Du bonheur comme question éthique

Par : Alfredo Gomez-Muller

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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-7475-2465-5
  • EAN9782747524650
  • Date de parution22/05/2002
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Vivre, bien vivre, sur-vivre, mal-vivre : quels sont les critères qui nous permettent aujourd'hui de qualifier notre vie comme " bonne " ou " mauvaise " ? En observant que ces critères ne peuvent pas être simplement inventés par l'individu isolé, la réflexion éthique contemporaine redécouvre l'actualité de la question de la " vie bonne " ou du " bonheur ", qui fut au cœur des traditions éthiques grecque et médiévale. De nos jours, la question de la vie bonne, débarrassée de toute connotation élitiste ou individualiste, se rattache à d'importants débats de société, qui impliquent la signification de notions telles que " dignité humaine ", " qualité de la vie ", etc. Plus particulièrement, le débat sur l'universalité des droits de l'homme a établi, d'une manière nouvelle, que la définition des droits et des devoirs suppose toujours une certaine compréhension de l'homme ou, plus concrètement, de la vie humaine, c'est-à-dire, d'une vie bonne pour un être humain. Les six contributions qui conforment cet ouvrage collectif abordent cette question commune, en interrogeant les rapports entre l'éthique et la théorie du sujet, la liberté et le désir, l'autonomie et l'éducation morale, le " juste " et le " bien ", l'éthique et l'esthétique.
Vivre, bien vivre, sur-vivre, mal-vivre : quels sont les critères qui nous permettent aujourd'hui de qualifier notre vie comme " bonne " ou " mauvaise " ? En observant que ces critères ne peuvent pas être simplement inventés par l'individu isolé, la réflexion éthique contemporaine redécouvre l'actualité de la question de la " vie bonne " ou du " bonheur ", qui fut au cœur des traditions éthiques grecque et médiévale. De nos jours, la question de la vie bonne, débarrassée de toute connotation élitiste ou individualiste, se rattache à d'importants débats de société, qui impliquent la signification de notions telles que " dignité humaine ", " qualité de la vie ", etc. Plus particulièrement, le débat sur l'universalité des droits de l'homme a établi, d'une manière nouvelle, que la définition des droits et des devoirs suppose toujours une certaine compréhension de l'homme ou, plus concrètement, de la vie humaine, c'est-à-dire, d'une vie bonne pour un être humain. Les six contributions qui conforment cet ouvrage collectif abordent cette question commune, en interrogeant les rapports entre l'éthique et la théorie du sujet, la liberté et le désir, l'autonomie et l'éducation morale, le " juste " et le " bien ", l'éthique et l'esthétique.