Coup de coeur
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  • Nombre de pages480
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.158 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-253-93510-0
  • EAN9782253935100
  • Date de parution01/06/2022
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurLaura Brignon

Résumé

Naples, 1946. Amerigo, sept ans, quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d'autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial. Loin de ses repères, de sa mère, Antonietta, et des ruelles de Naples, Amerigo découvre une autre vie.
Déchiré entre l'amour maternel et sa famille d'adoption, quel chemin choisira-t-il ?
Naples, 1946. Amerigo, sept ans, quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d'autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial. Loin de ses repères, de sa mère, Antonietta, et des ruelles de Naples, Amerigo découvre une autre vie.
Déchiré entre l'amour maternel et sa famille d'adoption, quel chemin choisira-t-il ?

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

6 Coups de cœur
de nos libraires
AxelleFuret du Nord Villeneuve d'Ascq
5/5
Apprentissage et émotion
Viola Ardone nous offre avec le train des enfants un très beau roman, si bien construit et raconté... Si c'est un livre emprunt d'émotion que vous recherchez, ne cherchez plus, et ouvrez ce bijou ! Direction l'Italie d'après guerre. Un vrai coup de cœur.
Viola Ardone nous offre avec le train des enfants un très beau roman, si bien construit et raconté... Si c'est un livre emprunt d'émotion que vous recherchez, ne cherchez plus, et ouvrez ce bijou ! Direction l'Italie d'après guerre. Un vrai coup de cœur.
Anth0nyFuret du Nord Arcueil
5/5
Le train des enfants de V. Ardone
Fin de la seconde guerre mondiale. La misère et la pauvreté touche les habitants de Naples et les familles ne savent pas comment s'en sortir pour nourrir leurs enfants et. Le parti communiste décide alors d'envoyer par train de nombreux enfants défavorisés du Sud de l'Italie dans des familles plus aisées du Nord pour quelques mois. Amerigo, 8 ans, vit seul avec sa mère et est envoyé dans l'une de ces familles. La séparation, les fausses rumeurs circulent sur la véritable destination des enfants, rendant le voyage angoissant pour eux. Que va trouver Amerigo en arrivant ? Très joliment écrit, mais abordant des sujets graves et sérieux, ce livre est pourtant empreint d'une grande douceur et de beaucoup de tendresse. À mettre entre toutes les mains ! Anthony
Fin de la seconde guerre mondiale. La misère et la pauvreté touche les habitants de Naples et les familles ne savent pas comment s'en sortir pour nourrir leurs enfants et. Le parti communiste décide alors d'envoyer par train de nombreux enfants défavorisés du Sud de l'Italie dans des familles plus aisées du Nord pour quelques mois. Amerigo, 8 ans, vit seul avec sa mère et est envoyé dans l'une de ces familles. La séparation, les fausses rumeurs circulent sur la véritable destination des enfants, rendant le voyage angoissant pour eux. Que va trouver Amerigo en arrivant ? Très joliment écrit, mais abordant des sujets graves et sérieux, ce livre est pourtant empreint d'une grande douceur et de beaucoup de tendresse. À mettre entre toutes les mains ! Anthony
Matt - 1Furet du Nord Roissy
5/5
Une très belle découverte !
Lorsqu'en 1946, Amerigo, jeune garçon de Naples, est envoyé dans le Nord du pays, il ignore quel destin l'attend. Entre sa famille adoptive et sa mère restée à Naples, son choix sera l'un des plus difficiles de sa vie... On découvre ici un roman très bien écrit, un petit bijou riche en émotions qui se dévore sans faim.
Lorsqu'en 1946, Amerigo, jeune garçon de Naples, est envoyé dans le Nord du pays, il ignore quel destin l'attend. Entre sa famille adoptive et sa mère restée à Naples, son choix sera l'un des plus difficiles de sa vie... On découvre ici un roman très bien écrit, un petit bijou riche en émotions qui se dévore sans faim.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.8/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
4/5
Un épisode de l'histoire italienne peu connu, belle découverte
Le roman relate une histoire vraie qui retrace un épisode de l’après-guerre en Italie du Sud, le parti communiste décide d’affréter des trains pour envoyer les enfants les plus pauvres du sud dans des familles communistes riches de l’Italie du Nord ; Amerigo vit seul avec sa mère Antonietta dans un quartier pauvre de Naples, sa mère n’a plus que lui, cet enfant de 8 ans qui rêve d’avoir des chaussures neuves ! Pour son bien, elle met ses sentiments de côté et elle accepte qu’il soit envoyé avec d’autres enfants dans une famille communiste riche qui lui apportera confort et lui donnera une éducation ; Après tout, ce n’est que pour quelques mois… Amerigo, gamin débrouillard et joyeux découvre chez cette famille adoptive, une autre vie, enrichissante et épanouissante, à travers notamment la musique et le violon qui lui est offert… Il va devoir à un moment faire un choix entre poursuivre cette nouvelle vie à Bologne ou retourner auprès de sa maman dans le sud et reprendre son existence d’avant, choix cornélien qu’il aura du mal à assumer tout le reste de sa vie ; Fondé sur des faits historiques réels, ce récit aborde également le sujet douloureux du choix, de la séparation, de l’amour entre un fils et sa mère et de la difficile évocation des sentiments ; Viola Ardone, avec son écriture fluide, nous fait passer un excellent moment et nous révèle un épisode de l’après-guerre italienne peu connu.
Le roman relate une histoire vraie qui retrace un épisode de l’après-guerre en Italie du Sud, le parti communiste décide d’affréter des trains pour envoyer les enfants les plus pauvres du sud dans des familles communistes riches de l’Italie du Nord ; Amerigo vit seul avec sa mère Antonietta dans un quartier pauvre de Naples, sa mère n’a plus que lui, cet enfant de 8 ans qui rêve d’avoir des chaussures neuves ! Pour son bien, elle met ses sentiments de côté et elle accepte qu’il soit envoyé avec d’autres enfants dans une famille communiste riche qui lui apportera confort et lui donnera une éducation ; Après tout, ce n’est que pour quelques mois… Amerigo, gamin débrouillard et joyeux découvre chez cette famille adoptive, une autre vie, enrichissante et épanouissante, à travers notamment la musique et le violon qui lui est offert… Il va devoir à un moment faire un choix entre poursuivre cette nouvelle vie à Bologne ou retourner auprès de sa maman dans le sud et reprendre son existence d’avant, choix cornélien qu’il aura du mal à assumer tout le reste de sa vie ; Fondé sur des faits historiques réels, ce récit aborde également le sujet douloureux du choix, de la séparation, de l’amour entre un fils et sa mère et de la difficile évocation des sentiments ; Viola Ardone, avec son écriture fluide, nous fait passer un excellent moment et nous révèle un épisode de l’après-guerre italienne peu connu.
le train des enfants
A lire a tout pris triste joyeux vraiment la vie après la guerre en basse Italie
A lire a tout pris triste joyeux vraiment la vie après la guerre en basse Italie
Sublime
1946. Amerigo, âgé de huit ans, vit avec sa maman, Antonietta, dans un quartier pauvre de Naples. Il ramasse les chiffons, dans les rues, pour les revendre. Avec son ami Tomasselli, ils sont très imaginatifs pour élaborer des plans, afin de rapporter plus d’argent à leur famille. Mais le rêve du petit garçon est d’avoir des chaussures neuves. Il n’en a jamais possédé et il observe les pieds de tous les passants. Lorsque sa mère rencontre Maddalena Crisculo, il ne saisit pas l’enjeu. Lorsqu’il comprend que cette inconnue veut l’emmener, avec des milliers d’autres enfants, dans un train, il ne veut pas que sa mère le « vende ». C’est la promesse d’une nouvelle paire de chaussures qui arrache son accord. En réalité, il s’agit d’envoyer les enfants les plus jeunes, dans le Nord de l’Italie. Pendant quelques mois, ils vont vivre dans des familles qui ont moins souffert de la guerre que celles du quartier d’Amerigo. Cette initiative du Parti communiste a pour objectif de leur donner un nouveau départ. Le voyage est source d’angoisse. De nombreuses rumeurs ont circulé dans les ruelles de Naples : les mains et les pieds des petits seront coupés, ils sont envoyés en Russie où ils vont être brûlés dans des fours, etc. Le traumatisme de la guerre alimente les fantasmes. Les enfants doivent aussi surmonter le chagrin de quitter leurs parents. Antonietta n’est pas démonstrative, mais sur le quai, ce sont des petits gestes précieux qui montrent son attachement à son fils. Il est trop jeune pour en saisir la substance, mais il les garde précieusement dans son cœur. « Il dit aux autres que je suis un des enfants du train, qu’ils doivent m’accueillir et me faire me sentir comme chez moi. Chez moi, je n’avais rien, je me dis. Alors ce serait mieux qu’ils me fassent me sentir comme chez eux. » Pour les Napolitains, le contraste entre leur nouvel environnement et la misère de chez eux est saisissant. Ils sont déchirés entre l’amour qu’ils portent à leur famille et l’attachement qu’ils ont pour ceux qui les ont recueillis. Certains souhaiteraient ne plus repartir. Quand on a goûté au confort, il est difficile de retrouver une vie pauvre. Amerigo a, toujours, vécu seul avec sa maman et il découvre les joies d’une famille nombreuse, dans laquelle les émotions sont exprimées. Alors que sa maman l’a laissé partir… Un fils, peut-il entendre que « Parfois ceux qui te laissent partir t’aiment plus que ceux qui te retiennent » ? L’histoire est racontée par la voix d’Amerigo, avec ses sentiments d’enfant. Cependant, il est impossible de ne pas penser au déchirement de ces parents qui ont accepté de laisser partir leurs enfants, chez des inconnus. Par ce sacrifice, ils espèrent qu’ils reprennent des forces. Mais le petit garçon n’a que huit ans… A travers ce fait historique de ces enfants éloignés de leurs parents, c’est la relation entre Amerigo et Antonietta, qui est décrite. Elle est faite de non-dits et d’incompréhension. L’amour n’est pas nommé et l’affection est prouvée par des gestes et des mots de rabrouement. Le fils a toujours marché derrière sa mère, jamais sur la même ligne. Cette séparation les a-t-elle rapprochés ? Le fait que le narrateur ait huit ans renforce l’émotion de ce roman magnifique. Sa sensibilité de bambin rend ses perceptions différentes de celles des adultes. Des évènements graves sont relatés comme des moments comiques alors que des détails, anodins pour les adultes, deviennent des tragédies. Certains éléments ne sont expliqués que des décennies plus tard. En effet, le prisme de l’enfance ne permettait pas de les relever, aussi, certaines situations sont restées opaques. Le lecteur a le même angle de vision et, comme s’il grandissait au fil des pages, à la même vitesse qu’Amerigo, il découvre ce qu’il n’a pas vu. Regrets, sentiment d’avoir trahi s’opposent à la conviction d’avoir fait les bons choix. Le souvenir d’un manteau réchauffe et rassemble, une télévision relie, une main se sent faible en découvrant qu’elle peut donner de la force : le présent et le passé s’entremêlent et s’éclairent l’un l’autre. Conclusion Le Train des enfants est un immense coup de cœur pour moi. Ce gamin m’a énormément émue. J’ai été très touchée par la générosité des « gens du Nord » ainsi que par le sacrifice des parents du Sud. Tous ont agi pour le bien-être des enfants.
1946. Amerigo, âgé de huit ans, vit avec sa maman, Antonietta, dans un quartier pauvre de Naples. Il ramasse les chiffons, dans les rues, pour les revendre. Avec son ami Tomasselli, ils sont très imaginatifs pour élaborer des plans, afin de rapporter plus d’argent à leur famille. Mais le rêve du petit garçon est d’avoir des chaussures neuves. Il n’en a jamais possédé et il observe les pieds de tous les passants. Lorsque sa mère rencontre Maddalena Crisculo, il ne saisit pas l’enjeu. Lorsqu’il comprend que cette inconnue veut l’emmener, avec des milliers d’autres enfants, dans un train, il ne veut pas que sa mère le « vende ». C’est la promesse d’une nouvelle paire de chaussures qui arrache son accord. En réalité, il s’agit d’envoyer les enfants les plus jeunes, dans le Nord de l’Italie. Pendant quelques mois, ils vont vivre dans des familles qui ont moins souffert de la guerre que celles du quartier d’Amerigo. Cette initiative du Parti communiste a pour objectif de leur donner un nouveau départ. Le voyage est source d’angoisse. De nombreuses rumeurs ont circulé dans les ruelles de Naples : les mains et les pieds des petits seront coupés, ils sont envoyés en Russie où ils vont être brûlés dans des fours, etc. Le traumatisme de la guerre alimente les fantasmes. Les enfants doivent aussi surmonter le chagrin de quitter leurs parents. Antonietta n’est pas démonstrative, mais sur le quai, ce sont des petits gestes précieux qui montrent son attachement à son fils. Il est trop jeune pour en saisir la substance, mais il les garde précieusement dans son cœur. « Il dit aux autres que je suis un des enfants du train, qu’ils doivent m’accueillir et me faire me sentir comme chez moi. Chez moi, je n’avais rien, je me dis. Alors ce serait mieux qu’ils me fassent me sentir comme chez eux. » Pour les Napolitains, le contraste entre leur nouvel environnement et la misère de chez eux est saisissant. Ils sont déchirés entre l’amour qu’ils portent à leur famille et l’attachement qu’ils ont pour ceux qui les ont recueillis. Certains souhaiteraient ne plus repartir. Quand on a goûté au confort, il est difficile de retrouver une vie pauvre. Amerigo a, toujours, vécu seul avec sa maman et il découvre les joies d’une famille nombreuse, dans laquelle les émotions sont exprimées. Alors que sa maman l’a laissé partir… Un fils, peut-il entendre que « Parfois ceux qui te laissent partir t’aiment plus que ceux qui te retiennent » ? L’histoire est racontée par la voix d’Amerigo, avec ses sentiments d’enfant. Cependant, il est impossible de ne pas penser au déchirement de ces parents qui ont accepté de laisser partir leurs enfants, chez des inconnus. Par ce sacrifice, ils espèrent qu’ils reprennent des forces. Mais le petit garçon n’a que huit ans… A travers ce fait historique de ces enfants éloignés de leurs parents, c’est la relation entre Amerigo et Antonietta, qui est décrite. Elle est faite de non-dits et d’incompréhension. L’amour n’est pas nommé et l’affection est prouvée par des gestes et des mots de rabrouement. Le fils a toujours marché derrière sa mère, jamais sur la même ligne. Cette séparation les a-t-elle rapprochés ? Le fait que le narrateur ait huit ans renforce l’émotion de ce roman magnifique. Sa sensibilité de bambin rend ses perceptions différentes de celles des adultes. Des évènements graves sont relatés comme des moments comiques alors que des détails, anodins pour les adultes, deviennent des tragédies. Certains éléments ne sont expliqués que des décennies plus tard. En effet, le prisme de l’enfance ne permettait pas de les relever, aussi, certaines situations sont restées opaques. Le lecteur a le même angle de vision et, comme s’il grandissait au fil des pages, à la même vitesse qu’Amerigo, il découvre ce qu’il n’a pas vu. Regrets, sentiment d’avoir trahi s’opposent à la conviction d’avoir fait les bons choix. Le souvenir d’un manteau réchauffe et rassemble, une télévision relie, une main se sent faible en découvrant qu’elle peut donner de la force : le présent et le passé s’entremêlent et s’éclairent l’un l’autre. Conclusion Le Train des enfants est un immense coup de cœur pour moi. Ce gamin m’a énormément émue. J’ai été très touchée par la générosité des « gens du Nord » ainsi que par le sacrifice des parents du Sud. Tous ont agi pour le bien-être des enfants.
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