Réflexions sur la grande transition
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- Nombre de pages120
- FormatPDF
- ISBN2-13-069449-7
- EAN9782130694496
- Date de parution31/12/1978
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille22 Mo
- ÉditeurPresses universitaires de France...
Résumé
Ces réflexions témoignent d'un enseignement donné à l'École des hautes études commerciales et à l'École polytechnique. Le lecteur essaiera d'en excuser la brièveté, dont la raison tient essentiellement à ce que le temps est limité, surtout dans les grandes écoles. La nécessité de faire court a, au moins, une conséquence favorable : l'obligation de choisir parmi tous les aspects d'un phénomène celui ou ceux qui paraissent les plus importants.
Il s'agit, ici, d'insister sur la grande mutation des économies occidentales. Le dernier quart de siècle sera profondément différent de la période de croissance exceptionnelle que nos nations, de plus en plus intégrées, ont connue depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Le ralentissement durable de la croissance et l'obligation impérieuse de maintenir la cohésion d'une société occidentale en diffusion persistante, paraissent devoir être la caractéristique et la contrainte dominante jusqu'à la fin de ce siècle.
Simultanément, la mutation dans l'ordre scientifique ne pourra que suivre celle de l'univers économique et social. L'évolution de la science économique, déjà commencée, va sans doute se poursuivre dans des directions déjà esquissées. Si l'extension du champ couvert par les économistes est déjà patente et à maints égards réussie, les progrès de l'ordre proprement épistémologique, celui qui concerne les méthodes et les concepts, restent encore à jaillir.
Il s'agit, ici, d'insister sur la grande mutation des économies occidentales. Le dernier quart de siècle sera profondément différent de la période de croissance exceptionnelle que nos nations, de plus en plus intégrées, ont connue depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Le ralentissement durable de la croissance et l'obligation impérieuse de maintenir la cohésion d'une société occidentale en diffusion persistante, paraissent devoir être la caractéristique et la contrainte dominante jusqu'à la fin de ce siècle.
Simultanément, la mutation dans l'ordre scientifique ne pourra que suivre celle de l'univers économique et social. L'évolution de la science économique, déjà commencée, va sans doute se poursuivre dans des directions déjà esquissées. Si l'extension du champ couvert par les économistes est déjà patente et à maints égards réussie, les progrès de l'ordre proprement épistémologique, celui qui concerne les méthodes et les concepts, restent encore à jaillir.
Ces réflexions témoignent d'un enseignement donné à l'École des hautes études commerciales et à l'École polytechnique. Le lecteur essaiera d'en excuser la brièveté, dont la raison tient essentiellement à ce que le temps est limité, surtout dans les grandes écoles. La nécessité de faire court a, au moins, une conséquence favorable : l'obligation de choisir parmi tous les aspects d'un phénomène celui ou ceux qui paraissent les plus importants.
Il s'agit, ici, d'insister sur la grande mutation des économies occidentales. Le dernier quart de siècle sera profondément différent de la période de croissance exceptionnelle que nos nations, de plus en plus intégrées, ont connue depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Le ralentissement durable de la croissance et l'obligation impérieuse de maintenir la cohésion d'une société occidentale en diffusion persistante, paraissent devoir être la caractéristique et la contrainte dominante jusqu'à la fin de ce siècle.
Simultanément, la mutation dans l'ordre scientifique ne pourra que suivre celle de l'univers économique et social. L'évolution de la science économique, déjà commencée, va sans doute se poursuivre dans des directions déjà esquissées. Si l'extension du champ couvert par les économistes est déjà patente et à maints égards réussie, les progrès de l'ordre proprement épistémologique, celui qui concerne les méthodes et les concepts, restent encore à jaillir.
Il s'agit, ici, d'insister sur la grande mutation des économies occidentales. Le dernier quart de siècle sera profondément différent de la période de croissance exceptionnelle que nos nations, de plus en plus intégrées, ont connue depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Le ralentissement durable de la croissance et l'obligation impérieuse de maintenir la cohésion d'une société occidentale en diffusion persistante, paraissent devoir être la caractéristique et la contrainte dominante jusqu'à la fin de ce siècle.
Simultanément, la mutation dans l'ordre scientifique ne pourra que suivre celle de l'univers économique et social. L'évolution de la science économique, déjà commencée, va sans doute se poursuivre dans des directions déjà esquissées. Si l'extension du champ couvert par les économistes est déjà patente et à maints égards réussie, les progrès de l'ordre proprement épistémologique, celui qui concerne les méthodes et les concepts, restent encore à jaillir.