La voie des idées ?. Le statut de la représentation XVIIe-XXe siècles
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- Nombre de pages258
- PrésentationBroché
- Poids0.46 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-271-06398-1
- EAN9782271063984
- Date de parution30/03/2006
- CollectionCNRS philosophie
- ÉditeurCNRS
Résumé
L'ouvrage propose une approche synthétique sur un enjeu majeur de la philosophie moderne: le statut de l'idée et l'introduction de l'idéalisme à partir de la problématisation de la notion de représentation. Son enjeu est d'interroger, de ressaisir dans sa genèse, et de critiquer une thèse habituellement associée au problème de la connaissance à l'époque moderne, suivant laquelle l'idée est la médiation nécessaire entre la chose et l'esprit. Le volume débute par la philosophie classique, et les premiers éléments de la scolastique légués à la modernité, et il rejoint les enjeux actuels de la philosophie analytiques. Il est distribué en deux grandes parties consacrées à l'ancrage classique de la question, puis à ses requalifications depuis le XVIIIe siècle, essentiellement dans les textes de langue anglaise mais aussi chez Diderot. Le trajet proposé conduit de la conceptualisation cartésienne de l'idée et de sa fonction représentative, à l'examen des rapports entre sensation et représentation dans la philosophie de langue anglaise et, enfin, à la critique de l'idéalisme dans les théories du réalisme direct au XXe siècle.
L'ouvrage propose une approche synthétique sur un enjeu majeur de la philosophie moderne: le statut de l'idée et l'introduction de l'idéalisme à partir de la problématisation de la notion de représentation. Son enjeu est d'interroger, de ressaisir dans sa genèse, et de critiquer une thèse habituellement associée au problème de la connaissance à l'époque moderne, suivant laquelle l'idée est la médiation nécessaire entre la chose et l'esprit. Le volume débute par la philosophie classique, et les premiers éléments de la scolastique légués à la modernité, et il rejoint les enjeux actuels de la philosophie analytiques. Il est distribué en deux grandes parties consacrées à l'ancrage classique de la question, puis à ses requalifications depuis le XVIIIe siècle, essentiellement dans les textes de langue anglaise mais aussi chez Diderot. Le trajet proposé conduit de la conceptualisation cartésienne de l'idée et de sa fonction représentative, à l'examen des rapports entre sensation et représentation dans la philosophie de langue anglaise et, enfin, à la critique de l'idéalisme dans les théories du réalisme direct au XXe siècle.