Cher Vous,
Vadim a douze ans. Il est né à Paris, la plus belle ville du Monde. Mais quand on est asthmatique, la plus belle ville du Monde peut être plus source d'inconfort que de bonheur.
Heureusement, des amis de sa famille lui propose de partir à la Montagne pour se soigner... avec le bon air pur des Alpes, son asthme sera vite soigné.
Vadim monte alors dans le train à Paris... quand il arrive après de longues heures, tout est nouveau : il découvre la neige, le froid et les personnes chez qui il va loger... de parfaits inconnus pour lesquels il est Vincent... parce que même son prénom est une nouveauté.
Si les premiers jours, Vincent reste replié sur lui-même, il se laissera doucement apprivoiser par cette famille, certes un peu rude, mais au coeur si grand qu'elle lui a offert l'asile sans poser de question.
Et puis, il y aura le premier choc, celui de la montagne, de ses hauteurs, de ses couleurs changeantes, de ses odeurs, de ses saisons intenses, de son immensité...
"Il n'écoute pas, il a de la montagne plein les yeux, les tympans, les poumons, les synapses, il est envahi de montagne, elle est trop immense, trop étrange, trop nouvelle pour qu'il s'en détache."
Et puis, et puis surtout, il y a Moinette...
"Moinette est une chouette, une fée, un lutin, Moinette guide, surprend, se moque, rit, se vante, râle [...]"
Avec L'île haute, Valentine Goby offre un roman à plusieurs dimensions, dans lequel la montagne devient un personnage à part entière, et pare l'histoire de Vadim d'une dimension onirique tout à fait particulière.
L'île haute est un roman de l'abandon des siens, de soi-même, de l'insouciance qui demeure malgré tout, de la résilience et puis surtout de la transition entre l'enfance et l'adolescence.
Un roman intense, initiatique, très émotionnel... à la fin bouleversante !
http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2023/01/04/39768407.html
Cher Vous,
Vadim a douze ans. Il est né à Paris, la plus belle ville du Monde. Mais quand on est asthmatique, la plus belle ville du Monde peut être plus source d'inconfort que de bonheur.
Heureusement, des amis de sa famille lui propose de partir à la Montagne pour se soigner... avec le bon air pur des Alpes, son asthme sera vite soigné.
Vadim monte alors dans le train à Paris... quand il arrive après de longues heures, tout est nouveau : il découvre la neige, le froid et les personnes chez qui il va loger... de parfaits inconnus pour lesquels il est Vincent... parce que même son prénom est une nouveauté.
Si les premiers jours, Vincent reste replié sur lui-même, il se laissera doucement apprivoiser par cette famille, certes un peu rude, mais au coeur si grand qu'elle lui a offert l'asile sans poser de question.
Et puis, il y aura le premier choc, celui de la montagne, de ses hauteurs, de ses couleurs changeantes, de ses odeurs, de ses saisons intenses, de son immensité...
"Il n'écoute pas, il a de la montagne plein les yeux, les tympans, les poumons, les synapses, il est envahi de montagne, elle est trop immense, trop étrange, trop nouvelle pour qu'il s'en détache."
Et puis, et puis surtout, il y a Moinette...
"Moinette est une chouette, une fée, un lutin, Moinette guide, surprend, se moque, rit, se vante, râle [...]"
Avec L'île haute, Valentine Goby offre un roman à plusieurs dimensions, dans lequel la montagne devient un personnage à part entière, et pare l'histoire de Vadim d'une dimension onirique tout à fait particulière.
L'île haute est un roman de l'abandon des siens, de soi-même, de l'insouciance qui demeure malgré tout, de la résilience et puis surtout de la transition entre l'enfance et l'adolescence.
Un roman intense, initiatique, très émotionnel... à la fin bouleversante !
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