"Les affaires d'Etat sont mes affaires de coeur". Lettres de Rosalie Jullien, une femme dans la Révolution, 1775-1810

Par : Rosalie Jullien
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  • Nombre de pages560
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7011-9895-8
  • EAN9782701198958
  • Date de parution15/05/2017
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurBELIN EDITEUR
  • PostfacierJean Sauvageon

Résumé

Rosalie Jullien, née le 9 septembre 1745 dans une famille de la bourgeoisie marchande, est une femme de culture et de convictions. Épouse d'un député de la Drôme à la Convention, Marc-Antoine Jullien, elle observe, s'informe, lit et écrit des lettres si nombreuses, élégantes et longues qu'elles finissent par constituer un journal de la Révolution française. Femme des Lumières, inspirée par le souffle révolutionnaire, elle ose cette phrase, le 10 août 1792, jour de la prise des Tuileries par les Parisiens : « Jour de sang, jour de carnage, et pourtant jour de victoire qui est arrosé de nos larmes.
Écoutez et frémissez. » Témoin, auteure et citoyenne engagée, elle constate que « l'exaspération est un des plus énormes péchés dans la Révolution. Fougue n'est pas force. Il faut de la sagesse, puis de la sagesse, et encore de la sagesse » et forme le vou, le 1er janvier 1800, « que le XIXe siècle répare les crimes et les sottises du XVIIIe. »
Rosalie Jullien, née le 9 septembre 1745 dans une famille de la bourgeoisie marchande, est une femme de culture et de convictions. Épouse d'un député de la Drôme à la Convention, Marc-Antoine Jullien, elle observe, s'informe, lit et écrit des lettres si nombreuses, élégantes et longues qu'elles finissent par constituer un journal de la Révolution française. Femme des Lumières, inspirée par le souffle révolutionnaire, elle ose cette phrase, le 10 août 1792, jour de la prise des Tuileries par les Parisiens : « Jour de sang, jour de carnage, et pourtant jour de victoire qui est arrosé de nos larmes.
Écoutez et frémissez. » Témoin, auteure et citoyenne engagée, elle constate que « l'exaspération est un des plus énormes péchés dans la Révolution. Fougue n'est pas force. Il faut de la sagesse, puis de la sagesse, et encore de la sagesse » et forme le vou, le 1er janvier 1800, « que le XIXe siècle répare les crimes et les sottises du XVIIIe. »