Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit

Par : Jean d' Ormesson
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  • Nombre de pages198
  • FormatePub
  • ISBN978-2-221-13867-0
  • EAN9782221138670
  • Date de parution22/08/2013
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille260 Ko
  • ÉditeurRobert Laffont

Résumé

Une randonnée dans la beauté du monde. Non pas suite mais peut-être complément du précédent roman, ce livre-ci se décline en trois parties et chacune correspond à une question ou à un constat que tout esprit un peu affuté pose. Un roman de société : " Tout passe. " Nous vivons une époque de transition, les livres, la famille, les mours, les frontières, les monnaies jusqu'à la religion. Tout se sait puisque, par la Toile, chacun est immédiatement informé du sort de tous.
Pour illustrer ce propos, se déroule une histoire sentimentale contemporaine où un bouddhiste milliardaire et communiste fait irruption dans une famille traditionnelle. Un roman d'amour : " Rien ne change. " Un écrivain cherche sa voie et il ne s'en sort que par l'amour d'une femme, Marie. Il se donne à elle qui le rend à lui-même. L'amour est plus important que la littérature et que tout le reste.
Il ne consiste pas à se regarder dans les yeux mais à regarder le monde ensemble. Le spectacle du monde entraîne leur étonnement et leur admiration, qui sont à la racine de toute connaissance. Le roman de société s'est changé en roman d'amour, qui lui-même va se changer en roman de l'univers. Un roman de l'univers : " Il y a au-dessus de nous quelque chose de sacré. " Au grand-père - désormais classique - de l'auteur, à Pama le bouddhiste, à Marie, s'ajoute Dieu comme un des principaux personnages du livre.
Car comment peut-on parler d'autre chose que de Dieu ? Suit une petite histoire de l'humanité par ceux qui l'ont pensée et faite : les philosophes et les scientifiques. Un combat s'est engagé entre Dieu et la science. La position de l'auteur, catholique et agnostique, est de laisser ses chances à Dieu. Ce livre est aisé et profond. On y retrouve ce qui a fait le succès des précédents ouvrages : la foi en la littérature, l'importance des sentiments, l'absence d'illusions, le goût du bonheur, la recherche de la vérité.
Le tout comme soulevé par la grâce d'un style et d'une écriture ailée.
Une randonnée dans la beauté du monde. Non pas suite mais peut-être complément du précédent roman, ce livre-ci se décline en trois parties et chacune correspond à une question ou à un constat que tout esprit un peu affuté pose. Un roman de société : " Tout passe. " Nous vivons une époque de transition, les livres, la famille, les mours, les frontières, les monnaies jusqu'à la religion. Tout se sait puisque, par la Toile, chacun est immédiatement informé du sort de tous.
Pour illustrer ce propos, se déroule une histoire sentimentale contemporaine où un bouddhiste milliardaire et communiste fait irruption dans une famille traditionnelle. Un roman d'amour : " Rien ne change. " Un écrivain cherche sa voie et il ne s'en sort que par l'amour d'une femme, Marie. Il se donne à elle qui le rend à lui-même. L'amour est plus important que la littérature et que tout le reste.
Il ne consiste pas à se regarder dans les yeux mais à regarder le monde ensemble. Le spectacle du monde entraîne leur étonnement et leur admiration, qui sont à la racine de toute connaissance. Le roman de société s'est changé en roman d'amour, qui lui-même va se changer en roman de l'univers. Un roman de l'univers : " Il y a au-dessus de nous quelque chose de sacré. " Au grand-père - désormais classique - de l'auteur, à Pama le bouddhiste, à Marie, s'ajoute Dieu comme un des principaux personnages du livre.
Car comment peut-on parler d'autre chose que de Dieu ? Suit une petite histoire de l'humanité par ceux qui l'ont pensée et faite : les philosophes et les scientifiques. Un combat s'est engagé entre Dieu et la science. La position de l'auteur, catholique et agnostique, est de laisser ses chances à Dieu. Ce livre est aisé et profond. On y retrouve ce qui a fait le succès des précédents ouvrages : la foi en la littérature, l'importance des sentiments, l'absence d'illusions, le goût du bonheur, la recherche de la vérité.
Le tout comme soulevé par la grâce d'un style et d'une écriture ailée.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.8/5
sur 10 notes dont 7 avis lecteurs
Découverte de l'auteur
Une première lecture de cet auteur qui navigue entre érudition, histoire familiale romanesque et une forme de naïveté face au questionnement existentiel. Un vagabondage littéraire agréable et intéressant.
Une première lecture de cet auteur qui navigue entre érudition, histoire familiale romanesque et une forme de naïveté face au questionnement existentiel. Un vagabondage littéraire agréable et intéressant.
  • Attendrissant
A demi-teinte
J’ai lu plusieurs avis positifs sur ce roman. Je m'aperçois que beaucoup de lecteurs aiment cet auteur. Il faut bien dire que c’était un livre plaisant et assez « enrichissant ». Mais ce n’est pas à mon avis une œuvre incontournable Je n'ai pas pour habitude de lire ce genre d'ouvrage. C'était donc une première rencontre entre Jean d'Ormesson et moi. En conclusion, c'est un rendez-vous manqué... L'auteur nous raconte plusieurs tranches de sa vie par des faits marquants. Son histoire est articulée autour de trois piliers : la famille, la religion et l'amour. Il se pose un tas de questions philosophiques et morales. L'ouvrage est organisé avec des chapitres courts pour nous exposer une vue de l'esprit très dirigée mais assez répétitive à mon goût. J'avais un peu l'impression que l'auteur tournait en rond par moment. J'ai pu sentir une très grande sensibilité à travers les mots de cet auteur. Le récit est bien développé et les descriptions sont justes. Il veut nous faire passer un message ou simplement laisser une trace dernière lui. Le message est simple en soi; malgré les aléas de la vie, cette dernière mérite d'être vécue. Je remercie EntréeLivre pour cette découverte. Devrais je peut être lire ce roman à un autre moment afin de pouvoir l'apprécier à sa juste valeur....
J’ai lu plusieurs avis positifs sur ce roman. Je m'aperçois que beaucoup de lecteurs aiment cet auteur. Il faut bien dire que c’était un livre plaisant et assez « enrichissant ». Mais ce n’est pas à mon avis une œuvre incontournable Je n'ai pas pour habitude de lire ce genre d'ouvrage. C'était donc une première rencontre entre Jean d'Ormesson et moi. En conclusion, c'est un rendez-vous manqué... L'auteur nous raconte plusieurs tranches de sa vie par des faits marquants. Son histoire est articulée autour de trois piliers : la famille, la religion et l'amour. Il se pose un tas de questions philosophiques et morales. L'ouvrage est organisé avec des chapitres courts pour nous exposer une vue de l'esprit très dirigée mais assez répétitive à mon goût. J'avais un peu l'impression que l'auteur tournait en rond par moment. J'ai pu sentir une très grande sensibilité à travers les mots de cet auteur. Le récit est bien développé et les descriptions sont justes. Il veut nous faire passer un message ou simplement laisser une trace dernière lui. Le message est simple en soi; malgré les aléas de la vie, cette dernière mérite d'être vécue. Je remercie EntréeLivre pour cette découverte. Devrais je peut être lire ce roman à un autre moment afin de pouvoir l'apprécier à sa juste valeur....
  • Inattendu
Décue...
J'ai lu du meilleur Ormesson. Celui-ci m'est tombé des mains ! Trop nombriliste, plein de vérités toutes faites et convenues si ce n'est le passage sur l'irruption du communiste noir dans cette famille conventionnelle et aristocratique. Le charme surrané d'une autre époque n'a pas opéré cette fois-ci... Pas assez littéraire peut-être au final ! Une volonté de vouloir faire simple, des chapitres courts ne sont finalement pas adaptés à cet auteur. Un livre facile à lire mais pas adapté aux amoureux de la littérature !
J'ai lu du meilleur Ormesson. Celui-ci m'est tombé des mains ! Trop nombriliste, plein de vérités toutes faites et convenues si ce n'est le passage sur l'irruption du communiste noir dans cette famille conventionnelle et aristocratique. Le charme surrané d'une autre époque n'a pas opéré cette fois-ci... Pas assez littéraire peut-être au final ! Une volonté de vouloir faire simple, des chapitres courts ne sont finalement pas adaptés à cet auteur. Un livre facile à lire mais pas adapté aux amoureux de la littérature !
  • XXe siècle
  • Ennuyant
  • Monde issu du monde réel
  • l'auteur et sa famille
Jean d' Ormesson

Jean d’Ormesson, parfois surnommé Jean d’O, est né le 16 juin 1925 à Paris, et est mort le 5 décembre 2017 à Neuilly-sur-Seine.
Ecrivain, journaliste et philosophe français, Jean d’Ormesson est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages allant de grandes épopées romanesques, comme La Gloire de l’Empire aux essais philosophiques dans lesquels il livre ses pensées sur la vie, la mort, ou l’existence de Dieu avec, entre autres, C’était bien.
Issu d’une grande famille de la noblesse française, Jean d’Ormesson se passionne très tôt pour la lecture. Après des études de philosophie chaotiques, il est professeur de grec classique et de philosophie en lycée. Puis, par l’entremise d’un ami de son père, il est très vite nommé président du Conseil international de la philosophie et des sciences humaines à l’UNESCO, en 1950.

C’est en 1956 qu’il publie son premier roman, L’amour est un plaisir, qui se vendra seulement à 2000 exemplaires. Il lui faudra attendre 1971 et son roman La Gloire de l’Empire pour connaître son premier succès critique et public. Grâce à ce roman, il reçoit le Grand Prix du roman de l’Académie Française. Le 18 octobre 1973, il est élu membre de l’Académie Française, au fauteuil 12, face à Paul Guth, succédant à Jules Romains mort l'année précédente. L’année suivante, il est nommé Directeur Général du journal Le Figaro, poste qu’il occupera pendant 4 ans.
Très présent dans des émissions télévisées, aussi bien littéraires que généralistes, il est considéré pendant plus de 40 ans comme l’ambassadeur médiatique de l’Académie Française.

Les romans de Jean d’Ormesson échappent souvent aux conventions du genre : ils mêlent à la fois fiction, anecdotes personnelles, et constituent souvent une réflexion sur le temps qui passe, alliant humour et érudition. La dimension autobiographique est toujours très présentes dans ses ouvrages. Nous pouvons citer Au-revoir et merci, Le rapport Gabriel, ou encore C’était bien, qui se composent comme des livres à mi-chemin entre le récit et l’essai, où Jean d’Ormesson parle de lui-même, tout en inventant certains détails de sa vie.
Ses fictions prennent également parfois l’allure d’un traité de vie, comme Dieu, sa vie, son oeuvre, Histoire du juif errant, La Douane de mer, ou encore Presque rien sur tout.

Dans ses derniers livres, comme Une fête en larmes, Jean d’Ormesson explore d’autres voies en relatant d’outre sa propre vie passée ou en adoptant un registre plus mélancolique.
En 2016, sort Je dirai malgré tout que cette vie fut belle, ouvrage autobiographique que Jean d’Ormesson a mis quatre années à écrire. De cet ouvrage qui sera récompensé par le Prix Jean-Jacques Rousseau, il dira “C’est une vie qui est dans ce livre”.

Deux ans après sa mort, la maison d’édition de sa fille Héloïse d’Ormesson publie L’espérance en héritage, composé des livres Comme un chant d’espérance, Guide des égarés, et Un hosanna sans fin. Cette trilogie constitue trois tentatives de réponse à la question : Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Au fil des pages, Jean D’Ormesson nous invite à rêver, à espérer, à croire.

Ses funérailles seront suivies d’un hommage national rendu par le Président Emmanuel Macron.

Comme un chant d'espérance
5/5
Jean d' Ormesson
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Guide des égarés
5/5
Jean d' Ormesson
Grand Format
15,00 €
Un Hosanna sans fin
Jean d' Ormesson
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C'était bien
4/5
Jean d' Ormesson
Poche
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Voyez comme on danse
2/5
Jean d' Ormesson
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