Ecologie et Politique N° 61/2020
A contre-fil de la technologie : mesure et autonomie

Par : Estelle Deléage
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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.306 kg
  • Dimensions15,1 cm × 23,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-35687-742-0
  • EAN9782356877420
  • Date de parution20/11/2020
  • ÉditeurLe Bord de l'eau

Résumé

Les sociétés industrielles sont des (im)mondes technologiques. Les technologies y sont omniprésentes dans toutes les dimensions de l'existence et cette dépendance aux artefacts ne cesse de s'accentuer avec l'expansion des nouvelles technologies, servant la pseudo-transition énergétique et numérique. La neutralité de cette accélération technologique, comme de sa capacité à surmonter les nuisances industrielles, est un leurre.
Ne pas y succomber suppose au contraire de s'interroger sur ses conséquences environnementales et humaines, culturelles et politiques, et, plus généralement, sur la place qu'occupent les techniques dans les rapports villes-campagnes, en fonction du sens donné a la liberté, à la "vie bonne" et à la démocratie. La critique du progrès technologique porté par l'imaginaire de la maîtrise a donc pour corollaire le soutien aux projets cherchant développer des techniques dont la finalité serait le progrès de l'autonomie d'humanités réaffirmant leur appartenance à la Terre.
Les sociétés industrielles sont des (im)mondes technologiques. Les technologies y sont omniprésentes dans toutes les dimensions de l'existence et cette dépendance aux artefacts ne cesse de s'accentuer avec l'expansion des nouvelles technologies, servant la pseudo-transition énergétique et numérique. La neutralité de cette accélération technologique, comme de sa capacité à surmonter les nuisances industrielles, est un leurre.
Ne pas y succomber suppose au contraire de s'interroger sur ses conséquences environnementales et humaines, culturelles et politiques, et, plus généralement, sur la place qu'occupent les techniques dans les rapports villes-campagnes, en fonction du sens donné a la liberté, à la "vie bonne" et à la démocratie. La critique du progrès technologique porté par l'imaginaire de la maîtrise a donc pour corollaire le soutien aux projets cherchant développer des techniques dont la finalité serait le progrès de l'autonomie d'humanités réaffirmant leur appartenance à la Terre.