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  • Nombre de pages364
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 2,7 cm
  • ISBN978-2-8236-0290-6
  • EAN9782823602906
  • Date de parution21/08/2014
  • ÉditeurEditions de l'Olivier
  • TraducteurMarc Amfreville

Résumé

La Seconde Guerre mondiale touche à sa fin. A bord d'un porte-avions, au large du Japon, Philip Bowman rentre aux Etats-Unis. Il a deux obsessions, qui l'accompagneront tout au long de sa vie : la littérature et la quête de l'amour. Embauché par un éditeur, il découvre un milieu très fermé, fait de maisons indépendantes, et encore dirigées par ceux qui les ont fondées. Bowman s'y sent comme un poisson dans l'eau, et sa réussite s'avère aussi rapide qu'indiscutable.
Reste l'amour, ou plutôt cette sorte d'idéal qu'il poursuit, et qui ne cesse de se dérober à lui. L'échec d'un premier mariage, l'éblouissement de la passion physique et le goût amer de la trahison sont quelques-uns des moments de cette chasse au bonheur dont l'issue demeure incertaine. Ce livre magnifique est comme le testament d'une génération d'écrivains, derniers témoins, sans le savoir, d'un monde promis à la disparition.
Parce que l'art est le seul lieu où les contraires coexistent sans se détruire, il noue d'un même geste la soif de vivre de la jeunesse et la mélancolie de l'âge mûr, la frénésie érotique et le besoin d'apaisement, la recherche de la gloire et la conscience aiguë de son insignifiance.
La Seconde Guerre mondiale touche à sa fin. A bord d'un porte-avions, au large du Japon, Philip Bowman rentre aux Etats-Unis. Il a deux obsessions, qui l'accompagneront tout au long de sa vie : la littérature et la quête de l'amour. Embauché par un éditeur, il découvre un milieu très fermé, fait de maisons indépendantes, et encore dirigées par ceux qui les ont fondées. Bowman s'y sent comme un poisson dans l'eau, et sa réussite s'avère aussi rapide qu'indiscutable.
Reste l'amour, ou plutôt cette sorte d'idéal qu'il poursuit, et qui ne cesse de se dérober à lui. L'échec d'un premier mariage, l'éblouissement de la passion physique et le goût amer de la trahison sont quelques-uns des moments de cette chasse au bonheur dont l'issue demeure incertaine. Ce livre magnifique est comme le testament d'une génération d'écrivains, derniers témoins, sans le savoir, d'un monde promis à la disparition.
Parce que l'art est le seul lieu où les contraires coexistent sans se détruire, il noue d'un même geste la soif de vivre de la jeunesse et la mélancolie de l'âge mûr, la frénésie érotique et le besoin d'apaisement, la recherche de la gloire et la conscience aiguë de son insignifiance.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Odile E.Decitre Part-Dieu
4/5
et rien d'autre
ET RIEN D'AUTRE James Salter De la fin de la seconde guerre mondiale à une trentaine d'années plus tard, nous partageons la vie de Philip Bowman aux Etats-unis et surtout à New-York. Personnage principal, il nous invite à découvrir le monde de l'édition de l'époque et les anecdotes diverses qui le composent. Nous prenons part aussi à sa recherche constante de l'amour. « Et rien d'autre » nous conte différents moments de vie tous plus croustillants les uns que les autres dans un monde qui n'existe plus mis à part peut-être dans les comportements humains qui resteront, à quelques variantes près, universels... De conquêtes en échecs, ainsi va la vie... et James Salter nous l'explique à merveille dans ce roman d'une belle écriture, passionnant, sensuel et rempli de personnages originaux et pourtant ordinaires, où tout un chacun peut s'identifier. Odile
ET RIEN D'AUTRE James Salter De la fin de la seconde guerre mondiale à une trentaine d'années plus tard, nous partageons la vie de Philip Bowman aux Etats-unis et surtout à New-York. Personnage principal, il nous invite à découvrir le monde de l'édition de l'époque et les anecdotes diverses qui le composent. Nous prenons part aussi à sa recherche constante de l'amour. « Et rien d'autre » nous conte différents moments de vie tous plus croustillants les uns que les autres dans un monde qui n'existe plus mis à part peut-être dans les comportements humains qui resteront, à quelques variantes près, universels... De conquêtes en échecs, ainsi va la vie... et James Salter nous l'explique à merveille dans ce roman d'une belle écriture, passionnant, sensuel et rempli de personnages originaux et pourtant ordinaires, où tout un chacun peut s'identifier. Odile
Magistral !
Après dix ans de silence, l'écrivain américain James Salter revient sur le devant de la scène littéraire avec un nouveau roman qui constitue l'un des événements de cette rentrée. Amateurs de récits classiques avec une intrigue linéaire et des péripéties ordinaires, passez votre chemin. Il n'y a pas ici d'histoire à proprement parler mais plutôt le déroulé d'une vie avec un individu que l'on suit sur près de cinquante années, traversant la vie au gré de ses rencontres amicales, de ses aventures amoureuses et de ses relations professionnelles. L'auteur fait aussi la part belle aux personnages secondaires et, ce faisant, il nous brosse le portrait de toute une génération. Il s'agit d'évoquer ce grand bouillonnement qu'est la vie en nous parlant des hasards et des coîncidences qui la constituent.
Après dix ans de silence, l'écrivain américain James Salter revient sur le devant de la scène littéraire avec un nouveau roman qui constitue l'un des événements de cette rentrée. Amateurs de récits classiques avec une intrigue linéaire et des péripéties ordinaires, passez votre chemin. Il n'y a pas ici d'histoire à proprement parler mais plutôt le déroulé d'une vie avec un individu que l'on suit sur près de cinquante années, traversant la vie au gré de ses rencontres amicales, de ses aventures amoureuses et de ses relations professionnelles. L'auteur fait aussi la part belle aux personnages secondaires et, ce faisant, il nous brosse le portrait de toute une génération. Il s'agit d'évoquer ce grand bouillonnement qu'est la vie en nous parlant des hasards et des coîncidences qui la constituent.
  • Eblouissant

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.5/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Emballé par l'écriture, déçu par le contenu
Le dernier roman de James Salter, Et Rien d'autre, est la définition même du livre clivant: certains vont adorer et aduler, d'autres vont trouver insignifiant et laisser de côté. Ça se lit d'ailleurs dans les critiques journalistiques (comment ne pas penser à François Busnel et le magazine Lire qui place le roman en 1ère position des romans étrangers pour l'année 2014). Pour ma part, je ferai une critique de normand! Autant j'ai apprécié l'écriture et le style de James Salter, autant je me suis ennuyé à la lecture du roman. J'ai plusieurs fois été proche par lassitude de le refermer sans le terminer. J'ai malgré tout laissé sa chance à l'auteur jusqu'à la dernière page. Je ne cache pas que j'ai lu certains chapitres en diagonale... Le thème principal du roman est intéressant: le monde de l'édition aux Etats-Unis à travers la vie et les frasques de Philip Bowman, vétéran de guerre. L'amour et le sexe sont très présents tout au long des pages. Autant cela est souvent osé et explicite, autant ce n'est que rarement vulgaire. Un bon point pour l'auteur. Le roman contient une trentaine de chapitres conçue de manière assez similaire: un mélange de dialogue entre les personnages et de récit. C'est en grande partie cette construction de chapitres qui donne un côté très vivant au récit qui m'a permis d'arriver au bout du roman. Le style est fluide et plutôt agréable à lire. Il y a de la recherche dans la construction des phrases et le choix des mots. J'ai été d'ailleurs sensible à l'utilisation de mots français par l'auteur. De même, le récit est riche culturellement et sur la vie aux Etats-Unis post 2ème guerre mondiale. On apprend beaucoup de choses. Néanmoins, le coté libertin et très sexuel de certains chapitres m'ont paru inopportuns. De même, je me suis perdu au fur et à mesure avec les personnages secondaires et les frasques de Phil. Si le début du roman était prometteur, la suite lasse par sa platitude. Je ne m'attendais pas à des rebondissements mais j'espérais que cette description de "l'american way of life" qui est éloquente dans l'ensemble soit encore plus passionnante. Malheureusement cela ressemble plus à une succession d'anecdotes sans trop d'intérêts... Pour conclure, je ne regrette pas la lecture de ce roman (l'écriture de Salter est remarquable) mais je m'attendais à un meilleur contenu. 3/5
Le dernier roman de James Salter, Et Rien d'autre, est la définition même du livre clivant: certains vont adorer et aduler, d'autres vont trouver insignifiant et laisser de côté. Ça se lit d'ailleurs dans les critiques journalistiques (comment ne pas penser à François Busnel et le magazine Lire qui place le roman en 1ère position des romans étrangers pour l'année 2014). Pour ma part, je ferai une critique de normand! Autant j'ai apprécié l'écriture et le style de James Salter, autant je me suis ennuyé à la lecture du roman. J'ai plusieurs fois été proche par lassitude de le refermer sans le terminer. J'ai malgré tout laissé sa chance à l'auteur jusqu'à la dernière page. Je ne cache pas que j'ai lu certains chapitres en diagonale... Le thème principal du roman est intéressant: le monde de l'édition aux Etats-Unis à travers la vie et les frasques de Philip Bowman, vétéran de guerre. L'amour et le sexe sont très présents tout au long des pages. Autant cela est souvent osé et explicite, autant ce n'est que rarement vulgaire. Un bon point pour l'auteur. Le roman contient une trentaine de chapitres conçue de manière assez similaire: un mélange de dialogue entre les personnages et de récit. C'est en grande partie cette construction de chapitres qui donne un côté très vivant au récit qui m'a permis d'arriver au bout du roman. Le style est fluide et plutôt agréable à lire. Il y a de la recherche dans la construction des phrases et le choix des mots. J'ai été d'ailleurs sensible à l'utilisation de mots français par l'auteur. De même, le récit est riche culturellement et sur la vie aux Etats-Unis post 2ème guerre mondiale. On apprend beaucoup de choses. Néanmoins, le coté libertin et très sexuel de certains chapitres m'ont paru inopportuns. De même, je me suis perdu au fur et à mesure avec les personnages secondaires et les frasques de Phil. Si le début du roman était prometteur, la suite lasse par sa platitude. Je ne m'attendais pas à des rebondissements mais j'espérais que cette description de "l'american way of life" qui est éloquente dans l'ensemble soit encore plus passionnante. Malheureusement cela ressemble plus à une succession d'anecdotes sans trop d'intérêts... Pour conclure, je ne regrette pas la lecture de ce roman (l'écriture de Salter est remarquable) mais je m'attendais à un meilleur contenu. 3/5
2/5
déçue
Un livre qui se lit facilement, mais on peut déplorer des longueurs. L'auteur se noie dans un délayage qui noie le lecteur dans l'ennui.
Un livre qui se lit facilement, mais on peut déplorer des longueurs. L'auteur se noie dans un délayage qui noie le lecteur dans l'ennui.
  • Surprenant
Sans intérêt
Démobilisé à la fin de la deuxième guerre mondiale, après avoir servi dans la marine et participé à la bataille d'Okinawa, Philip Bowman arrive à New-York prêt à se lancer dans la vie professionnelle. D'abord tenté par une carrière de journaliste, il déchante très vite devant le manque d'offres d'emploi. C'est finalement la maison d'édition Baum qui lui donne sa chance en l'embauchant comme lecteur, puis directeur de collection. Très heureux dans sa nouvelle vie, il concrétise son bonheur en épousant Vivian, une virginienne issue d'une riche famille de propriétaires terriens. Le mariage tourne court, Vivian le quittant sans faire de bruit, énonçant l'évidence : ils n'ont rien en commun. Suivront d'autres femmes, parfois libres, souvent mariées. Il sera aimé, quitté, trahi, il aimera, quittera, trahira. Mais ses liaisons ne seront finalement que de simples péripéties dans une existence bien remplie, faite de voyages en Europe, de rencontres avec les auteurs, les éditeurs, de soirées, de sorties, de week-ends à la campagne. Un héros désincarné qui, s'il éprouve des sentiments, semble loin de toute passion, des femmes objets toujours belles, les pommettes hautes, le nez long, souvent froides, dont on ne connaît jamais les pensées, du sexe à gogo, une cruelle absence des livres -on évolue tout de même dans le monde de l'édition!-, beaucoup de bavardages, de digressions, de détails inintéressants, il faut vraiment faire preuve de bonne volonté pour arriver au bout de cette longue succession d'anecdotes sans grand intérêt. Misogyne, ennuyeux, mondain ...Et rien d'autre ? Ma foi, non !
Démobilisé à la fin de la deuxième guerre mondiale, après avoir servi dans la marine et participé à la bataille d'Okinawa, Philip Bowman arrive à New-York prêt à se lancer dans la vie professionnelle. D'abord tenté par une carrière de journaliste, il déchante très vite devant le manque d'offres d'emploi. C'est finalement la maison d'édition Baum qui lui donne sa chance en l'embauchant comme lecteur, puis directeur de collection. Très heureux dans sa nouvelle vie, il concrétise son bonheur en épousant Vivian, une virginienne issue d'une riche famille de propriétaires terriens. Le mariage tourne court, Vivian le quittant sans faire de bruit, énonçant l'évidence : ils n'ont rien en commun. Suivront d'autres femmes, parfois libres, souvent mariées. Il sera aimé, quitté, trahi, il aimera, quittera, trahira. Mais ses liaisons ne seront finalement que de simples péripéties dans une existence bien remplie, faite de voyages en Europe, de rencontres avec les auteurs, les éditeurs, de soirées, de sorties, de week-ends à la campagne. Un héros désincarné qui, s'il éprouve des sentiments, semble loin de toute passion, des femmes objets toujours belles, les pommettes hautes, le nez long, souvent froides, dont on ne connaît jamais les pensées, du sexe à gogo, une cruelle absence des livres -on évolue tout de même dans le monde de l'édition!-, beaucoup de bavardages, de digressions, de détails inintéressants, il faut vraiment faire preuve de bonne volonté pour arriver au bout de cette longue succession d'anecdotes sans grand intérêt. Misogyne, ennuyeux, mondain ...Et rien d'autre ? Ma foi, non !
Un bonheur parfait
5/5
4/5
James Salter
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