Jeunesse et société. Pour une anthropologie de la vie et de l'espérance
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.184 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-343-18887-4
- EAN9782343188874
- Date de parution27/11/2019
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierStan Rougier
Résumé
Comment mieux aider les jeunes à s'insérer dans la société et à y trouver totalement leur place ? Pour y arriver, l'auteur souhaite un langage et des codes de compréhension communs entre générations qui s'adaptent à l'évolution actuelle de la société. C'est le nouveau contrat social qu'il appelle de tous ses vux. Une société fondée sur des valeurs acceptables et communes est possible ! Pour y arriver, il faut immigrer, il faut faire des passages et des remises en cause.
Ce n'est plus la question du "comment guérir la jeunesse de ses maux", de ses déviances, mais plutôt se demander, si ces déviances, comme le dirait Marcel Rioux, ne sont pas des signes annonciateurs d'un temps nouveau, d'un désir profond de révolution sociétale.
Ce n'est plus la question du "comment guérir la jeunesse de ses maux", de ses déviances, mais plutôt se demander, si ces déviances, comme le dirait Marcel Rioux, ne sont pas des signes annonciateurs d'un temps nouveau, d'un désir profond de révolution sociétale.
Comment mieux aider les jeunes à s'insérer dans la société et à y trouver totalement leur place ? Pour y arriver, l'auteur souhaite un langage et des codes de compréhension communs entre générations qui s'adaptent à l'évolution actuelle de la société. C'est le nouveau contrat social qu'il appelle de tous ses vux. Une société fondée sur des valeurs acceptables et communes est possible ! Pour y arriver, il faut immigrer, il faut faire des passages et des remises en cause.
Ce n'est plus la question du "comment guérir la jeunesse de ses maux", de ses déviances, mais plutôt se demander, si ces déviances, comme le dirait Marcel Rioux, ne sont pas des signes annonciateurs d'un temps nouveau, d'un désir profond de révolution sociétale.
Ce n'est plus la question du "comment guérir la jeunesse de ses maux", de ses déviances, mais plutôt se demander, si ces déviances, comme le dirait Marcel Rioux, ne sont pas des signes annonciateurs d'un temps nouveau, d'un désir profond de révolution sociétale.
