Revue des deux Mondes Décembre 2022-Janvier 2023
Sylvain Tesson le juste. Ses combats pour la liberté, la civilisation et l'Arménie

Par : Valérie Toranian
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  • Nombre de pages200
  • FormatGrand Format
  • Poids0.27 kg
  • Dimensions14,4 cm × 23,6 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-35650-269-8
  • EAN9782356502698
  • Date de parution07/12/2022
  • ÉditeurRevue des deux mondes

Résumé

Nous publions un inédit d'Orwell sur la cuisine britannique. L'auteur décrit avec beaucoup d'humour le régime alimentaire des classes moyennes, détaillant des plats traditionnels bien peu raffinés (gâteau à base de macaronis, "pudding épais" ...) et bien d'autres mets "qu'on aimerait passer sous silence" , "intolérables pour tout palais civilisé" ... Orwell donne à la fin de son texte des recettes de cuisine.
Avis aux amateurs ! Cet inédit est l'occasion pour nous de revenir sur les liens entre littérature et nourriture. De Rabelais à Marie Ndiaye en passant par Dumas, Balzac, Zola, Colette, Pagnol, la nourriture est une véritable source d'inspiration pour les écrivains. "Je vis de bonne soupe et non de beau langage" , disait Molière. Symbole social, élément de décor, métaphore des puissants (le combat des gras contre les maigres), la veine épicurienne irrigue la veine romanesque.
D'ailleurs, les prix littéraires ne sont-ils pas toujours associés, d'une manière ou d'une autre, à des dîners ou à des cocktails dînatoires ? Nous verrons pourquoi et comment les lettres et la gastronomie font bon ménage.
Nous publions un inédit d'Orwell sur la cuisine britannique. L'auteur décrit avec beaucoup d'humour le régime alimentaire des classes moyennes, détaillant des plats traditionnels bien peu raffinés (gâteau à base de macaronis, "pudding épais" ...) et bien d'autres mets "qu'on aimerait passer sous silence" , "intolérables pour tout palais civilisé" ... Orwell donne à la fin de son texte des recettes de cuisine.
Avis aux amateurs ! Cet inédit est l'occasion pour nous de revenir sur les liens entre littérature et nourriture. De Rabelais à Marie Ndiaye en passant par Dumas, Balzac, Zola, Colette, Pagnol, la nourriture est une véritable source d'inspiration pour les écrivains. "Je vis de bonne soupe et non de beau langage" , disait Molière. Symbole social, élément de décor, métaphore des puissants (le combat des gras contre les maigres), la veine épicurienne irrigue la veine romanesque.
D'ailleurs, les prix littéraires ne sont-ils pas toujours associés, d'une manière ou d'une autre, à des dîners ou à des cocktails dînatoires ? Nous verrons pourquoi et comment les lettres et la gastronomie font bon ménage.