Mémoire argentine
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- Nombre de pages228
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions14,0 cm × 18,2 cm × 1,4 cm
- ISBN2-84805-020-9
- EAN9782848050201
- Date de parution04/03/2004
- ÉditeurSabine Wespieser Editeur
- TraducteurNicolas Goyer
Résumé
Ecrivain de la mémoire et de la sensation, auteur de plusieurs ouvrages salués pour leur subtilité et leur profondeur, c'est avec cette autobiographie kaléidoscopique que Tununa Mercado aborde les vertigineux écueils de sa condition d'exilée : perpétuelle confusion des lieux et des temps, éclatement de l'identité, obsession de la mort, sentiment omniprésent de la perte, autant de formes différentes que revêt une angoisse dont les manifestations viennent se lover dans les moindres détails de la vie quotidienne. Tout est difficile pour l'exilée en quête de repères : le choix d'un vêtement, les habitudes culinaires, les pièges d'une langue qui se dérobe, le déroulement des saisons. Parce que l'auteur parvient, non sans humour, à lier son destin dans ce qu'il a de plus intime à la fatalité collective qui emporte ses semblables, son livre se lit comme une radiographie de tous les exils.
Ecrivain de la mémoire et de la sensation, auteur de plusieurs ouvrages salués pour leur subtilité et leur profondeur, c'est avec cette autobiographie kaléidoscopique que Tununa Mercado aborde les vertigineux écueils de sa condition d'exilée : perpétuelle confusion des lieux et des temps, éclatement de l'identité, obsession de la mort, sentiment omniprésent de la perte, autant de formes différentes que revêt une angoisse dont les manifestations viennent se lover dans les moindres détails de la vie quotidienne. Tout est difficile pour l'exilée en quête de repères : le choix d'un vêtement, les habitudes culinaires, les pièges d'une langue qui se dérobe, le déroulement des saisons. Parce que l'auteur parvient, non sans humour, à lier son destin dans ce qu'il a de plus intime à la fatalité collective qui emporte ses semblables, son livre se lit comme une radiographie de tous les exils.