Passion, Tourment Ou Esperance ? Histoire De L'Apostolat Des Laics, En France, Depuis Vatican Ii
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- Nombre de pages410
- PrésentationBroché
- Poids0.67 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,3 cm
- ISBN2-86839-835-9
- EAN9782868398352
- Date de parution18/02/2003
- ÉditeurGuibert (François-Xavier de)
Résumé
Issu d'une thèse de doctorat en histoire religieuse, soutenue en 1999 à l'Université de Lille III, le présent ouvrage en conserve la rigueur universitaire, tout en étant largement remanié afin d'être accessible au grand public. Le sérieux de la recherche est garanti par un appareil critique étoffé et précis. L'utilisation de sources totalement inédites bouleverse l'approche qui avait prévalu jusqu'alors pour l'étude de la période qui s'est écoulée depuis le concile Vatican II. Fréquemment développée, la thèse relative aux orientations de l'Église de France au cours du XXe siècle, à propos des mouvements de l'Apostolat des laïcs, est celle d'un choix en faveur de l'Action catholique. L'" option " définie, en 1967, par l'épiscopat confirme cette perspective. Bien souvent, elle a été traduite en priorité, au détriment d'autres réalités ecclésiales. En 1975, la fin du mandat accordé par les évêques aux mouvements d'Action catholique aurait mis un terme à cette hégémonie. La réalité est finalement tout autre. Les privilèges pour soutenir cette politique demeurent jusqu'à aujourd'hui dans des domaines variés, notamment par la nomination d'aumôniers ou l'attribution de, subventions et de locaux. De la part de l'épiscopat, ce soutien quasi exclusif à ces mouvements, devenus numériquement faibles, souvent critiques à l'égard de l'Église catholique et davantage préoccupés, selon la formule de Jacques Maritain, par " l'agenouillement devant le monde " que par l'évangélisation, étonne. En revanche, en dehors des instances ecclésiales officielles, jaillissent de nombreuses initiatives qui, sans complexe, œuvrent dans la perspective d'une annonce explicite de la foi et se rallient avec enthousiasme aux appels venus de Rome, au magistère de l'Église et à l'enseignement pontifical. Parfois limité pour ses effectifs, ce renouvellement actuel témoigne néanmoins, à l'évidence, d'un apport qualitatif réel depuis un quart de siècle.
Issu d'une thèse de doctorat en histoire religieuse, soutenue en 1999 à l'Université de Lille III, le présent ouvrage en conserve la rigueur universitaire, tout en étant largement remanié afin d'être accessible au grand public. Le sérieux de la recherche est garanti par un appareil critique étoffé et précis. L'utilisation de sources totalement inédites bouleverse l'approche qui avait prévalu jusqu'alors pour l'étude de la période qui s'est écoulée depuis le concile Vatican II. Fréquemment développée, la thèse relative aux orientations de l'Église de France au cours du XXe siècle, à propos des mouvements de l'Apostolat des laïcs, est celle d'un choix en faveur de l'Action catholique. L'" option " définie, en 1967, par l'épiscopat confirme cette perspective. Bien souvent, elle a été traduite en priorité, au détriment d'autres réalités ecclésiales. En 1975, la fin du mandat accordé par les évêques aux mouvements d'Action catholique aurait mis un terme à cette hégémonie. La réalité est finalement tout autre. Les privilèges pour soutenir cette politique demeurent jusqu'à aujourd'hui dans des domaines variés, notamment par la nomination d'aumôniers ou l'attribution de, subventions et de locaux. De la part de l'épiscopat, ce soutien quasi exclusif à ces mouvements, devenus numériquement faibles, souvent critiques à l'égard de l'Église catholique et davantage préoccupés, selon la formule de Jacques Maritain, par " l'agenouillement devant le monde " que par l'évangélisation, étonne. En revanche, en dehors des instances ecclésiales officielles, jaillissent de nombreuses initiatives qui, sans complexe, œuvrent dans la perspective d'une annonce explicite de la foi et se rallient avec enthousiasme aux appels venus de Rome, au magistère de l'Église et à l'enseignement pontifical. Parfois limité pour ses effectifs, ce renouvellement actuel témoigne néanmoins, à l'évidence, d'un apport qualitatif réel depuis un quart de siècle.