Vraiment durable N° 2, Printemps-Eté
Rio+20 : Quel cosmopolitisme ?

Par : Gilles Berhault, Charles-Henry Dubail

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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • Poids0.43 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-35113-172-5
  • EAN9782351131725
  • Date de parution27/06/2012
  • ÉditeurVictoires

Résumé

A la veille du vingtième anniversaire de la Conférence de Rio, et après vingt-cinq ans de déclinaisons diverses du développement durable, il nous paraît fondamental de nourrir intellectuellement cette notion par des approches issues du monde de la philosophie, de la science, de la culture, de la création – autrement dit, de « penser le développement durable ». Nous nous proposons d’alimenter une réflexion pour donner au développement durable un contenu véritablement civilisationnel.
Il ne s’agit pas d’un postulat de notre part, mais d’un questionnement : dans un monde où les idéologies ont disparu au profit d’une pensée hésitante, souvent unique, le développement durable nous semble un fil dont il faut tirer toutes les incarnations, les conséquences, les critiques. Car derrière cette notion se joue la conception que les différentes civilisations mondiales ont et auront de la nature, du progrès, de l’humanisme.
Ou bien le développement durable a, au fil des conférences de Stockholm – où il n’était pas encore identifié -, de Rio, de Johannesburg, de Copenhague, de Durban, acquis le rang d’un concept théorique et opératoire, d’une vraie proposition pour l’avenir, ou bien il doit aider à en forger un autre, utile pour ce passage si délicat que va devoir franchir l’humanité au XXIe siècle. Bettina Laville.
A la veille du vingtième anniversaire de la Conférence de Rio, et après vingt-cinq ans de déclinaisons diverses du développement durable, il nous paraît fondamental de nourrir intellectuellement cette notion par des approches issues du monde de la philosophie, de la science, de la culture, de la création – autrement dit, de « penser le développement durable ». Nous nous proposons d’alimenter une réflexion pour donner au développement durable un contenu véritablement civilisationnel.
Il ne s’agit pas d’un postulat de notre part, mais d’un questionnement : dans un monde où les idéologies ont disparu au profit d’une pensée hésitante, souvent unique, le développement durable nous semble un fil dont il faut tirer toutes les incarnations, les conséquences, les critiques. Car derrière cette notion se joue la conception que les différentes civilisations mondiales ont et auront de la nature, du progrès, de l’humanisme.
Ou bien le développement durable a, au fil des conférences de Stockholm – où il n’était pas encore identifié -, de Rio, de Johannesburg, de Copenhague, de Durban, acquis le rang d’un concept théorique et opératoire, d’une vraie proposition pour l’avenir, ou bien il doit aider à en forger un autre, utile pour ce passage si délicat que va devoir franchir l’humanité au XXIe siècle. Bettina Laville.