les campus universitaires servaient de "terrains de jeu" aux groupuscules radicaux. En mobilisant et en croisant de nombreuses archives (celles de René Rémond, celles de l'université de Nanterre, celles des sphères gouvernementales), en recueillant les témoignages des acteurs de cette époque, l'auteur nous offre un récit vivant et vrai des destins entremêlés d'un universitaire et d'une université.
Au-delà de René Rémond et de Nanterre, c'est l'ambiance bouillonnante et créative des "années 68" qui est ici restituée.
Mettre en couple, sous les auspices de Mai 68, "Nanterre la rouge" avec l'auteur de La Droite en France, dépeint par certains comme un intellectuel de gouvernement bien éloigné des combats de gauche, et supposer qui plus est que leur rapprochement a été fécond, pourra paraître comme une provocation. L'auteur cherche à convaincre le lecteur qu'il n'en est rien. Bien que cet aspect de sa vie soit tombé dans l'oubli, René Rémond a fait partie des enseignants modérés qui, au lieu de déserter l'Université au moment de 68, s'y sont engagés, aux côtés des étudiants réformistes, pour la transformer.
Cet investissement l'a conduit à prendre des responsabilités de plus en plus importantes à Nanterre, dans une période où les campus universitaires servaient de "terrains de jeu" aux groupuscules radicaux. En mobilisant et en croisant de nombreuses archives (celles de René Rémond, celles de l'université de Nanterre, celles des sphères gouvernementales), en recueillant les témoignages des acteurs de cette époque, l'auteur nous offre un récit vivant et vrai des destins entremêlés d'un universitaire et d'une université.
Au-delà de René Rémond et de Nanterre, c'est l'ambiance bouillonnante et créative des "années 68" qui est ici restituée.
Cet investissement l'a conduit à prendre des responsabilités de plus en plus importantes à Nanterre, dans une période où les campus universitaires servaient de "terrains de jeu" aux groupuscules radicaux. En mobilisant et en croisant de nombreuses archives (celles de René Rémond, celles de l'université de Nanterre, celles des sphères gouvernementales), en recueillant les témoignages des acteurs de cette époque, l'auteur nous offre un récit vivant et vrai des destins entremêlés d'un universitaire et d'une université.
Au-delà de René Rémond et de Nanterre, c'est l'ambiance bouillonnante et créative des "années 68" qui est ici restituée.