Les nouvelles figures mythiques du cinéma espagnol (1975-1995). A corps perdus

Par : Pietsie Feenstra
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juillet et le 29 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages298
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.435 kg
  • Dimensions15,7 cm × 23,8 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-296-01321-X
  • EAN9782296013216
  • Date de parution01/09/2006
  • CollectionChamps visuels
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierMichèle Lagny

Résumé

Dans les années 1970, principalement après la mort de Franco en 1975, le cinéma espagnol brise ses carcans. De nombreux réalisateurs mettent à mal les vieux tabous imposés sous la dictature. Le plus connu d'entre eux, Pedro Almodóvar, introduit des personnages dont les corps traduisent les mutations en cours en transgressant les limites traditionnelles des identités sociales, culturelles et sexuelles.
Dans ce cinéma post-franquiste, les femmes se rêvent autonomes, désirantes ; les homosexuels vivent leur passion sans se cacher ; les transsexuels brouillent les cartes familiales et les délinquants sont montrés comme partie intégrante de la société. Tous ces "corps perdus" engendrent de nouvelles figures mythiques sous forme de corps prototypes (assimilables à de nouvelles images exemplaires) qui transforment les stéréotypes (renvoyant à des valeurs archétypales).
Ils expriment une pensée cinématographique sur la toxicomanie, le terrorisme, les gitans, la sexualité sous tous ses aspects, la femme (mère ou fatale), etc.
Dans les années 1970, principalement après la mort de Franco en 1975, le cinéma espagnol brise ses carcans. De nombreux réalisateurs mettent à mal les vieux tabous imposés sous la dictature. Le plus connu d'entre eux, Pedro Almodóvar, introduit des personnages dont les corps traduisent les mutations en cours en transgressant les limites traditionnelles des identités sociales, culturelles et sexuelles.
Dans ce cinéma post-franquiste, les femmes se rêvent autonomes, désirantes ; les homosexuels vivent leur passion sans se cacher ; les transsexuels brouillent les cartes familiales et les délinquants sont montrés comme partie intégrante de la société. Tous ces "corps perdus" engendrent de nouvelles figures mythiques sous forme de corps prototypes (assimilables à de nouvelles images exemplaires) qui transforment les stéréotypes (renvoyant à des valeurs archétypales).
Ils expriment une pensée cinématographique sur la toxicomanie, le terrorisme, les gitans, la sexualité sous tous ses aspects, la femme (mère ou fatale), etc.