L'éloquence de la foi. Prédications 1789-1833
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- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.24 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-37466-030-1
- EAN9782374660301
- Date de parution31/10/2023
- CollectionRéférences théologiques
- ÉditeurVan Dieren
- TraducteurBernard Reymond
Résumé
Philosophe, philologue, herméneute, traducteur et théologien tout à la fois, Schleiemacher participe à la création de la revue Athenaeum avec les frères Schlegel et Novalis. Voici donc un théologien mêlé à une publication fondatrice du premier Romantisme allemand ! De Schleiermacher nous avions publié en 2004 De la religion. Discours aux personnes cultivées d'entre ses mépriseurs, manifeste romantique de 1799 qui invite à penser l'articulation de la religion à la culture dans un monde qui se sécularise et où la figure de l'Homme est en profonde mutation.
Sa traduction de Platon - qui continue à faire autorité dans le monde germanophone - pourrait bien avoir inspiré ce quelque chose d'une " maïeutique socratique " dans sa démarche de théologien et de prédicateur, lorsqu'à l'enseigne de la conscience de soi, il engage son public sur la voie de la réflexion personnelle, même concernant les vérités tenues pour essentielles. Pour ce volume, Bernard Reymond a choisi douze prédications restituant la virtuosité de ce " musicien du verbe ", qui fait adhérer l'auditeur à la qualité intrinsèque de son propos.
Quand il prêchait au temple de la Trinité à Berlin, un public nombreux composé de Berlinois et d'intellectuels étrangers de passage se pressait pour occuper toutes les 1125 places assises du temple. L'éloquence est centrale dans sa prédication, mais, bien loin des afféteries de chaire, elle est là pour que " la religion accompagne cette mélodie [de la vie] de variations infiniment riches [... ] et transforme ainsi le simple chant de la vie en une somptueuse harmonie polyphonique " (De la religion, p.
103).
Sa traduction de Platon - qui continue à faire autorité dans le monde germanophone - pourrait bien avoir inspiré ce quelque chose d'une " maïeutique socratique " dans sa démarche de théologien et de prédicateur, lorsqu'à l'enseigne de la conscience de soi, il engage son public sur la voie de la réflexion personnelle, même concernant les vérités tenues pour essentielles. Pour ce volume, Bernard Reymond a choisi douze prédications restituant la virtuosité de ce " musicien du verbe ", qui fait adhérer l'auditeur à la qualité intrinsèque de son propos.
Quand il prêchait au temple de la Trinité à Berlin, un public nombreux composé de Berlinois et d'intellectuels étrangers de passage se pressait pour occuper toutes les 1125 places assises du temple. L'éloquence est centrale dans sa prédication, mais, bien loin des afféteries de chaire, elle est là pour que " la religion accompagne cette mélodie [de la vie] de variations infiniment riches [... ] et transforme ainsi le simple chant de la vie en une somptueuse harmonie polyphonique " (De la religion, p.
103).
Philosophe, philologue, herméneute, traducteur et théologien tout à la fois, Schleiemacher participe à la création de la revue Athenaeum avec les frères Schlegel et Novalis. Voici donc un théologien mêlé à une publication fondatrice du premier Romantisme allemand ! De Schleiermacher nous avions publié en 2004 De la religion. Discours aux personnes cultivées d'entre ses mépriseurs, manifeste romantique de 1799 qui invite à penser l'articulation de la religion à la culture dans un monde qui se sécularise et où la figure de l'Homme est en profonde mutation.
Sa traduction de Platon - qui continue à faire autorité dans le monde germanophone - pourrait bien avoir inspiré ce quelque chose d'une " maïeutique socratique " dans sa démarche de théologien et de prédicateur, lorsqu'à l'enseigne de la conscience de soi, il engage son public sur la voie de la réflexion personnelle, même concernant les vérités tenues pour essentielles. Pour ce volume, Bernard Reymond a choisi douze prédications restituant la virtuosité de ce " musicien du verbe ", qui fait adhérer l'auditeur à la qualité intrinsèque de son propos.
Quand il prêchait au temple de la Trinité à Berlin, un public nombreux composé de Berlinois et d'intellectuels étrangers de passage se pressait pour occuper toutes les 1125 places assises du temple. L'éloquence est centrale dans sa prédication, mais, bien loin des afféteries de chaire, elle est là pour que " la religion accompagne cette mélodie [de la vie] de variations infiniment riches [... ] et transforme ainsi le simple chant de la vie en une somptueuse harmonie polyphonique " (De la religion, p.
103).
Sa traduction de Platon - qui continue à faire autorité dans le monde germanophone - pourrait bien avoir inspiré ce quelque chose d'une " maïeutique socratique " dans sa démarche de théologien et de prédicateur, lorsqu'à l'enseigne de la conscience de soi, il engage son public sur la voie de la réflexion personnelle, même concernant les vérités tenues pour essentielles. Pour ce volume, Bernard Reymond a choisi douze prédications restituant la virtuosité de ce " musicien du verbe ", qui fait adhérer l'auditeur à la qualité intrinsèque de son propos.
Quand il prêchait au temple de la Trinité à Berlin, un public nombreux composé de Berlinois et d'intellectuels étrangers de passage se pressait pour occuper toutes les 1125 places assises du temple. L'éloquence est centrale dans sa prédication, mais, bien loin des afféteries de chaire, elle est là pour que " la religion accompagne cette mélodie [de la vie] de variations infiniment riches [... ] et transforme ainsi le simple chant de la vie en une somptueuse harmonie polyphonique " (De la religion, p.
103).