Entre l'enclume et le marteau : les cadres pris au piège
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- Nombre de pages222
- PrésentationBroché
- Poids0.278 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-02-108172-5
- EAN9782021081725
- Date de parution27/09/2012
- ÉditeurSeuil
Résumé
Longtemps considérés comme privilégiés dans l’entreprise, les cadres subissent désormais le lot
commun des salariés soumis aux méthodes de management absurdes et pathogènes des grandes
organisations. Ils n’échappent plus au harcèlement moral, aux exigences irréalisables, aux objectifs
contradictoires, à la précarité… bref aux conditions ordinaires dans les grandes entreprises et qui
engendrent souffrance psychique, stress chronique, dépressions et suicides.
Le mal-être des cadres au travail est pourtant singulier, car ils sont longtemps restés les instruments
zélés du nouveau management, « du bon côté du manche ».
Or ils se retrouvent désormais à la fois victimes et responsables de ce management. De surcroît, les cadres du secteur public, soumis à leur tour aux normes de gestion et de performance rodées dans le privé, doivent souffrir la contradiction entre ces nouvelles exigences et la notion de service public qui donnait sens à leur travail. L’auteur analyse ici ce mal-être spécifique en s’appuyant sur de nombreuses enquêtes et témoignages dans de grandes organisations privées et publiques.
Sa démarche est originale en ce sens qu’il ne se focalise pas sur la souffrance au travail elle-même, mais sur le piège systémique qui enferment des organisations trop complexes dans des pratiques absurdes et non viables. L’auteur s’attache aussi aux styles de pensée « rationnels » et « modernes » qui conduisent plus ou moins consciemment les cadres à adhérer à un système dont ils subissent pourtant aujourd’hui la violence.
Or ils se retrouvent désormais à la fois victimes et responsables de ce management. De surcroît, les cadres du secteur public, soumis à leur tour aux normes de gestion et de performance rodées dans le privé, doivent souffrir la contradiction entre ces nouvelles exigences et la notion de service public qui donnait sens à leur travail. L’auteur analyse ici ce mal-être spécifique en s’appuyant sur de nombreuses enquêtes et témoignages dans de grandes organisations privées et publiques.
Sa démarche est originale en ce sens qu’il ne se focalise pas sur la souffrance au travail elle-même, mais sur le piège systémique qui enferment des organisations trop complexes dans des pratiques absurdes et non viables. L’auteur s’attache aussi aux styles de pensée « rationnels » et « modernes » qui conduisent plus ou moins consciemment les cadres à adhérer à un système dont ils subissent pourtant aujourd’hui la violence.
Longtemps considérés comme privilégiés dans l’entreprise, les cadres subissent désormais le lot
commun des salariés soumis aux méthodes de management absurdes et pathogènes des grandes
organisations. Ils n’échappent plus au harcèlement moral, aux exigences irréalisables, aux objectifs
contradictoires, à la précarité… bref aux conditions ordinaires dans les grandes entreprises et qui
engendrent souffrance psychique, stress chronique, dépressions et suicides.
Le mal-être des cadres au travail est pourtant singulier, car ils sont longtemps restés les instruments
zélés du nouveau management, « du bon côté du manche ».
Or ils se retrouvent désormais à la fois victimes et responsables de ce management. De surcroît, les cadres du secteur public, soumis à leur tour aux normes de gestion et de performance rodées dans le privé, doivent souffrir la contradiction entre ces nouvelles exigences et la notion de service public qui donnait sens à leur travail. L’auteur analyse ici ce mal-être spécifique en s’appuyant sur de nombreuses enquêtes et témoignages dans de grandes organisations privées et publiques.
Sa démarche est originale en ce sens qu’il ne se focalise pas sur la souffrance au travail elle-même, mais sur le piège systémique qui enferment des organisations trop complexes dans des pratiques absurdes et non viables. L’auteur s’attache aussi aux styles de pensée « rationnels » et « modernes » qui conduisent plus ou moins consciemment les cadres à adhérer à un système dont ils subissent pourtant aujourd’hui la violence.
Or ils se retrouvent désormais à la fois victimes et responsables de ce management. De surcroît, les cadres du secteur public, soumis à leur tour aux normes de gestion et de performance rodées dans le privé, doivent souffrir la contradiction entre ces nouvelles exigences et la notion de service public qui donnait sens à leur travail. L’auteur analyse ici ce mal-être spécifique en s’appuyant sur de nombreuses enquêtes et témoignages dans de grandes organisations privées et publiques.
Sa démarche est originale en ce sens qu’il ne se focalise pas sur la souffrance au travail elle-même, mais sur le piège systémique qui enferment des organisations trop complexes dans des pratiques absurdes et non viables. L’auteur s’attache aussi aux styles de pensée « rationnels » et « modernes » qui conduisent plus ou moins consciemment les cadres à adhérer à un système dont ils subissent pourtant aujourd’hui la violence.