Chroniques de Port-Royal N° 49/2000
Port-Royal au miroir du XXe siècle

Par : Société des amis de Port-Royal

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  • Nombre de pages273
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7116-4295-X
  • EAN9782711642953
  • Date de parution26/06/2000
  • ÉditeurVrin

Résumé

" Un siècle d'ouverture ", c'est ainsi que Jean Mesnard, tirant les conclusions du colloque dont les Actes forment l'essentiel de ce numéro, caractérise l'attitude de notre siècle à l'égard de Port-Royal. En effet, si la tradition se maintient grâce à la famille Gazier et à la Société des Amis de Port-Royal, le développement de notre regard s'est prodigieusement accru et porté dans toutes les directions : romanciers, hommes de théâtre, diaristes se sont nourris de l'esprit du monastère, en même temps que philosophes ou théologiens.
Extension non seulement intellectuelle ou spirituelle, mais spatiale, des États-Unis au Japon. Il n'est plus possible - paradoxalement - d'isoler les religieuses ou les Solitaires : dans quelques mois l'important Dictionnaire de Port-Royal va montrer qu'il s'agit d'un phénomène tentaculaire qui a innervé tout le XVIIe siècle et dont les conséquences, à travers le XVIIIe et le XIXe, s'étendent jusqu'à nos jours.
" Un siècle d'ouverture ", c'est ainsi que Jean Mesnard, tirant les conclusions du colloque dont les Actes forment l'essentiel de ce numéro, caractérise l'attitude de notre siècle à l'égard de Port-Royal. En effet, si la tradition se maintient grâce à la famille Gazier et à la Société des Amis de Port-Royal, le développement de notre regard s'est prodigieusement accru et porté dans toutes les directions : romanciers, hommes de théâtre, diaristes se sont nourris de l'esprit du monastère, en même temps que philosophes ou théologiens.
Extension non seulement intellectuelle ou spirituelle, mais spatiale, des États-Unis au Japon. Il n'est plus possible - paradoxalement - d'isoler les religieuses ou les Solitaires : dans quelques mois l'important Dictionnaire de Port-Royal va montrer qu'il s'agit d'un phénomène tentaculaire qui a innervé tout le XVIIe siècle et dont les conséquences, à travers le XVIIIe et le XIXe, s'étendent jusqu'à nos jours.