Rue des Quatre-Vents, San Telmo. Migrations et traduction du Sud au Nord

Par : Nicolas Goyer

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages298
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7646-4571-0
  • EAN9782764645710
  • Date de parution05/02/2019
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille758 Ko
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurEditions du Boréal

Résumé

À travers les ouvres de Mario Benedetti, Juan Gelman, Tununa Mercado, Juan José Saer et d'autres, l'essayiste et traducteur Nicolas Goyer entrecroise deux questions, celle des migrations et celle de la traduction. C'est le désir des langues, écrit-il, qui l'a entraîné à vouloir saisir de l'intérieur l'histoire de l'Amérique latine contemporaine, la fracture due aux dictatures, la reconfiguration des relations humaines et du temps qui passe.
Il lui fallait mieux comprendre l'historicité argentine-uruguayenne affectée par la terreur d'État implantée et entretenue par les militaires pendant près de dix ans et qui a persisté sous le manteau les années suivant leur retrait : trauma collectif, déni, silence. Il devait aller écouter cette langue.
À travers les ouvres de Mario Benedetti, Juan Gelman, Tununa Mercado, Juan José Saer et d'autres, l'essayiste et traducteur Nicolas Goyer entrecroise deux questions, celle des migrations et celle de la traduction. C'est le désir des langues, écrit-il, qui l'a entraîné à vouloir saisir de l'intérieur l'histoire de l'Amérique latine contemporaine, la fracture due aux dictatures, la reconfiguration des relations humaines et du temps qui passe.
Il lui fallait mieux comprendre l'historicité argentine-uruguayenne affectée par la terreur d'État implantée et entretenue par les militaires pendant près de dix ans et qui a persisté sous le manteau les années suivant leur retrait : trauma collectif, déni, silence. Il devait aller écouter cette langue.