L'Année du Maghreb N° 21/2019-II
Quand l'Algérie proteste. Le Maghreb au prisme du "hirak" algérien
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- Nombre de pages420
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.64 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-271-12971-0
- EAN9782271129710
- Date de parution02/01/2020
- ÉditeurCNRS
Résumé
Comment qualifier le mouvement de protestation algérien ? Est-ce une révolution, une révolte, une rébellion, un soulèvement ? Difficile de répondre à cette question, bien que l'on trouve toutes ces notions dans la plupart des contributions présentées dans ce dossier spécial portant sur les manifestions algériennes de 2019. L'incertitude propre à la dynamique actuelle de l'action collective en Algérie rend aléatoire tout pronostic quant à son issue politique.
En revanche, ce mouvement offre l'occasion aux chercheurs en sciences sociales participant à ce numéro de L' Année du Maghreb de comparer l'expérience algérienne de la contestation aux mobilisations connues par la Tunisie et le Maroc depuis les " Printemps arabes " de 2011. Les diverses contributions présentées dans ce dossier spécial éclairent, à leur manière, différents pans de la réalité des mouvements de protestation en Algérie, en particulier, et au Maghreb, de manière générale.
Elles interpellent la sociologie politique des mobilisations quant à sa capacité à produire des schèmes interprétatifs des actions collectives. Elles constituent également un appel à la multiplication et à l'approfondissement des recherches sur l'Algérie qui demeure l'un des pays du Maghreb les moins étudiés par les sciences sociales.
En revanche, ce mouvement offre l'occasion aux chercheurs en sciences sociales participant à ce numéro de L' Année du Maghreb de comparer l'expérience algérienne de la contestation aux mobilisations connues par la Tunisie et le Maroc depuis les " Printemps arabes " de 2011. Les diverses contributions présentées dans ce dossier spécial éclairent, à leur manière, différents pans de la réalité des mouvements de protestation en Algérie, en particulier, et au Maghreb, de manière générale.
Elles interpellent la sociologie politique des mobilisations quant à sa capacité à produire des schèmes interprétatifs des actions collectives. Elles constituent également un appel à la multiplication et à l'approfondissement des recherches sur l'Algérie qui demeure l'un des pays du Maghreb les moins étudiés par les sciences sociales.
Comment qualifier le mouvement de protestation algérien ? Est-ce une révolution, une révolte, une rébellion, un soulèvement ? Difficile de répondre à cette question, bien que l'on trouve toutes ces notions dans la plupart des contributions présentées dans ce dossier spécial portant sur les manifestions algériennes de 2019. L'incertitude propre à la dynamique actuelle de l'action collective en Algérie rend aléatoire tout pronostic quant à son issue politique.
En revanche, ce mouvement offre l'occasion aux chercheurs en sciences sociales participant à ce numéro de L' Année du Maghreb de comparer l'expérience algérienne de la contestation aux mobilisations connues par la Tunisie et le Maroc depuis les " Printemps arabes " de 2011. Les diverses contributions présentées dans ce dossier spécial éclairent, à leur manière, différents pans de la réalité des mouvements de protestation en Algérie, en particulier, et au Maghreb, de manière générale.
Elles interpellent la sociologie politique des mobilisations quant à sa capacité à produire des schèmes interprétatifs des actions collectives. Elles constituent également un appel à la multiplication et à l'approfondissement des recherches sur l'Algérie qui demeure l'un des pays du Maghreb les moins étudiés par les sciences sociales.
En revanche, ce mouvement offre l'occasion aux chercheurs en sciences sociales participant à ce numéro de L' Année du Maghreb de comparer l'expérience algérienne de la contestation aux mobilisations connues par la Tunisie et le Maroc depuis les " Printemps arabes " de 2011. Les diverses contributions présentées dans ce dossier spécial éclairent, à leur manière, différents pans de la réalité des mouvements de protestation en Algérie, en particulier, et au Maghreb, de manière générale.
Elles interpellent la sociologie politique des mobilisations quant à sa capacité à produire des schèmes interprétatifs des actions collectives. Elles constituent également un appel à la multiplication et à l'approfondissement des recherches sur l'Algérie qui demeure l'un des pays du Maghreb les moins étudiés par les sciences sociales.



