Les cahiers du Griot N° 2, Octobre 2004
Initiative individuelle et formation. Contributions de la recherche, état des pratiques et étude bibliographique
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- Nombre de pages289
- PrésentationBroché
- Poids0.44 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN2-7475-7275-7
- EAN9782747572750
- Date de parution10/11/2004
- CollectionLogiques sociales
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre comble fort heureusement une lacune : après l'avoir lu nous en savons plus sur l'initiative individuelle de formation. Il éclaire ce que peut devenir la formation tout au long de la vie, ce que peut être concrètement l'exercice de ce droit individuel à la formation que les textes récents ouvrent. Il nous éclaire également sur les raisons idéologiques pour lesquelles tous ces actifs, qui sont un peu des pionniers de la formation tout au long de la vie, n'ont guère retenu jusqu'à présent l'attention des observateurs comme des décideurs.
L'interrogation sur l'initiative de l'individu dans la demande de formation n'est en effet pas une interrogation courante. Le sens commun considère implicitement que l'individu est favorable, est en accord avec le fait de suivre une formation qui ne peut que lui être bénéfique (c'est un droit acquis, c'est une faveur qui est consentie, c'est un progrès social...). Les vertus de la formation sont un héritage du siècle des Lumières dont il ne convient pas de remettre en cause le principe sous peine de retomber dans l'obscurantisme.
Mais au-delà ? Les thèses sur l'évolution du travail accordent a priori un rôle central à l'individu et à ses capacités d'initiative : acteur de sa formation, gestionnaire de sa carrière, entrepreneur de lui-même... quelle que soit sa situation. Derrière ces discours, il semble pourtant que l'initiative individuelle soit souvent très fortement encadrée quand elle n'est pas niée ou imposée. Il ne s'agit plus tant de se former pour gravir les échelons de la hiérarchie sociale que d'une nécessité sociale et professionnelle à l'injonction de laquelle il faut obéir.
Cet ouvrage fait partie d'un ensemble de publications du Conservatoire national des arts et métiers qui ont pour spécificité d'être les fruits d'une coopération entre chercheurs et documentalistes. Elles allient articles rédigés par des chercheurs et bibliographies analytiques.
L'interrogation sur l'initiative de l'individu dans la demande de formation n'est en effet pas une interrogation courante. Le sens commun considère implicitement que l'individu est favorable, est en accord avec le fait de suivre une formation qui ne peut que lui être bénéfique (c'est un droit acquis, c'est une faveur qui est consentie, c'est un progrès social...). Les vertus de la formation sont un héritage du siècle des Lumières dont il ne convient pas de remettre en cause le principe sous peine de retomber dans l'obscurantisme.
Mais au-delà ? Les thèses sur l'évolution du travail accordent a priori un rôle central à l'individu et à ses capacités d'initiative : acteur de sa formation, gestionnaire de sa carrière, entrepreneur de lui-même... quelle que soit sa situation. Derrière ces discours, il semble pourtant que l'initiative individuelle soit souvent très fortement encadrée quand elle n'est pas niée ou imposée. Il ne s'agit plus tant de se former pour gravir les échelons de la hiérarchie sociale que d'une nécessité sociale et professionnelle à l'injonction de laquelle il faut obéir.
Cet ouvrage fait partie d'un ensemble de publications du Conservatoire national des arts et métiers qui ont pour spécificité d'être les fruits d'une coopération entre chercheurs et documentalistes. Elles allient articles rédigés par des chercheurs et bibliographies analytiques.
Ce livre comble fort heureusement une lacune : après l'avoir lu nous en savons plus sur l'initiative individuelle de formation. Il éclaire ce que peut devenir la formation tout au long de la vie, ce que peut être concrètement l'exercice de ce droit individuel à la formation que les textes récents ouvrent. Il nous éclaire également sur les raisons idéologiques pour lesquelles tous ces actifs, qui sont un peu des pionniers de la formation tout au long de la vie, n'ont guère retenu jusqu'à présent l'attention des observateurs comme des décideurs.
L'interrogation sur l'initiative de l'individu dans la demande de formation n'est en effet pas une interrogation courante. Le sens commun considère implicitement que l'individu est favorable, est en accord avec le fait de suivre une formation qui ne peut que lui être bénéfique (c'est un droit acquis, c'est une faveur qui est consentie, c'est un progrès social...). Les vertus de la formation sont un héritage du siècle des Lumières dont il ne convient pas de remettre en cause le principe sous peine de retomber dans l'obscurantisme.
Mais au-delà ? Les thèses sur l'évolution du travail accordent a priori un rôle central à l'individu et à ses capacités d'initiative : acteur de sa formation, gestionnaire de sa carrière, entrepreneur de lui-même... quelle que soit sa situation. Derrière ces discours, il semble pourtant que l'initiative individuelle soit souvent très fortement encadrée quand elle n'est pas niée ou imposée. Il ne s'agit plus tant de se former pour gravir les échelons de la hiérarchie sociale que d'une nécessité sociale et professionnelle à l'injonction de laquelle il faut obéir.
Cet ouvrage fait partie d'un ensemble de publications du Conservatoire national des arts et métiers qui ont pour spécificité d'être les fruits d'une coopération entre chercheurs et documentalistes. Elles allient articles rédigés par des chercheurs et bibliographies analytiques.
L'interrogation sur l'initiative de l'individu dans la demande de formation n'est en effet pas une interrogation courante. Le sens commun considère implicitement que l'individu est favorable, est en accord avec le fait de suivre une formation qui ne peut que lui être bénéfique (c'est un droit acquis, c'est une faveur qui est consentie, c'est un progrès social...). Les vertus de la formation sont un héritage du siècle des Lumières dont il ne convient pas de remettre en cause le principe sous peine de retomber dans l'obscurantisme.
Mais au-delà ? Les thèses sur l'évolution du travail accordent a priori un rôle central à l'individu et à ses capacités d'initiative : acteur de sa formation, gestionnaire de sa carrière, entrepreneur de lui-même... quelle que soit sa situation. Derrière ces discours, il semble pourtant que l'initiative individuelle soit souvent très fortement encadrée quand elle n'est pas niée ou imposée. Il ne s'agit plus tant de se former pour gravir les échelons de la hiérarchie sociale que d'une nécessité sociale et professionnelle à l'injonction de laquelle il faut obéir.
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A propos de Madeleine Maillebouis
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