Les conflits identitaires en afrique francophone
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages216
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-45490-3
- EAN9782296454903
- Date de parution01/03/2011
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
À quelques exceptions près, la grande majorité des observateurs de la politique de " l'Afrique francophone " attribuent l'incidence des conflits dits" identitaires " dans cette région à la diversité culturelle des États africains, c'est-à-dire à la pluralité des communautés ethniques ou " tribales ", religieuses, régionales et linguistiques à l'intérieur des frontières des États postcoloniaux. Les peuples africains seraient-ils (con)damnés à " la guerre tribale " et aux " conflits identitaires ".
Après avoir passé en revue le paysage, les acteurs clés, et les arguments de part et d'autre du discours identitaire de la plus récente mais toujours abondante littérature sur " l'Afrique francophone ", pour prendre la mesure de la nausée qui se dégage de cette galerie d'atrocités, et prenant la " guerre tribale " de Côte d'Ivoire comme point d'analyse des conflits identitaires de cet espace de 1'" Afrique francophone ", l'auteur aboutit à la conclusion que les " haines ancestrales " supposées être la cause de ces conflits ne sont en fait que de " la haine moderne " sécrétée par les plus récents entrepreneurs culturels dans un contexte de mutation politique de démocratisation.
Après avoir passé en revue le paysage, les acteurs clés, et les arguments de part et d'autre du discours identitaire de la plus récente mais toujours abondante littérature sur " l'Afrique francophone ", pour prendre la mesure de la nausée qui se dégage de cette galerie d'atrocités, et prenant la " guerre tribale " de Côte d'Ivoire comme point d'analyse des conflits identitaires de cet espace de 1'" Afrique francophone ", l'auteur aboutit à la conclusion que les " haines ancestrales " supposées être la cause de ces conflits ne sont en fait que de " la haine moderne " sécrétée par les plus récents entrepreneurs culturels dans un contexte de mutation politique de démocratisation.
À quelques exceptions près, la grande majorité des observateurs de la politique de " l'Afrique francophone " attribuent l'incidence des conflits dits" identitaires " dans cette région à la diversité culturelle des États africains, c'est-à-dire à la pluralité des communautés ethniques ou " tribales ", religieuses, régionales et linguistiques à l'intérieur des frontières des États postcoloniaux. Les peuples africains seraient-ils (con)damnés à " la guerre tribale " et aux " conflits identitaires ".
Après avoir passé en revue le paysage, les acteurs clés, et les arguments de part et d'autre du discours identitaire de la plus récente mais toujours abondante littérature sur " l'Afrique francophone ", pour prendre la mesure de la nausée qui se dégage de cette galerie d'atrocités, et prenant la " guerre tribale " de Côte d'Ivoire comme point d'analyse des conflits identitaires de cet espace de 1'" Afrique francophone ", l'auteur aboutit à la conclusion que les " haines ancestrales " supposées être la cause de ces conflits ne sont en fait que de " la haine moderne " sécrétée par les plus récents entrepreneurs culturels dans un contexte de mutation politique de démocratisation.
Après avoir passé en revue le paysage, les acteurs clés, et les arguments de part et d'autre du discours identitaire de la plus récente mais toujours abondante littérature sur " l'Afrique francophone ", pour prendre la mesure de la nausée qui se dégage de cette galerie d'atrocités, et prenant la " guerre tribale " de Côte d'Ivoire comme point d'analyse des conflits identitaires de cet espace de 1'" Afrique francophone ", l'auteur aboutit à la conclusion que les " haines ancestrales " supposées être la cause de ces conflits ne sont en fait que de " la haine moderne " sécrétée par les plus récents entrepreneurs culturels dans un contexte de mutation politique de démocratisation.