On comprend donc que, si les souvenirs s'estompent, quelle qu'en soit la raison, y compris physiologique comme il est de règle, ou affective, ou organique comme dans la maladie d'Alzheimer, il soit difficile de s'inventer rétrospectivement un sens à son exeistence, une destinée issue de la remémoration des évènements de son passé ordonnés de manière à faire semblant de cohérence. La mémoire se conjugue toujours au présent.
La réméiniscence est une construction. C'est le présent qui donne sens aux épisodes de son passé.
On comprend donc que, si les souvenirs s'estompent, quelle qu'en soit la raison, y compris physiologique comme il est de règle, ou affective, ou organique comme dans la maladie d'Alzheimer, il soit difficile de s'inventer rétrospectivement un sens à son exeistence, une destinée issue de la remémoration des évènements de son passé ordonnés de manière à faire semblant de cohérence. La mémoire se conjugue toujours au présent.
La réméiniscence est une construction. C'est le présent qui donne sens aux épisodes de son passé.