Le bonheur. IVe et Ve Tusculanes

Par : Cicéron

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  • Nombre de pages201
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.153 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-36308-267-1
  • EAN9782363082671
  • Date de parution12/08/2021
  • CollectionArléa-Poche
  • ÉditeurArléa
  • Directeur scientifiqueChantal Labre

Résumé

Quels sont, au fin fond de nous-mêmes, les inclinations funestes, les troubles de l'âme ou penchants détestables qui nous empêchent d'être heureux ? Comment et pourquoi sommes-nous consumés par nos passions ? C'est à la définition du souverain bien mais aussi des illusions qui nous éloignent que Cicéron s'attache ici. Quels sont, au fin fond de nous-mêmes, les inclinations funestes, les troubles de l'âme ou penchants détestables qui nous empêchent d'être heureux ? Comment et pourquoi sommes-nous consumés par nos passions ? C'est à la définition du souverain bien mais aussi des illusions qui nous éloignent que Cicéron s'attache ici.
Ouvre et chef-d'oeuvre de pleine maturité, les Tusculanes parachèvent en quelque sorte l'enseignement du grand stoïcien romain.
Quels sont, au fin fond de nous-mêmes, les inclinations funestes, les troubles de l'âme ou penchants détestables qui nous empêchent d'être heureux ? Comment et pourquoi sommes-nous consumés par nos passions ? C'est à la définition du souverain bien mais aussi des illusions qui nous éloignent que Cicéron s'attache ici. Quels sont, au fin fond de nous-mêmes, les inclinations funestes, les troubles de l'âme ou penchants détestables qui nous empêchent d'être heureux ? Comment et pourquoi sommes-nous consumés par nos passions ? C'est à la définition du souverain bien mais aussi des illusions qui nous éloignent que Cicéron s'attache ici.
Ouvre et chef-d'oeuvre de pleine maturité, les Tusculanes parachèvent en quelque sorte l'enseignement du grand stoïcien romain.
Cicéron (106-43 av. J.-C.) a composé ce traité, que l'on peut considérer comme son testament philosophique, au moment où il entreprenait son dernier combat pour la République romaine contre les ambitions tyranniques de Marc Antoine, qui recueillait alors l'héritage de César, assassiné quelques mois plus tôt. Le traité Des devoirs est ainsi la dernière oeuvre philosophique de Cicéron, et son ultime publication en dehors des discours Philippiques dirigés contre l'ancien lieutenant de César. Très rapidement, le traité Des devoirs s'est imposé comme un classique pour les païens (Pline l'Ancien) comme pour les chrétiens (Ambroise de Milan) ; son succès s'est poursuivi durant le Moyen-Âge (Moralium dogma philosophorum), à la Renaissance (Erasme) et jusqu'à l'époque moderne, quand Montesquieu, au XVIIIe siècle, abandonnait l'idée de composer à son tour un traité capable de rivaliser avec celui de Cicéron, et que le roi de Prusse, Frédéric II, l'ami des philosophes, ne croyait pas non plus qu'on pût jamais rien composer de meilleur en morale.
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