Henry Corbin (1903-1978), diplômé de l'École pratique des hautes études sur le stoïcisme et l'augustinisme (1928) ainsi que de l'École des langues orientales en arabe, en persan et en turc (1929), entreprit, dès les années 1930, une lecture croisée des métaphysiques d'Orient et d'Occident.
Autour de Jung, le bouddhisme et la Sophia
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- Poids0.286 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-908606-93-5
- EAN9782908606935
- Date de parution19/11/2014
- ÉditeurEntrelacs
- PréfacierMichel Cazenave
Résumé
Henry Corbin a rencontré Jung à de multiples reprises, avant de prendre sa succession, lors des rencontres d'Ascona, en Suisse italienne, où se sont réunis pendant des années les plus grands spécialistes mondiaux de l'expérience religieuse tels Mircea Eliade, Hermann Hesse, Gilbert Durand, Gershom Scholem... Ce sont ses textes, totalement inédits, sur les rapports de Jung à la «pensée» bouddhique que l'on trouve dans ce livre.
La veuve de Henry Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu'on y ajoute un certain nombre d'annexes qui n'avaient pas été publiées jusqu'alors et, particulièrement, ce qu'il avait écrit, après la parution de la Réponse à Job de Jung, sur la figure de la Sophia, la «divine Sagesse», chez ce dernier. Les pages que l'on trouve ici, induisent une «autre» lecture de Jung dont, semble-t-il, plus personne ne pourra faire l'économie à l'avenir.
La veuve de Henry Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu'on y ajoute un certain nombre d'annexes qui n'avaient pas été publiées jusqu'alors et, particulièrement, ce qu'il avait écrit, après la parution de la Réponse à Job de Jung, sur la figure de la Sophia, la «divine Sagesse», chez ce dernier. Les pages que l'on trouve ici, induisent une «autre» lecture de Jung dont, semble-t-il, plus personne ne pourra faire l'économie à l'avenir.
Henry Corbin a rencontré Jung à de multiples reprises, avant de prendre sa succession, lors des rencontres d'Ascona, en Suisse italienne, où se sont réunis pendant des années les plus grands spécialistes mondiaux de l'expérience religieuse tels Mircea Eliade, Hermann Hesse, Gilbert Durand, Gershom Scholem... Ce sont ses textes, totalement inédits, sur les rapports de Jung à la «pensée» bouddhique que l'on trouve dans ce livre.
La veuve de Henry Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu'on y ajoute un certain nombre d'annexes qui n'avaient pas été publiées jusqu'alors et, particulièrement, ce qu'il avait écrit, après la parution de la Réponse à Job de Jung, sur la figure de la Sophia, la «divine Sagesse», chez ce dernier. Les pages que l'on trouve ici, induisent une «autre» lecture de Jung dont, semble-t-il, plus personne ne pourra faire l'économie à l'avenir.
La veuve de Henry Corbin, avant sa disparition, en remettant ces documents à Michel Cazenave, avait voulu qu'on y ajoute un certain nombre d'annexes qui n'avaient pas été publiées jusqu'alors et, particulièrement, ce qu'il avait écrit, après la parution de la Réponse à Job de Jung, sur la figure de la Sophia, la «divine Sagesse», chez ce dernier. Les pages que l'on trouve ici, induisent une «autre» lecture de Jung dont, semble-t-il, plus personne ne pourra faire l'économie à l'avenir.