Classes nouvelles et gai-savoir au féminin. Expérience pédagogique au Lycée Balzac de Tours éclairée par onze parcours de vie
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- Nombre de pages212
- FormatPDF
- ISBN2-296-36641-4
- EAN9782296366411
- Date de parution01/10/2004
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAntoine Prost
- PostfacierAndré Vidricaire
Résumé
En 1945, la France renaît de ses cendres. L'Ecole repart à neuf. L'enseignement se démocratise. Le Ministère de l'Education Nationale crée deux cents " classes nouvelles " où sont testées des innovations. L'une est créée à Tours dès 1945 au lycée de jeunes filles, le Lycée Balzac. Une cinquantaine d'années plus tard, des anciennes élèves de ces classes - la promotion 1948-1952 - se retrouvent au lycée Balzac.
Les " classes nouvelles " ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société.
Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! [...] que tu es plein de bon sens, [...] un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu !...
"
Les " classes nouvelles " ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société.
Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! [...] que tu es plein de bon sens, [...] un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu !...
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En 1945, la France renaît de ses cendres. L'Ecole repart à neuf. L'enseignement se démocratise. Le Ministère de l'Education Nationale crée deux cents " classes nouvelles " où sont testées des innovations. L'une est créée à Tours dès 1945 au lycée de jeunes filles, le Lycée Balzac. Une cinquantaine d'années plus tard, des anciennes élèves de ces classes - la promotion 1948-1952 - se retrouvent au lycée Balzac.
Les " classes nouvelles " ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société.
Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! [...] que tu es plein de bon sens, [...] un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu !...
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Les " classes nouvelles " ont disparu. En échangeant leurs souvenirs, quelques-unes de ces anciennes - filles de la seconde guerre mondiale - se rendent compte qu'elles ont bénéficié d'une expérience exceptionnelle. Seraient-elles devenues les femmes qu'elles sont aujourd'hui si elles n'avaient profité de ces innovations pédagogiques ? Répondre à cette question leur est devenu une exigence. C'est la raison d'être de ce recueil de témoignages, à l'heure où l'on s'interroge sur l'avenir des établissements d'enseignement et sur l'éducation de l'enfant dans notre société.
Cette écriture a été pour plusieurs l'occasion de l'émergence d'une conscience plus vive de l'importance des apprentissages qui ne finissent jamais. Vive le gai-savoir, cette belle expression puisée dans la poésie des troubadours du Moyen-Age et que Rabelais, ce Tourangeau bien connu, chantait dans la bouche de Grandgousier : " Oh ! [...] que tu es plein de bon sens, [...] un de ces jours je te ferai passer docteur en gai-savoir, pardieu !...
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