L'Amérique ibérique. De 1570 à 1910

Par : Thomas Calvo

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  • Nombre de pages359
  • PrésentationBroché
  • Poids0.425 kg
  • Dimensions15,1 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-09-190019-2
  • EAN9782091900193
  • Date de parution01/01/1994
  • Collectionfac. histoire
  • ÉditeurNathan

Résumé

L'Amérique ibérique naît véritablement dans les dernières décennies du XVIe siècle après un demi-siècle de prédation. La colonisation mise en place par les deux monarchies de la Péninsule, l'Espagne et le Portugal, façonne au cours des XVIIe et XVIIIe siècles des acculturations ayant leur cohérence : occidentalisation ou indianisation selon le cas, sur fond de mines, de grands domaines, de splendeurs baroques et de révoltes sanglantes. Au XIXe siècle s'ouvre l'ère des indépendances. Tout au long de ce siècle une nouvelle Amérique émerge, parfois dans l'enthousiasme, souvent dans le desespoir : une autre acculturation, une autre occidentalisation, mi-technicienne, mi-culturelle, intervient. Au milieu des tragédies et des hésitations, les forces traditionnelles se décomposent et de nouveaux acteurs apparaissent, armée professionnelle, forces sociales organisées -partis, syndicats-, impérialisme américain... Progressivement, l'Ancien Régime s'estompe, mais la dépendance, voire la servitude, n'est pas moins lourde.
L'Amérique ibérique naît véritablement dans les dernières décennies du XVIe siècle après un demi-siècle de prédation. La colonisation mise en place par les deux monarchies de la Péninsule, l'Espagne et le Portugal, façonne au cours des XVIIe et XVIIIe siècles des acculturations ayant leur cohérence : occidentalisation ou indianisation selon le cas, sur fond de mines, de grands domaines, de splendeurs baroques et de révoltes sanglantes. Au XIXe siècle s'ouvre l'ère des indépendances. Tout au long de ce siècle une nouvelle Amérique émerge, parfois dans l'enthousiasme, souvent dans le desespoir : une autre acculturation, une autre occidentalisation, mi-technicienne, mi-culturelle, intervient. Au milieu des tragédies et des hésitations, les forces traditionnelles se décomposent et de nouveaux acteurs apparaissent, armée professionnelle, forces sociales organisées -partis, syndicats-, impérialisme américain... Progressivement, l'Ancien Régime s'estompe, mais la dépendance, voire la servitude, n'est pas moins lourde.