Dogmatique pour la catholicité évangélique. Tome 5, L'affirmation de la foi, théologie théologique Volume 1, De la transcendance au Dieu vivant

Par : Gérard Siegwalt

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  • Nombre de pages314
  • PrésentationBroché
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-8309-1212-8
  • EAN9782830912128
  • Date de parution01/08/2006
  • ÉditeurLabor et Fides

Résumé

Dans ce premier volume de la Théologie théologique, le point de départ est pris dans le contexte culturel caractérisé par le sécularisme, le pluralisme religieux, l'athéisme à cause du mal radical, l'incertitude quant au permis et à l'interdit et le problème de la justice sociale. On ne peut rendre compte de Dieu que dans, avec et à travers le réel tel qu'il est. C'est là la tâche de la philosophie théologique.
Dieu, ou le divin, est ici la dimension de transcendance du réel. La décomposition du divin caractéristique de la modernité dans son aboutissement présent, est le passage vers une nouvelle naissance du divin. Dieu n'est pas au départ mais à l'arrivée, ou plutôt : il n'apparaît comme étant déjà au départ qu'à l'arrivée. La réalité du mal est le permanent obstacle vers Dieu et la permanente mise en route vers lui.
Pas plus qu'on ne peut se dispenser de référer le monothéisme au polythéisme, précisément aussi à ce dernier et donc à l'idolâtrie dans ses expressions actuelles, on n'échappe, à l'intérieur du monothéisme, à la question du mal et Dieu. Cette question est au cœur - le cœur - de l'approche humaine de Dieu.
Dans ce premier volume de la Théologie théologique, le point de départ est pris dans le contexte culturel caractérisé par le sécularisme, le pluralisme religieux, l'athéisme à cause du mal radical, l'incertitude quant au permis et à l'interdit et le problème de la justice sociale. On ne peut rendre compte de Dieu que dans, avec et à travers le réel tel qu'il est. C'est là la tâche de la philosophie théologique.
Dieu, ou le divin, est ici la dimension de transcendance du réel. La décomposition du divin caractéristique de la modernité dans son aboutissement présent, est le passage vers une nouvelle naissance du divin. Dieu n'est pas au départ mais à l'arrivée, ou plutôt : il n'apparaît comme étant déjà au départ qu'à l'arrivée. La réalité du mal est le permanent obstacle vers Dieu et la permanente mise en route vers lui.
Pas plus qu'on ne peut se dispenser de référer le monothéisme au polythéisme, précisément aussi à ce dernier et donc à l'idolâtrie dans ses expressions actuelles, on n'échappe, à l'intérieur du monothéisme, à la question du mal et Dieu. Cette question est au cœur - le cœur - de l'approche humaine de Dieu.