Les formes plurielles des écritures de la réception. Volume 1, Genres, espaces et formes

Par : François Le Goff, Marie-José Fourtanier
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 3 juillet et le 12 juillet
      Cet article doit être commandé chez un fournisseur. Votre colis vous sera expédié 8 à 17 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.412 kg
  • Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-87037-970-7
  • EAN9782870379707
  • Date de parution17/03/2017
  • CollectionDiptyque
  • ÉditeurPU Namur

Résumé

Depuis près de vingt ans, la communauté des chercheurs en didactique de la littérature s'est attachée à décrire et à interroger les expériences de lecture littéraire dans la formation des élèves, des étudiants, des enseignants. La diversité des études a montré combien la dimension scripturale constitue un paradigme clé dans les apprentissages de la lecture littéraire et dans la formation d'un sujet-lecteur.
Ecriture-trace, écriture-mémoire, l'écriture prolonge la lecture et joue un rôle déterminant dans les dispositifs d'évaluation de l'école à l'université. A rebours, l'attention portée au développement de la compétence esthétique et l'importance accordée à l'activité du lecteur ont libéré les pratiques d'écriture, tracé de nouvelles voies et confirmé leur valeur heuristique. Comment sont identifiées, classées, les écritures de la réception dans les curricula des différents systèmes éducatifs ? Dans quelle mesure la pratique experte - celle de l'artiste, celle de l'écrivain dans sa correspondance, dans ses carnets, par exemple - intervient-elle dans les dispositifs de formation ? Quelles formes peut prendre à l'école et à l'université le discours sur l'oeuvre ? Quels rapports l'expression singulière du lecteur entretient-elle avec les formes rhétoriques en usage ou les langages de spécialité, de nature métatextuelle ? Les textes de cet ouvrage en deux volumes apportent des éclairages multiples et complémentaires à ces questions sensibles de la réception des textes littéraires, de la trace laissée du souvenir de lecture et des modes d'expression du texte du lecteur.
Ils témoignent, chacun à leur manière, de la nécessité de penser l'enseignement de la littérature dans une étroite association de la lecture et de l'écriture, émancipée des cadres rhétoriques du commentaire.
Depuis près de vingt ans, la communauté des chercheurs en didactique de la littérature s'est attachée à décrire et à interroger les expériences de lecture littéraire dans la formation des élèves, des étudiants, des enseignants. La diversité des études a montré combien la dimension scripturale constitue un paradigme clé dans les apprentissages de la lecture littéraire et dans la formation d'un sujet-lecteur.
Ecriture-trace, écriture-mémoire, l'écriture prolonge la lecture et joue un rôle déterminant dans les dispositifs d'évaluation de l'école à l'université. A rebours, l'attention portée au développement de la compétence esthétique et l'importance accordée à l'activité du lecteur ont libéré les pratiques d'écriture, tracé de nouvelles voies et confirmé leur valeur heuristique. Comment sont identifiées, classées, les écritures de la réception dans les curricula des différents systèmes éducatifs ? Dans quelle mesure la pratique experte - celle de l'artiste, celle de l'écrivain dans sa correspondance, dans ses carnets, par exemple - intervient-elle dans les dispositifs de formation ? Quelles formes peut prendre à l'école et à l'université le discours sur l'oeuvre ? Quels rapports l'expression singulière du lecteur entretient-elle avec les formes rhétoriques en usage ou les langages de spécialité, de nature métatextuelle ? Les textes de cet ouvrage en deux volumes apportent des éclairages multiples et complémentaires à ces questions sensibles de la réception des textes littéraires, de la trace laissée du souvenir de lecture et des modes d'expression du texte du lecteur.
Ils témoignent, chacun à leur manière, de la nécessité de penser l'enseignement de la littérature dans une étroite association de la lecture et de l'écriture, émancipée des cadres rhétoriques du commentaire.