Nouvelles pour une année. Tome 5, La jarre ; Le voyage

Par : Luigi Pirandello
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  • Nombre de pages360
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions14,1 cm × 20,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-07-072284-8
  • EAN9782070722846
  • Date de parution10/04/1992
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard
  • TraducteurGeorges Piroué
  • TraducteurHenriette Valot

Résumé

Les textes réunis dans ce tome V des Nouvelles pour une année vont de 1911 à 1928, avec une nette prédominance de l'époque d'après-guerre. La narration de caractère vériste, à l'exception d'une ou deux dénonciations de portée sociale (Le livret rouge), a quelque peu cédé le pas, sans que pour autant on se trouve envahi d'apologues typiquement illustratifs de la philosophie pirandellienne. Disons que celle-ci prend de plaisantes allures de farce paysanne (La jarre) ou macabre (La peur du sommeil).
A cette légèreté s'oppose la complexité de certaines situations (L'enlèvement), impossibles à dénouer d'un coup magique de logique formelle. Mais qui sait si, à l'inverse, les plus belles nouvelles ne sont pas les plus simples, limitées à la saisie de quelques gestes, comme ceux de ce presque agonisant qui célèbre à l'hôpital un mariage tardif assurant uns statut à l'enfant né bien auparavant (La main du malade pauvre), ou qui dresse devant nos yeux le tableau vivant d'un suicide manqué (Un jour se lève). Ceux qui connaissent l'œuvre du dramaturge seront sensibles aux échos de théâtre que répandent Gare à toi, Giacomino ! et, plus inattendus, " Leonora, addio ! ", qui constitue l'intrigue principale de Ce soir on improvise, ou Le stage, ébauche de La volupté de l'honneur.
Les textes réunis dans ce tome V des Nouvelles pour une année vont de 1911 à 1928, avec une nette prédominance de l'époque d'après-guerre. La narration de caractère vériste, à l'exception d'une ou deux dénonciations de portée sociale (Le livret rouge), a quelque peu cédé le pas, sans que pour autant on se trouve envahi d'apologues typiquement illustratifs de la philosophie pirandellienne. Disons que celle-ci prend de plaisantes allures de farce paysanne (La jarre) ou macabre (La peur du sommeil).
A cette légèreté s'oppose la complexité de certaines situations (L'enlèvement), impossibles à dénouer d'un coup magique de logique formelle. Mais qui sait si, à l'inverse, les plus belles nouvelles ne sont pas les plus simples, limitées à la saisie de quelques gestes, comme ceux de ce presque agonisant qui célèbre à l'hôpital un mariage tardif assurant uns statut à l'enfant né bien auparavant (La main du malade pauvre), ou qui dresse devant nos yeux le tableau vivant d'un suicide manqué (Un jour se lève). Ceux qui connaissent l'œuvre du dramaturge seront sensibles aux échos de théâtre que répandent Gare à toi, Giacomino ! et, plus inattendus, " Leonora, addio ! ", qui constitue l'intrigue principale de Ce soir on improvise, ou Le stage, ébauche de La volupté de l'honneur.
Nouvelles siciliennes
Giovanni Verga, Luigi Pirandello, Vincenzo Consolo
Poche
12,40 €