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Sophie Lalanne

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Non Graecos minus barbaros...Les Romains et les Grecs de leur temps, de la prise de Tarente à l'édit de Caracalla
Que pensaient réellement les Romains des Grecs qui vivaient sous leur domination ? Cet ouvrage aborde la question des relations interpersonnelles entre les Romains et les Grecs du IIIe au Ier siècle a. C. Si la place de l'hellénisme dans le monde romain a été bien étudiée pour la période républicaine, les rapports que les Romains entretenaient avec les Grecs de leur temps, ainsi que la manière dont ils les considéraient, méritaient d'être explorés plus avant.
C'est donc l'objet de ce livre que de mettre en lumière et d'analyser les relations interpersonnelles que les Romains nouèrent avec des Grecs, à commencer par ceux qui vivaient en Grande Grèce, sur le sol même de l'Italie. Puis, lorsqu'ils commencèrent à remporter des victoires sur les rois hellénistiques, les Romains firent-ils une distinction entre l'hellénisme et le peuple grec qui leur était contemporain pour mieux assumer l'héritage de l'un sans s'encombrer de l'autre ? Firent-ils une différence entre Grecs de Grèce, d'Italie et d'Orient ? Quelles relations les aristocrates romains en particulier avaient-ils avec des Grecs ? Le statut social était-il le facteur prédominant dans le choix de ces formes de sociabilité ? Ces questions trouvent quelques éléments de réponse dans ce premier volume qui traite de la période comprise entre la chute de Tarente, en 272 a.
C. , et la fin de la République, à la toute fin du ier s. a. C.
C'est donc l'objet de ce livre que de mettre en lumière et d'analyser les relations interpersonnelles que les Romains nouèrent avec des Grecs, à commencer par ceux qui vivaient en Grande Grèce, sur le sol même de l'Italie. Puis, lorsqu'ils commencèrent à remporter des victoires sur les rois hellénistiques, les Romains firent-ils une distinction entre l'hellénisme et le peuple grec qui leur était contemporain pour mieux assumer l'héritage de l'un sans s'encombrer de l'autre ? Firent-ils une différence entre Grecs de Grèce, d'Italie et d'Orient ? Quelles relations les aristocrates romains en particulier avaient-ils avec des Grecs ? Le statut social était-il le facteur prédominant dans le choix de ces formes de sociabilité ? Ces questions trouvent quelques éléments de réponse dans ce premier volume qui traite de la période comprise entre la chute de Tarente, en 272 a.
C. , et la fin de la République, à la toute fin du ier s. a. C.
Que pensaient réellement les Romains des Grecs qui vivaient sous leur domination ? Cet ouvrage aborde la question des relations interpersonnelles entre les Romains et les Grecs du IIIe au Ier siècle a. C. Si la place de l'hellénisme dans le monde romain a été bien étudiée pour la période républicaine, les rapports que les Romains entretenaient avec les Grecs de leur temps, ainsi que la manière dont ils les considéraient, méritaient d'être explorés plus avant.
C'est donc l'objet de ce livre que de mettre en lumière et d'analyser les relations interpersonnelles que les Romains nouèrent avec des Grecs, à commencer par ceux qui vivaient en Grande Grèce, sur le sol même de l'Italie. Puis, lorsqu'ils commencèrent à remporter des victoires sur les rois hellénistiques, les Romains firent-ils une distinction entre l'hellénisme et le peuple grec qui leur était contemporain pour mieux assumer l'héritage de l'un sans s'encombrer de l'autre ? Firent-ils une différence entre Grecs de Grèce, d'Italie et d'Orient ? Quelles relations les aristocrates romains en particulier avaient-ils avec des Grecs ? Le statut social était-il le facteur prédominant dans le choix de ces formes de sociabilité ? Ces questions trouvent quelques éléments de réponse dans ce premier volume qui traite de la période comprise entre la chute de Tarente, en 272 a.
C. , et la fin de la République, à la toute fin du ier s. a. C.
C'est donc l'objet de ce livre que de mettre en lumière et d'analyser les relations interpersonnelles que les Romains nouèrent avec des Grecs, à commencer par ceux qui vivaient en Grande Grèce, sur le sol même de l'Italie. Puis, lorsqu'ils commencèrent à remporter des victoires sur les rois hellénistiques, les Romains firent-ils une distinction entre l'hellénisme et le peuple grec qui leur était contemporain pour mieux assumer l'héritage de l'un sans s'encombrer de l'autre ? Firent-ils une différence entre Grecs de Grèce, d'Italie et d'Orient ? Quelles relations les aristocrates romains en particulier avaient-ils avec des Grecs ? Le statut social était-il le facteur prédominant dans le choix de ces formes de sociabilité ? Ces questions trouvent quelques éléments de réponse dans ce premier volume qui traite de la période comprise entre la chute de Tarente, en 272 a.
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