Classes nouvelles et gai-savoir au féminin. Expérience pédagogique au Lycée Balzac de Tours éclairée par onze parcours de vie

Par : Martine Arnault

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  • Nombre de pages209
  • PrésentationBroché
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7475-6761-3
  • EAN9782747567619
  • Date de parution21/10/2004
  • CollectionHistoire de vie et formation
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierAntoine Prost
  • PostfacierAndré Vidricaire

Résumé

En 1945, la France renaît de ses cendres. L'Ecole repart à neuf. L'enseignement se démocratise. Le Ministère de l'Education Nationale crée deux cents "classes nouvelles" où sont testées des innovations. L'une est créée à Tours dès 1945 au lycée de jeunes filles, le Lycée Balzac. Une cinquantaine d'années plus tard, des anciennes élèves de ces classes - la promotion 1948-1952 - se retrouvent au lycée Balzac. Les "classes nouvelles" ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société. Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! (...) que tu es plein de bon sens, (...) un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu ! ..."
En 1945, la France renaît de ses cendres. L'Ecole repart à neuf. L'enseignement se démocratise. Le Ministère de l'Education Nationale crée deux cents "classes nouvelles" où sont testées des innovations. L'une est créée à Tours dès 1945 au lycée de jeunes filles, le Lycée Balzac. Une cinquantaine d'années plus tard, des anciennes élèves de ces classes - la promotion 1948-1952 - se retrouvent au lycée Balzac. Les "classes nouvelles" ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société. Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! (...) que tu es plein de bon sens, (...) un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu ! ..."