François Libermann. Une pensée par jour

Par : Pierre Loubier

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 10 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.072 kg
  • Dimensions9,5 cm × 14,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-7122-1591-0
  • EAN9782712215910
  • Date de parution21/10/2021
  • CollectionUne pensée par jour
  • ÉditeurMédiaspaul

Résumé

Avec François Libermann, la collection Une pensée par jour accueille, s'enrichit d'un maître spirituel et fondateur de communauté hors pair et pourtant peu connu. Né dans une famille juive, à Saverne, en 1802, et destiné au rabbinat par son père, il découvre le monde, la modernité et le catholicisme à Metz où il a été envoyé aux études. Il est baptisé la veille de Noël 1826 sous le nom de François, Marie et, désirant devenir prêtre, il entre au séminaire parisien de Saint Sulpice en 1827.
Renié par son père, Libermann est victime en 1829 d'une crise d'épilepsie qui l'oblige à interrompre ses études de prêtrise. Mais il apparaît déjà pour beaucoup comme un modèle spirituel, rassemblant de petits cercles d'étudiants à Paris pour méditer la Bible et s'occuper des pauvres. Il devient économe au séminaire d'Issy-les-Moulineaux, puis il rejoint les Eudistes à Rennes. En 1839, il est sollicité par deux séminaristes créoles qui s'inquiètent du sort des anciens esclaves délaissés dans les îles françaises.
Devenu expert dans la formation des prêtres, il accepte de les aider et de soumettre à Rome un projet pour l' "oeuvre des Noirs" . Le projet est accepté à condition qu'il devienne lui-même prêtre. Ordonné, il devient le supérieur de la petite oeuvre naissante qui se conçoit comme étant au service des plus pauvres, des délaissés, de ceux qui sont abandonnés après avoir été esclaves. En 1848, à la demande de Rome, il dissout sa jeune congrégation pour rejoindre la Congrégation du Saint-Esprit, fondée au XVIIIè siècle et qui connaît de grosses difficultés.
Il en est élu supérieur général et intègre les éléments de sa propre règle dans celle de la congrégation du Saint-Esprit placée sous la protection du Saint-Coeur de Marie. Il est considéré comme le second fondateur des Spiritains, après Claude Poullart des Places (1689-1709).
Avec François Libermann, la collection Une pensée par jour accueille, s'enrichit d'un maître spirituel et fondateur de communauté hors pair et pourtant peu connu. Né dans une famille juive, à Saverne, en 1802, et destiné au rabbinat par son père, il découvre le monde, la modernité et le catholicisme à Metz où il a été envoyé aux études. Il est baptisé la veille de Noël 1826 sous le nom de François, Marie et, désirant devenir prêtre, il entre au séminaire parisien de Saint Sulpice en 1827.
Renié par son père, Libermann est victime en 1829 d'une crise d'épilepsie qui l'oblige à interrompre ses études de prêtrise. Mais il apparaît déjà pour beaucoup comme un modèle spirituel, rassemblant de petits cercles d'étudiants à Paris pour méditer la Bible et s'occuper des pauvres. Il devient économe au séminaire d'Issy-les-Moulineaux, puis il rejoint les Eudistes à Rennes. En 1839, il est sollicité par deux séminaristes créoles qui s'inquiètent du sort des anciens esclaves délaissés dans les îles françaises.
Devenu expert dans la formation des prêtres, il accepte de les aider et de soumettre à Rome un projet pour l' "oeuvre des Noirs" . Le projet est accepté à condition qu'il devienne lui-même prêtre. Ordonné, il devient le supérieur de la petite oeuvre naissante qui se conçoit comme étant au service des plus pauvres, des délaissés, de ceux qui sont abandonnés après avoir été esclaves. En 1848, à la demande de Rome, il dissout sa jeune congrégation pour rejoindre la Congrégation du Saint-Esprit, fondée au XVIIIè siècle et qui connaît de grosses difficultés.
Il en est élu supérieur général et intègre les éléments de sa propre règle dans celle de la congrégation du Saint-Esprit placée sous la protection du Saint-Coeur de Marie. Il est considéré comme le second fondateur des Spiritains, après Claude Poullart des Places (1689-1709).
Composite
Léon-Paul Fargue, André Beucler
E-book
15,99 €
Composite
Léon-Paul Fargue, André Beucler
E-book
15,99 €
La voix plaintive
Pierre Loubier
E-book
23,99 €
Revue Nerval N° 2, 2018
Daniel Sangsue, Pierre Loubier, Filip Kekus, Michiko Asahina
Grand Format
43,00 €
Composite
Léon-Paul Fargue, André Beucler
Grand Format
21,50 €
Ludions
Pierre Loubier
10,00 €