Averroès et l'averroïsme (XIIe - XVe siècle). Un itinéraire historique du Haut Atlas à Paris et à Padoue
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- Nombre de pages352
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7297-1091-0
- EAN9782729710910
- Date de parution05/11/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Lyon
Résumé
La vaste production intellectuelle du cadi de Cordoue Abû l-Walîd Ibn Rushd, l'Averroès des Latins, touche à la plupart des sciences religieuses et profanes (droit, médecine, philosophie...) connues à l'époque almohade, dans laquelle s'insère totalement sa carrière professionnelle et intellectuelle (vers 1150-1198). L'amitié des califes, qui apprécient la puissance de sa pensée, ne lui évite pas la brève disgrâce qui, à la fin de sa vie, sanctionne son intérêt pour les « sciences des anciens », non plus que l'oubli relatif de son ouvre, dans un monde musulman qui s'oriente alors vers d'autres perspectives.
Ses écrits auront au contraire chez les Latins, chez lesquels il commence à être connu un quart de siècle après sa mort, un immense retentissement, à tel point que certains veulent voir en lui le « père » de la pensée laïque occidentale.
Ses écrits auront au contraire chez les Latins, chez lesquels il commence à être connu un quart de siècle après sa mort, un immense retentissement, à tel point que certains veulent voir en lui le « père » de la pensée laïque occidentale.
La vaste production intellectuelle du cadi de Cordoue Abû l-Walîd Ibn Rushd, l'Averroès des Latins, touche à la plupart des sciences religieuses et profanes (droit, médecine, philosophie...) connues à l'époque almohade, dans laquelle s'insère totalement sa carrière professionnelle et intellectuelle (vers 1150-1198). L'amitié des califes, qui apprécient la puissance de sa pensée, ne lui évite pas la brève disgrâce qui, à la fin de sa vie, sanctionne son intérêt pour les « sciences des anciens », non plus que l'oubli relatif de son ouvre, dans un monde musulman qui s'oriente alors vers d'autres perspectives.
Ses écrits auront au contraire chez les Latins, chez lesquels il commence à être connu un quart de siècle après sa mort, un immense retentissement, à tel point que certains veulent voir en lui le « père » de la pensée laïque occidentale.
Ses écrits auront au contraire chez les Latins, chez lesquels il commence à être connu un quart de siècle après sa mort, un immense retentissement, à tel point que certains veulent voir en lui le « père » de la pensée laïque occidentale.