Les Paradoxes des Stoïciens. (A l'attention de Brutus)

Par : Cicéron
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  • Nombre de pages76
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.06 kg
  • Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN2-84205-881-X
  • EAN9782842058814
  • Date de parution19/01/2005
  • CollectionLa petite collection
  • ÉditeurMille et une nuits
  • TraducteurM-M Péricaud
  • TraducteurLouis Chevalier
  • TraducteurCyril Morana

Résumé

Texte intégralTraduction du latin par MM. Péricaud et Louis Chevalier, révisée par Cyril MoranaVers 46 avant Jésus-Christ, au moment même où César transforme la République romaine en une dictature, Cicéron rédige d'une traite Les Paradoxes des stoïciens pour défendre les vertus romaines antiques. Ce partisan de Pompée veut encourager ses concitoyens, désorientés par l'instauration du nouveau régime, et les exhorter malgré tout à la vertu et à la sagesse. Cicéron développe des arguments tirés de l'éthique stoïcienne selon lesquels « la beauté morale est le seul bien », « la vertu suffit pour vivre heureux », « toutes les fautes se valent, les bonnes actions également », « tout homme sans sagesse délire », « seul le sage est libre, tous les autres sont esclaves », « seul le sage est riche ». En des temps difficiles, voilà tout le programme de son oeuvre à la fois engagée et pédagogique.
Texte intégralTraduction du latin par MM. Péricaud et Louis Chevalier, révisée par Cyril MoranaVers 46 avant Jésus-Christ, au moment même où César transforme la République romaine en une dictature, Cicéron rédige d'une traite Les Paradoxes des stoïciens pour défendre les vertus romaines antiques. Ce partisan de Pompée veut encourager ses concitoyens, désorientés par l'instauration du nouveau régime, et les exhorter malgré tout à la vertu et à la sagesse. Cicéron développe des arguments tirés de l'éthique stoïcienne selon lesquels « la beauté morale est le seul bien », « la vertu suffit pour vivre heureux », « toutes les fautes se valent, les bonnes actions également », « tout homme sans sagesse délire », « seul le sage est libre, tous les autres sont esclaves », « seul le sage est riche ». En des temps difficiles, voilà tout le programme de son oeuvre à la fois engagée et pédagogique.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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