Histoire et savoir philosophique. Tome 1, L'événement
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- Nombre de pages766
- PrésentationBroché
- Poids0.805 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-13-055569-8
- EAN9782130555698
- Date de parution21/08/2007
- CollectionPhilosophie d'aujourd'hui
- ÉditeurPUF
Résumé
Après l'Holocauste, et face au non-sens dans lequel est entraîné le monde actuel, la philosophie doit assumer sa responsabilité historique et intervenir. Elle doit le faire en s'interrogeant sur ce qui peut apporter sens à ce monde, sur ce qui peut y " faire événement ". Et elle doit dès lors se vouloir théologico-politique. Car qu'est-ce qui fait événement, pour l'homme pris dans ce que Freud appelle la pulsion de mort, mais capable, à partir de là, d'accéder à sa puissance créatrice d'individu ? D'une part et primordialement le sacrifice du Christ, par quoi est rendu acceptable, à l'homme foncièrement païen, un monde de droit où l'individu ait sa place - ce monde qu'avaient voulu les prophètes juifs et les philosophes grecs.
D'autre part et ultimement la révolution, qui répond au sens avant tout politique de ce sacrifice, et par quoi est fixée l'acceptation d'un tel monde, du " monde juste ". De là la discussion ici menée, avec Kierkegaard d'une part, et avec Marx d'autre part. Mais aussi, entre autres auteurs majeurs de la pensée contemporaine (Heidegger, Rosenzweig, Adorno, Lévinas, Lacan), avec Weber qui a souligné le rôle social essentiel de toutes les grandes religions, et notamment la portée décisive du judaïsme et du christianisme pour l'histoire et, dans cette histoire, pour l'avènement et le développement du capitalisme.
Ce livre propose une réinterprétation des analyses de Marx à partir de l'existence et de l'inconscient. Il veut montrer que la vraie révolution n'est pas, comme Marx le voulait, celle qui abolit le capitalisme. Mais celle qui, au contraire, le fixe définitivement, en tant qu'il est la forme minimale du mal social, du paganisme constitutivement humain. Rejeter le capitalisme (et la mondialisation à laquelle il conduit) ne peut que vouer l'homme à ce qui est l'extrême du paganisme.
A celui qui a débouché dans la catastrophe absolue de l'Holocauste. Et à celui qui menace aujourd'hui dans le terrorisme.
D'autre part et ultimement la révolution, qui répond au sens avant tout politique de ce sacrifice, et par quoi est fixée l'acceptation d'un tel monde, du " monde juste ". De là la discussion ici menée, avec Kierkegaard d'une part, et avec Marx d'autre part. Mais aussi, entre autres auteurs majeurs de la pensée contemporaine (Heidegger, Rosenzweig, Adorno, Lévinas, Lacan), avec Weber qui a souligné le rôle social essentiel de toutes les grandes religions, et notamment la portée décisive du judaïsme et du christianisme pour l'histoire et, dans cette histoire, pour l'avènement et le développement du capitalisme.
Ce livre propose une réinterprétation des analyses de Marx à partir de l'existence et de l'inconscient. Il veut montrer que la vraie révolution n'est pas, comme Marx le voulait, celle qui abolit le capitalisme. Mais celle qui, au contraire, le fixe définitivement, en tant qu'il est la forme minimale du mal social, du paganisme constitutivement humain. Rejeter le capitalisme (et la mondialisation à laquelle il conduit) ne peut que vouer l'homme à ce qui est l'extrême du paganisme.
A celui qui a débouché dans la catastrophe absolue de l'Holocauste. Et à celui qui menace aujourd'hui dans le terrorisme.
Après l'Holocauste, et face au non-sens dans lequel est entraîné le monde actuel, la philosophie doit assumer sa responsabilité historique et intervenir. Elle doit le faire en s'interrogeant sur ce qui peut apporter sens à ce monde, sur ce qui peut y " faire événement ". Et elle doit dès lors se vouloir théologico-politique. Car qu'est-ce qui fait événement, pour l'homme pris dans ce que Freud appelle la pulsion de mort, mais capable, à partir de là, d'accéder à sa puissance créatrice d'individu ? D'une part et primordialement le sacrifice du Christ, par quoi est rendu acceptable, à l'homme foncièrement païen, un monde de droit où l'individu ait sa place - ce monde qu'avaient voulu les prophètes juifs et les philosophes grecs.
D'autre part et ultimement la révolution, qui répond au sens avant tout politique de ce sacrifice, et par quoi est fixée l'acceptation d'un tel monde, du " monde juste ". De là la discussion ici menée, avec Kierkegaard d'une part, et avec Marx d'autre part. Mais aussi, entre autres auteurs majeurs de la pensée contemporaine (Heidegger, Rosenzweig, Adorno, Lévinas, Lacan), avec Weber qui a souligné le rôle social essentiel de toutes les grandes religions, et notamment la portée décisive du judaïsme et du christianisme pour l'histoire et, dans cette histoire, pour l'avènement et le développement du capitalisme.
Ce livre propose une réinterprétation des analyses de Marx à partir de l'existence et de l'inconscient. Il veut montrer que la vraie révolution n'est pas, comme Marx le voulait, celle qui abolit le capitalisme. Mais celle qui, au contraire, le fixe définitivement, en tant qu'il est la forme minimale du mal social, du paganisme constitutivement humain. Rejeter le capitalisme (et la mondialisation à laquelle il conduit) ne peut que vouer l'homme à ce qui est l'extrême du paganisme.
A celui qui a débouché dans la catastrophe absolue de l'Holocauste. Et à celui qui menace aujourd'hui dans le terrorisme.
D'autre part et ultimement la révolution, qui répond au sens avant tout politique de ce sacrifice, et par quoi est fixée l'acceptation d'un tel monde, du " monde juste ". De là la discussion ici menée, avec Kierkegaard d'une part, et avec Marx d'autre part. Mais aussi, entre autres auteurs majeurs de la pensée contemporaine (Heidegger, Rosenzweig, Adorno, Lévinas, Lacan), avec Weber qui a souligné le rôle social essentiel de toutes les grandes religions, et notamment la portée décisive du judaïsme et du christianisme pour l'histoire et, dans cette histoire, pour l'avènement et le développement du capitalisme.
Ce livre propose une réinterprétation des analyses de Marx à partir de l'existence et de l'inconscient. Il veut montrer que la vraie révolution n'est pas, comme Marx le voulait, celle qui abolit le capitalisme. Mais celle qui, au contraire, le fixe définitivement, en tant qu'il est la forme minimale du mal social, du paganisme constitutivement humain. Rejeter le capitalisme (et la mondialisation à laquelle il conduit) ne peut que vouer l'homme à ce qui est l'extrême du paganisme.
A celui qui a débouché dans la catastrophe absolue de l'Holocauste. Et à celui qui menace aujourd'hui dans le terrorisme.