Penser entre les lignes. Philologie et philosophie au Quattrocento
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- Nombre de pages344
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2203-8
- EAN9782757422038
- Date de parution16/10/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
Ces études soulignent le caractère novateur, dans la pensée du Quattrocento, de la philologie, en tant qu'art de la critique et de l'interprétation des ouvres. La philologie se traduit par un retour réfléchi aux sources, entrepris dans une perspective que l'on peut déjà qualifier d'"historique" : la tradition cesse d'être le lieu d'une autorité incontestable pour devenir l'objet d'un examen critique.
Les humanistes sont ainsi, par le biais de la philologie, les premiers véritables historiens de la philosophie : plus que des thèses immuables, les différents mouvements de pensée lèguent des problèmes et des objets de controverse. Ainsi, être "platonicien" ou "aristotélicien" ne signifie pas adhérer inconditionnellement à une "école" ou à une "secte", mais s'insérer dans une tradition de pensée où la restitution et l'interprétation de ses ouvres vont de pair avec l'autonomie du jugement critique et le renouvellement de la réflexion.
Les humanistes sont ainsi, par le biais de la philologie, les premiers véritables historiens de la philosophie : plus que des thèses immuables, les différents mouvements de pensée lèguent des problèmes et des objets de controverse. Ainsi, être "platonicien" ou "aristotélicien" ne signifie pas adhérer inconditionnellement à une "école" ou à une "secte", mais s'insérer dans une tradition de pensée où la restitution et l'interprétation de ses ouvres vont de pair avec l'autonomie du jugement critique et le renouvellement de la réflexion.
Ces études soulignent le caractère novateur, dans la pensée du Quattrocento, de la philologie, en tant qu'art de la critique et de l'interprétation des ouvres. La philologie se traduit par un retour réfléchi aux sources, entrepris dans une perspective que l'on peut déjà qualifier d'"historique" : la tradition cesse d'être le lieu d'une autorité incontestable pour devenir l'objet d'un examen critique.
Les humanistes sont ainsi, par le biais de la philologie, les premiers véritables historiens de la philosophie : plus que des thèses immuables, les différents mouvements de pensée lèguent des problèmes et des objets de controverse. Ainsi, être "platonicien" ou "aristotélicien" ne signifie pas adhérer inconditionnellement à une "école" ou à une "secte", mais s'insérer dans une tradition de pensée où la restitution et l'interprétation de ses ouvres vont de pair avec l'autonomie du jugement critique et le renouvellement de la réflexion.
Les humanistes sont ainsi, par le biais de la philologie, les premiers véritables historiens de la philosophie : plus que des thèses immuables, les différents mouvements de pensée lèguent des problèmes et des objets de controverse. Ainsi, être "platonicien" ou "aristotélicien" ne signifie pas adhérer inconditionnellement à une "école" ou à une "secte", mais s'insérer dans une tradition de pensée où la restitution et l'interprétation de ses ouvres vont de pair avec l'autonomie du jugement critique et le renouvellement de la réflexion.
A propos de Fosca Mariani Zini
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