La réinvention du nom de Dieu. Où donc Dieu s'en est-il allé ?

Par : Gérard Siegwalt
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  • Nombre de pages176
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.196 kg
  • Dimensions12,8 cm × 20,4 cm × 1,4 cm
  • ISBN978-2-8309-1741-3
  • EAN9782830917413
  • Date de parution03/03/2021
  • CollectionRésonances théologiques
  • ÉditeurLabor et Fides

Résumé

La réinvention du nom de Dieu Cet écrit est l'essai de penser l'ébranlement de notre civilisation de l'oubli de Dieu, d'une part, la conscience de la présence agissante de Dieu dans le cours du monde, d'autre part. Oubli de Dieu : Dieu n'appartient pas à la réalité du temps présent. Non seulement les sciences de la nature n'en ont pas besoin pour expliquer l'origine et l'évolution du monde ; de manière tout empirique, la plupart de nos contemporains (sous nos latitudes) mènent leur vie sans aucune référence à Dieu.
Et dans notre civilisation où tout parait faisable, il n'y a pas de place pour Dieu. Ebranlement de notre civilisation : par le choc du réel. Il concerne la terre, la société, les personnes. Il se traduit par un cri. Notre génération : la génération du cri. Quelle est la signification de ce cri, par-delà son appel à un sens de la vie, à la justice entre les humains, à un salut - une résilience - dans la perdition ? Le cri est ici interprété comme un nouveau commencement, à portée oecuménique et donc pour toute la terre habitée, en train de se produire.
Il tient à la réinvention du nom de Dieu.
La réinvention du nom de Dieu Cet écrit est l'essai de penser l'ébranlement de notre civilisation de l'oubli de Dieu, d'une part, la conscience de la présence agissante de Dieu dans le cours du monde, d'autre part. Oubli de Dieu : Dieu n'appartient pas à la réalité du temps présent. Non seulement les sciences de la nature n'en ont pas besoin pour expliquer l'origine et l'évolution du monde ; de manière tout empirique, la plupart de nos contemporains (sous nos latitudes) mènent leur vie sans aucune référence à Dieu.
Et dans notre civilisation où tout parait faisable, il n'y a pas de place pour Dieu. Ebranlement de notre civilisation : par le choc du réel. Il concerne la terre, la société, les personnes. Il se traduit par un cri. Notre génération : la génération du cri. Quelle est la signification de ce cri, par-delà son appel à un sens de la vie, à la justice entre les humains, à un salut - une résilience - dans la perdition ? Le cri est ici interprété comme un nouveau commencement, à portée oecuménique et donc pour toute la terre habitée, en train de se produire.
Il tient à la réinvention du nom de Dieu.