"Les affaires d'Etat sont mes affaires de coeur". Lettres de Rosalie Jullien, une femme dans la Révolution, 1775-1810

Par : Rosalie Jullien
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 26 juillet et le 29 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages558
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.67 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-7011-9893-4
  • EAN9782701198934
  • Date de parution25/09/2016
  • ÉditeurBelin
  • PostfacierJean Sauvageon

Résumé

Rosalie Jullien, née le 9?septembre 1745 dans une famille de la bourgeoisie marchande, est une femme de culture et de convictions. Epouse d'un député de la Drôme à la Convention, Marc-Antoine Jullien, elle observe, s'informe, lit et écrit des lettres si nombreuses, élégantes et longues qu'elles finissent par constituer un journal de la Révolution française. Femme des Lumières, inspirée par le souffle révolutionnaire, elle ose cette phrase, le 10?août 1792, jour de la prise des Tuileries par les Parisiens?: "Jour de sang, jour de carnage, et pourtant jour de victoire qui est arrosé de nos larmes.
Ecoutez et frémissez.?" Témoin, auteure et citoyenne engagée, elle constate que "l'exaspération est un des plus énormes péchés dans la Révolution. Fougue n'est pas force. Il faut de la sagesse, puis de la sagesse, et encore de la sagesse" et forme le voeu, le 1er?janvier 1800, "que le XIXe?siècle répare les crimes et les sottises du XVIIIe."
Rosalie Jullien, née le 9?septembre 1745 dans une famille de la bourgeoisie marchande, est une femme de culture et de convictions. Epouse d'un député de la Drôme à la Convention, Marc-Antoine Jullien, elle observe, s'informe, lit et écrit des lettres si nombreuses, élégantes et longues qu'elles finissent par constituer un journal de la Révolution française. Femme des Lumières, inspirée par le souffle révolutionnaire, elle ose cette phrase, le 10?août 1792, jour de la prise des Tuileries par les Parisiens?: "Jour de sang, jour de carnage, et pourtant jour de victoire qui est arrosé de nos larmes.
Ecoutez et frémissez.?" Témoin, auteure et citoyenne engagée, elle constate que "l'exaspération est un des plus énormes péchés dans la Révolution. Fougue n'est pas force. Il faut de la sagesse, puis de la sagesse, et encore de la sagesse" et forme le voeu, le 1er?janvier 1800, "que le XIXe?siècle répare les crimes et les sottises du XVIIIe."