La fin de l'histoire, épiphanie des religions. Acte psychanalytique et acte philosophique

Par : Alain Juranville
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  • Nombre de pages455
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.686 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,5 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-88959-085-8
  • EAN9782889590858
  • Date de parution19/09/2019
  • ÉditeurParole et silence

Résumé

L'intention est de montrer la portée décisive, pour le monde actuel comme fin de l'histoire, de toutes les grandes religions, au premier chef du judéo-christianisme. Et de montrer cela en faisant, de l'acte qu'accomplit le psychanalyste avec l'analysant, le modèle de l'accomplissement de l'acte historique qu'a engagé la philosophie depuis les Grecs et qui vise à l'institution de la société juste. On part de l'acte qu'accomplit le psychanalyste en libérant le sujet individuel et en lui permettant de devenir individu véritable (chap.
I). De là on envisage l'obstacle auquel s'est heurtée la philosophie quand elle a voulu, depuis son commencement en Grèce, instituer, c'est son acte à elle, la société juste où l'individu ait toute sa place — obstacle qui est l'entraînement du sujet social, du peuple, au mal social irréductible (pulsion de mort), à la violence sacrificielle empêchant l'individu d'advenir (chap. II). On établit ensuite que cet acte s'accomplit aujourd'hui, quand la philosophie en est venue à affirmer, outre l'existence proclamée depuis Kierkegaard, l'inconscient introduit par Freud (chap.
III). On voit alors que la philosophie ne peut pas, par elle seule, faire admettre un tel accomplissement au sujet social (chap. IV). On soutient que cela ne lui est possible que dans la mesure où elle reconnaît, la déployant en rationalité pure, la vérité première de la révélation par laquelle l'homme est appelé à devenir individu (c'est ce qu'impliquent les commandements du Sinaï) et par laquelle Dieu se donne dans sa vérité trinitaire (chap.
V). On conclut en montrant que cette révélation, qui est théologiquement celle du christianisme, doit commencer par le judaïsme et s'achever par l'islam, chacune des religions révélées ayant sa légitimité, comme, à partir de là, chacune des grandes religions humainement instituées (chap. VI).
L'intention est de montrer la portée décisive, pour le monde actuel comme fin de l'histoire, de toutes les grandes religions, au premier chef du judéo-christianisme. Et de montrer cela en faisant, de l'acte qu'accomplit le psychanalyste avec l'analysant, le modèle de l'accomplissement de l'acte historique qu'a engagé la philosophie depuis les Grecs et qui vise à l'institution de la société juste. On part de l'acte qu'accomplit le psychanalyste en libérant le sujet individuel et en lui permettant de devenir individu véritable (chap.
I). De là on envisage l'obstacle auquel s'est heurtée la philosophie quand elle a voulu, depuis son commencement en Grèce, instituer, c'est son acte à elle, la société juste où l'individu ait toute sa place — obstacle qui est l'entraînement du sujet social, du peuple, au mal social irréductible (pulsion de mort), à la violence sacrificielle empêchant l'individu d'advenir (chap. II). On établit ensuite que cet acte s'accomplit aujourd'hui, quand la philosophie en est venue à affirmer, outre l'existence proclamée depuis Kierkegaard, l'inconscient introduit par Freud (chap.
III). On voit alors que la philosophie ne peut pas, par elle seule, faire admettre un tel accomplissement au sujet social (chap. IV). On soutient que cela ne lui est possible que dans la mesure où elle reconnaît, la déployant en rationalité pure, la vérité première de la révélation par laquelle l'homme est appelé à devenir individu (c'est ce qu'impliquent les commandements du Sinaï) et par laquelle Dieu se donne dans sa vérité trinitaire (chap.
V). On conclut en montrant que cette révélation, qui est théologiquement celle du christianisme, doit commencer par le judaïsme et s'achever par l'islam, chacune des religions révélées ayant sa légitimité, comme, à partir de là, chacune des grandes religions humainement instituées (chap. VI).
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