Lettres à sa mère. Tome 4 (1831-1847)
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- Nombre de pages313
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.455 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-7453-1754-4
- EAN9782745317544
- Date de parution03/06/2008
- CollectionTextes de littérature moderne
- ÉditeurHonoré Champion
- AnnotateurSimone Bernard-Griffiths
- AuteurGérard Peylet
Résumé
Le premier volume des Lettres à sa mère s'achève sur l'arrivée d'Edgar Quinet à Paris, à la fin de l'année 1820, et sur le renoncement du jeune homme à une carrière scientifique. Le deuxième volume (1821-1825) marque moins une rupture brutale avec le premier qu'une évolution. On a vu Edgar Quinet entrer dans la vie active, imposer ses choix littéraires à ses parents, chercher sa voie, poursuivre son apprentissage entre la tentation ancienne de la mélancolie et la tentation nouvelle de l'énergie jusqu'à la rencontre capitale avec l'oeuvre de Herder qu'il commence à traduire dès 1825.
Le deuxième volume s'arrose sur cette rencontre avec l'écrivain allemand et avec les intellectuels parisiens qui s'intéressent à Herder et au projet de traduction du jeune Quinet. 1820 représente la première étape de Quinet dans la vie adulte. 1825 annonce à la fois une seconde étape et une seconde naissance. Le troisième volume correspond au temps des engagements. Le jeune écrivain donne l'impression de trouver sa voie entre 1825 et 1830, de mûrir aussi sur tous les plans : intellectuel, sentimental, politique.
Quinet prend conscience de ce qu'il est devenu, il affirme ses ambitions. L'Allemagne, et en particulier Heidelberg, le retiennent longuement et parachèvent son apprentissage. La Grèce constitue avec l'Allemagne le second pôle qui l'attire irrésistiblement. En contrepoint, Paris apparaît comme un lieu dangereux mais où il est nécessaire de séjourner de temps en temps. Le quatrième volume est d'abord celui de la maturité.
Quinet accède au titre de Professeur de Littérature à la Faculté des Lettres de Lyon et ensuite au Collège de France. Le temps de la reconnaissance est arrivé. Cette reconnaissance au plus haut niveau de la nation et de ses pouvoirs culturels et politiques ne met pas un frein-à ses engagements, à son combat républicain. Cette maturité qui voit l'épanouissement de l'écrivain et du penseur romantique n'est pas pour autant synonyme d'immobilisme.
Quinet a réussi sa carrière mais il ne va pas se figer dans la réussite et les honneurs. Il échappe d'ailleurs à l'immobilisme car paradoxalement l'évolution chez lui n'a pas tué une certaine permanence du caractère, une fidélité à soi-même, aux valeurs qui étaient celles de sa jeunesse, une fidélité aussi à sa mère.
Le deuxième volume s'arrose sur cette rencontre avec l'écrivain allemand et avec les intellectuels parisiens qui s'intéressent à Herder et au projet de traduction du jeune Quinet. 1820 représente la première étape de Quinet dans la vie adulte. 1825 annonce à la fois une seconde étape et une seconde naissance. Le troisième volume correspond au temps des engagements. Le jeune écrivain donne l'impression de trouver sa voie entre 1825 et 1830, de mûrir aussi sur tous les plans : intellectuel, sentimental, politique.
Quinet prend conscience de ce qu'il est devenu, il affirme ses ambitions. L'Allemagne, et en particulier Heidelberg, le retiennent longuement et parachèvent son apprentissage. La Grèce constitue avec l'Allemagne le second pôle qui l'attire irrésistiblement. En contrepoint, Paris apparaît comme un lieu dangereux mais où il est nécessaire de séjourner de temps en temps. Le quatrième volume est d'abord celui de la maturité.
Quinet accède au titre de Professeur de Littérature à la Faculté des Lettres de Lyon et ensuite au Collège de France. Le temps de la reconnaissance est arrivé. Cette reconnaissance au plus haut niveau de la nation et de ses pouvoirs culturels et politiques ne met pas un frein-à ses engagements, à son combat républicain. Cette maturité qui voit l'épanouissement de l'écrivain et du penseur romantique n'est pas pour autant synonyme d'immobilisme.
Quinet a réussi sa carrière mais il ne va pas se figer dans la réussite et les honneurs. Il échappe d'ailleurs à l'immobilisme car paradoxalement l'évolution chez lui n'a pas tué une certaine permanence du caractère, une fidélité à soi-même, aux valeurs qui étaient celles de sa jeunesse, une fidélité aussi à sa mère.
Le premier volume des Lettres à sa mère s'achève sur l'arrivée d'Edgar Quinet à Paris, à la fin de l'année 1820, et sur le renoncement du jeune homme à une carrière scientifique. Le deuxième volume (1821-1825) marque moins une rupture brutale avec le premier qu'une évolution. On a vu Edgar Quinet entrer dans la vie active, imposer ses choix littéraires à ses parents, chercher sa voie, poursuivre son apprentissage entre la tentation ancienne de la mélancolie et la tentation nouvelle de l'énergie jusqu'à la rencontre capitale avec l'oeuvre de Herder qu'il commence à traduire dès 1825.
Le deuxième volume s'arrose sur cette rencontre avec l'écrivain allemand et avec les intellectuels parisiens qui s'intéressent à Herder et au projet de traduction du jeune Quinet. 1820 représente la première étape de Quinet dans la vie adulte. 1825 annonce à la fois une seconde étape et une seconde naissance. Le troisième volume correspond au temps des engagements. Le jeune écrivain donne l'impression de trouver sa voie entre 1825 et 1830, de mûrir aussi sur tous les plans : intellectuel, sentimental, politique.
Quinet prend conscience de ce qu'il est devenu, il affirme ses ambitions. L'Allemagne, et en particulier Heidelberg, le retiennent longuement et parachèvent son apprentissage. La Grèce constitue avec l'Allemagne le second pôle qui l'attire irrésistiblement. En contrepoint, Paris apparaît comme un lieu dangereux mais où il est nécessaire de séjourner de temps en temps. Le quatrième volume est d'abord celui de la maturité.
Quinet accède au titre de Professeur de Littérature à la Faculté des Lettres de Lyon et ensuite au Collège de France. Le temps de la reconnaissance est arrivé. Cette reconnaissance au plus haut niveau de la nation et de ses pouvoirs culturels et politiques ne met pas un frein-à ses engagements, à son combat républicain. Cette maturité qui voit l'épanouissement de l'écrivain et du penseur romantique n'est pas pour autant synonyme d'immobilisme.
Quinet a réussi sa carrière mais il ne va pas se figer dans la réussite et les honneurs. Il échappe d'ailleurs à l'immobilisme car paradoxalement l'évolution chez lui n'a pas tué une certaine permanence du caractère, une fidélité à soi-même, aux valeurs qui étaient celles de sa jeunesse, une fidélité aussi à sa mère.
Le deuxième volume s'arrose sur cette rencontre avec l'écrivain allemand et avec les intellectuels parisiens qui s'intéressent à Herder et au projet de traduction du jeune Quinet. 1820 représente la première étape de Quinet dans la vie adulte. 1825 annonce à la fois une seconde étape et une seconde naissance. Le troisième volume correspond au temps des engagements. Le jeune écrivain donne l'impression de trouver sa voie entre 1825 et 1830, de mûrir aussi sur tous les plans : intellectuel, sentimental, politique.
Quinet prend conscience de ce qu'il est devenu, il affirme ses ambitions. L'Allemagne, et en particulier Heidelberg, le retiennent longuement et parachèvent son apprentissage. La Grèce constitue avec l'Allemagne le second pôle qui l'attire irrésistiblement. En contrepoint, Paris apparaît comme un lieu dangereux mais où il est nécessaire de séjourner de temps en temps. Le quatrième volume est d'abord celui de la maturité.
Quinet accède au titre de Professeur de Littérature à la Faculté des Lettres de Lyon et ensuite au Collège de France. Le temps de la reconnaissance est arrivé. Cette reconnaissance au plus haut niveau de la nation et de ses pouvoirs culturels et politiques ne met pas un frein-à ses engagements, à son combat républicain. Cette maturité qui voit l'épanouissement de l'écrivain et du penseur romantique n'est pas pour autant synonyme d'immobilisme.
Quinet a réussi sa carrière mais il ne va pas se figer dans la réussite et les honneurs. Il échappe d'ailleurs à l'immobilisme car paradoxalement l'évolution chez lui n'a pas tué une certaine permanence du caractère, une fidélité à soi-même, aux valeurs qui étaient celles de sa jeunesse, une fidélité aussi à sa mère.