De gré ou de force. Les femmes dans la mondialisation

Par : Jules Falquet

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 2 août et le 19 août
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera expédié 2 à 4 semaines après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages213
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-84303-156-4
  • EAN9782843031564
  • Date de parution29/05/2008
  • CollectionLe genre du monde
  • ÉditeurDispute (La)

Résumé

Ce livre part d'un point de vue inhabituel: celui des femmes en lutte. Il montre comment, de gré ou de force, les femmes sont au cœur de la mondialisation. Parce que les institutions internationales et les gouvernements tentent de s'appuyer sur elles, sur leur immense désir de " participer " et sur leur force de travail, pour en faire un pilier du néolibéralisme. Un certain discours sur l'égalité des sexes et sur le développement est mobilisé pour les engager à participer à leur propre domination et pour légitimer la mondialisation. Sur le plan économique, la surexploitation des paysannes, des ouvrières, des migrantes dans le travail sexuel et les " services " permet de dégager de nouveaux profits. Sur le plan de la contrainte par la force, à la violence " classique " les rapports hommes-femmes, contribuent à renouveler la compréhension des sociétés. contre les femmes s'ajoute un état international de guerre permanente. Ces deux formes de " guerre de basse intensité " contre la population civile font partie des nouveaux modes semi-privatisés de gestion de la force de travail mondialisée et féminisée.
Ce livre part d'un point de vue inhabituel: celui des femmes en lutte. Il montre comment, de gré ou de force, les femmes sont au cœur de la mondialisation. Parce que les institutions internationales et les gouvernements tentent de s'appuyer sur elles, sur leur immense désir de " participer " et sur leur force de travail, pour en faire un pilier du néolibéralisme. Un certain discours sur l'égalité des sexes et sur le développement est mobilisé pour les engager à participer à leur propre domination et pour légitimer la mondialisation. Sur le plan économique, la surexploitation des paysannes, des ouvrières, des migrantes dans le travail sexuel et les " services " permet de dégager de nouveaux profits. Sur le plan de la contrainte par la force, à la violence " classique " les rapports hommes-femmes, contribuent à renouveler la compréhension des sociétés. contre les femmes s'ajoute un état international de guerre permanente. Ces deux formes de " guerre de basse intensité " contre la population civile font partie des nouveaux modes semi-privatisés de gestion de la force de travail mondialisée et féminisée.
Nous sans l'Etat
Yásnaya Elena Aguilar Gil
Poche
13,00 €