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  • Nombre de pages272
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7152-4708-6
  • EAN9782715247086
  • Date de parution03/09/2018
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille3 Mo
  • Transferts max.6 copie(s) autorisée(s)
  • ÉditeurLe Mercure de France
  • TraducteurJean-Pierre Aoustin

Résumé

Un premier amour détermine une vie pour toujours : c'est ce que j'ai découvert au fil des ans. Il n'occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures ; d'un autre côté, il peut les rendre plus faciles, meilleures. Mais parfois aussi, un premier amour cautérise le cour, et tout ce qu'on pourra trouver ensuite, c'est une large cicatrice.
Paul a dix-neuf ans et s'ennuie un peu cet été-là, le dernier avant son départ à l'université. Au club de tennis local, il rencontre Susan - quarante-huit ans, mariée, deux grandes filles - avec qui il va disputer des parties en double. Susan est belle, charmante, chaleureuse. Il n'en faut pas davantage pour les rapprocher. La passion ? Non, l'amour, le vrai, total et absolu, que les amants vivront d'abord en cachette.
Puis ils partent habiter à Londres : Susan a un peu d'argent, Paul doit continuer ses études de droit. Le bonheur? Oui. Enfin presque car, peu à peu, Paul va découvrir que Susan a un problème, qu'elle a soigneusement dissimulé jusque-là : elle est alcoolique. Il l'aime, il ne veut pas la laisser seule avec ses démons. Il va tout tenter pour la sauver et combattre avec elle ce fléau. En vain. Mais lui, alors ? Sa jeunesse, les années qui passent et qui auraient dû être joyeuses, insouciantes? Il a trente ans, puis trente et un, puis trente-deux.
Vaut-il mieux avoir aimé et perdre ou ne jamais avoir aimé ?
Un premier amour détermine une vie pour toujours : c'est ce que j'ai découvert au fil des ans. Il n'occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures ; d'un autre côté, il peut les rendre plus faciles, meilleures. Mais parfois aussi, un premier amour cautérise le cour, et tout ce qu'on pourra trouver ensuite, c'est une large cicatrice.
Paul a dix-neuf ans et s'ennuie un peu cet été-là, le dernier avant son départ à l'université. Au club de tennis local, il rencontre Susan - quarante-huit ans, mariée, deux grandes filles - avec qui il va disputer des parties en double. Susan est belle, charmante, chaleureuse. Il n'en faut pas davantage pour les rapprocher. La passion ? Non, l'amour, le vrai, total et absolu, que les amants vivront d'abord en cachette.
Puis ils partent habiter à Londres : Susan a un peu d'argent, Paul doit continuer ses études de droit. Le bonheur? Oui. Enfin presque car, peu à peu, Paul va découvrir que Susan a un problème, qu'elle a soigneusement dissimulé jusque-là : elle est alcoolique. Il l'aime, il ne veut pas la laisser seule avec ses démons. Il va tout tenter pour la sauver et combattre avec elle ce fléau. En vain. Mais lui, alors ? Sa jeunesse, les années qui passent et qui auraient dû être joyeuses, insouciantes? Il a trente ans, puis trente et un, puis trente-deux.
Vaut-il mieux avoir aimé et perdre ou ne jamais avoir aimé ?

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Les histoires d'amours finissent mal en général
Préféreriez-vous aimer davantage et souffrir davatange, ou aimer moins et moins souffrir ?" C'est la première phrase de ce roman et cela résume très bien ce livre. Ça raconte l'histoire de Paul, 19 ans, qui va connaître une longue histoire d'amour (la seule histoire importante de sa vie) avec Susan, bientôt la cinquantaine, mariée avec deux enfants. On sait rapidement que cette histoire d'amour va mal se finir... J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur, où les souvenirs de Paul sont dévoilés un peu au hasard, sans ordre chronologique. Une belle lecture intelligente et pleine d'émotions. Retrouvez mes coups de cœur sur instagram : @electron_livre
Préféreriez-vous aimer davantage et souffrir davatange, ou aimer moins et moins souffrir ?" C'est la première phrase de ce roman et cela résume très bien ce livre. Ça raconte l'histoire de Paul, 19 ans, qui va connaître une longue histoire d'amour (la seule histoire importante de sa vie) avec Susan, bientôt la cinquantaine, mariée avec deux enfants. On sait rapidement que cette histoire d'amour va mal se finir... J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur, où les souvenirs de Paul sont dévoilés un peu au hasard, sans ordre chronologique. Une belle lecture intelligente et pleine d'émotions. Retrouvez mes coups de cœur sur instagram : @electron_livre
Jeremy - 1Decitre Part-Dieu
5/5
Aime-moi si tu peux...
Selon Paul, nous n'avons qu'une seule vraie histoire d'amour ; du moins, qu'une seule relation qui nous définisse, marque et détermine notre parcours dans cette vie. Et c'est précisément avec cette seule histoire – son plus grand amour, qu'il nous fait partager l'analyse de ses jeunes années et nous fait entrevoir la personne qu'il est devenu. Au travers de nombreux souvenirs, qu'il sait quelque part biaisés par la mémoire et le temps, Paul reconstitue son histoire avec Susan : Leur rencontre sur un court de Tennis dans les années 60, alors qu’il n’a que 19 ans. Elle en a 48, est mariée, a deux enfants. Ensemble, ils fuient le scandale.  Puis, vient le tour de leur vie commune. Leur descente aux enfer. L’absence, la solitude, la culpabilité avec, toujours, cette irrépressible envie d’aimer. Un très grand roman sur le sentiment amoureux où plane l’esprit de Flaubert.
Selon Paul, nous n'avons qu'une seule vraie histoire d'amour ; du moins, qu'une seule relation qui nous définisse, marque et détermine notre parcours dans cette vie. Et c'est précisément avec cette seule histoire – son plus grand amour, qu'il nous fait partager l'analyse de ses jeunes années et nous fait entrevoir la personne qu'il est devenu. Au travers de nombreux souvenirs, qu'il sait quelque part biaisés par la mémoire et le temps, Paul reconstitue son histoire avec Susan : Leur rencontre sur un court de Tennis dans les années 60, alors qu’il n’a que 19 ans. Elle en a 48, est mariée, a deux enfants. Ensemble, ils fuient le scandale.  Puis, vient le tour de leur vie commune. Leur descente aux enfer. L’absence, la solitude, la culpabilité avec, toujours, cette irrépressible envie d’aimer. Un très grand roman sur le sentiment amoureux où plane l’esprit de Flaubert.
fabien b. - 1Decitre Grenoble
5/5
La seule histoire
Paul, jeune homme de 19 ans, rencontre son premier amour lors d’un été au club de tennis local. Elle a 48 ans. Susan, mariée, deux enfants. D’abord cachée, leur histoire d’amour tabou se révèlera aux habitants du Village. Afin d’échapper à cette situation, Paul s’installe avec Susan dans un appartement londonien. Découpé en trois parties, le roman de Julian Barnes a tout du grand roman d’éducation, d’émancipation, de ces grands romans où chaque sentiment est décortiqué avec l’acuité géniale d’un auteur délicatement irrévérencieux. Puissamment analytique, parfaitement maitrisé, on ne peut qu’être ébloui par tant de générosité intelligente et intelligible. L’art du roman est cette manière qu’il a de nous surprendre. Trois parties trois voix d’une même personne. Le je du début nous raconte la rencontre, l’amour absolu, l’amour capable de se priver d’obstacles, la fièvre et l’incontinence sentimentale… jusqu’à ce que l’auteur nous dise qu’il y a d’autre façon de raconter l’histoire. S’ensuit le vous, qui nous abime dans une complexité invisible auparavant, le corps et l’âme se dévoilent, les tourments et les peurs viennent assombrir les heures heureuses, on y apprend le délitement, les passés troubles. Et puis, le il qui décrypte la peur, la solitude, la maladie et le mal être, les forces qui nous restent et celles qui nous abandonnent, ce que l’on peut donner et ce que l’on garde pour se préserver. La seule histoire est de ces grands livres qui en appellent à notre être intérieur, qui nous raconte, qui n’a de cesse de nous troubler tant il possède en lui de vérités et de douleurs, d’envies et de détresse. Quoi de plus fort qu’aimer ?, nous questionne-t-il. Quoi de plus beau que d’avoir aimé ? Un texte d’une beauté bouleversante, d’un cynisme redoutable parfois, un texte qui déchire autant qu’il nous rabiboche avec notre besoin d’aimer, avec ce sentiment absolutiste que se doit d’être l’amour véritable. Superbe en tous points.
Paul, jeune homme de 19 ans, rencontre son premier amour lors d’un été au club de tennis local. Elle a 48 ans. Susan, mariée, deux enfants. D’abord cachée, leur histoire d’amour tabou se révèlera aux habitants du Village. Afin d’échapper à cette situation, Paul s’installe avec Susan dans un appartement londonien. Découpé en trois parties, le roman de Julian Barnes a tout du grand roman d’éducation, d’émancipation, de ces grands romans où chaque sentiment est décortiqué avec l’acuité géniale d’un auteur délicatement irrévérencieux. Puissamment analytique, parfaitement maitrisé, on ne peut qu’être ébloui par tant de générosité intelligente et intelligible. L’art du roman est cette manière qu’il a de nous surprendre. Trois parties trois voix d’une même personne. Le je du début nous raconte la rencontre, l’amour absolu, l’amour capable de se priver d’obstacles, la fièvre et l’incontinence sentimentale… jusqu’à ce que l’auteur nous dise qu’il y a d’autre façon de raconter l’histoire. S’ensuit le vous, qui nous abime dans une complexité invisible auparavant, le corps et l’âme se dévoilent, les tourments et les peurs viennent assombrir les heures heureuses, on y apprend le délitement, les passés troubles. Et puis, le il qui décrypte la peur, la solitude, la maladie et le mal être, les forces qui nous restent et celles qui nous abandonnent, ce que l’on peut donner et ce que l’on garde pour se préserver. La seule histoire est de ces grands livres qui en appellent à notre être intérieur, qui nous raconte, qui n’a de cesse de nous troubler tant il possède en lui de vérités et de douleurs, d’envies et de détresse. Quoi de plus fort qu’aimer ?, nous questionne-t-il. Quoi de plus beau que d’avoir aimé ? Un texte d’une beauté bouleversante, d’un cynisme redoutable parfois, un texte qui déchire autant qu’il nous rabiboche avec notre besoin d’aimer, avec ce sentiment absolutiste que se doit d’être l’amour véritable. Superbe en tous points.
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