Parlement[s] N° 26/2017-2
Paix, sociétés civiles et Parlements (fin XIXe-1939)

Par : Alexandre Niess
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay entre le 8 juillet et le 11 juillet
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 3 à 6 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages260
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.38 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-7535-5493-1
  • EAN9782753554931
  • Date de parution01/06/2017
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Si vis pacem para bellum, tel était l'adage qui prévalait encore à la veille de la Grande Guerre. Comment, dans ce contexte, défendre la paix, comment la préparer puis la promouvoir pendant et au lendemain d'une guerre totale que l'on voudrait croire être la Der des Der ? Un jeu complexe s'instaure entre les parlementaires et les sociétés civiles qu'ils sont censés représenter, en un moment crucial pour la conception et la mise en uvre de la Paix.
Alors que la sécurité collective trouve ses premières expressions avec les conférences internationales de désarmement et la création de la Société des Nations, les fascismes menacent de réviser par la force les traités de paix. Ce dossier, constitué d'études de cas et de commentaires de sources sur la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne avant, pendant ou après la Première Guerre mondiale, évalue la façon dont les parlements traduisent ou non les aspirations pacifistes de leurs sociétés civiles.
Réciproquement, il montre comment des opinions publiques pacifistes, y compris féministes, peuvent influencer leurs représentants et le débat démocratique. Des enjeux qui trouvent un cruel écho dans l'actualité.
Si vis pacem para bellum, tel était l'adage qui prévalait encore à la veille de la Grande Guerre. Comment, dans ce contexte, défendre la paix, comment la préparer puis la promouvoir pendant et au lendemain d'une guerre totale que l'on voudrait croire être la Der des Der ? Un jeu complexe s'instaure entre les parlementaires et les sociétés civiles qu'ils sont censés représenter, en un moment crucial pour la conception et la mise en uvre de la Paix.
Alors que la sécurité collective trouve ses premières expressions avec les conférences internationales de désarmement et la création de la Société des Nations, les fascismes menacent de réviser par la force les traités de paix. Ce dossier, constitué d'études de cas et de commentaires de sources sur la France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne avant, pendant ou après la Première Guerre mondiale, évalue la façon dont les parlements traduisent ou non les aspirations pacifistes de leurs sociétés civiles.
Réciproquement, il montre comment des opinions publiques pacifistes, y compris féministes, peuvent influencer leurs représentants et le débat démocratique. Des enjeux qui trouvent un cruel écho dans l'actualité.