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Marion Liéval

Profil

Marion Liéval n'a pas fini de compléter son profil.

Mes lectures favorites

Les grands classiques de la littérature anglaise et américaine (de Shakespeare à Steinbeck en passant par Austen et Faulkner), et d'une manière générale la littérature étrangère (Haruki Murakami, Jonathan Coe, Jonathan Franzen, Elena Ferrante...). La littérature jeunesse, et en particulier les beaux albums d'auteurs comme Anne Brouillard et sa "Grande Forêt".
Les grands classiques de la littérature anglaise et américaine (de Shakespeare à Steinbeck en passant par Austen et Faulkner), et d'une manière générale la littérature étrangère (Haruki Murakami, Jonathan Coe, Jonathan Franzen, Elena Ferrante...). La littérature jeunesse, et en particulier les beaux albums d'auteurs comme Anne Brouillard et sa "Grande Forêt".

Si je devais sauver un livre, ce serait...

A l'Est d'Eden de John Steinbeck
A l'Est d'Eden de John Steinbeck

Un livre qui m'a remué

Kinderzimmer, de Valentine Goby
Kinderzimmer, de Valentine Goby

Mes passions

La course à pied, le théâtre, la cuisine, les bons vins et les bons whiskeys
La course à pied, le théâtre, la cuisine, les bons vins et les bons whiskeys

Le pays où je rêve d'aller

Les Etats-Unis... au moment de la conquête de l'Ouest !
Les Etats-Unis... au moment de la conquête de l'Ouest !

Les derniers avis

Le rocher blanc
Avis posté le 2022-08-27
    Le rocher blanc
    Seul élément de permanence dans un monde en perpétuel bouleversement, repère spirituel pour des âmes en proie au tumulte, le Rocher Blanc est aussi a priori le seul point commun entre quatre histoires situées à quatre siècles différents. Des destins bousculés et tragiques, mais dont le Rocher Blanc semble faire ressortir toute l'humanité dans ce qu'elle a de meilleur - et dans toute sa folie désespérée. Une lecture déroutante, qui résonne longtemps après.
    Seul élément de permanence dans un monde en perpétuel bouleversement, repère spirituel pour des âmes en proie au tumulte, le Rocher Blanc est aussi a priori le seul point commun entre quatre histoires situées à quatre siècles différents. Des destins bousculés et tragiques, mais dont le Rocher Blanc semble faire ressortir toute l'humanité dans ce qu'elle a de meilleur - et dans toute sa folie désespérée. Une lecture déroutante, qui résonne longtemps après.
    La ligne de nage
    Avis posté le 2022-08-27
      La ligne de nage
      La nage comme une respiration, une nécessité, un moyen de rassembler ses pensées et d'affronter la vie - quand soudain, une fissure au fond de la piscine, métaphore de la mémoire qui s'effrite, vient tout dérégler. Un roman surprenant, au style hypnotique, plein d'un humour et d'une ironie distillés par petites touches, empreint également de tendresse et de mélancolie.
      La nage comme une respiration, une nécessité, un moyen de rassembler ses pensées et d'affronter la vie - quand soudain, une fissure au fond de la piscine, métaphore de la mémoire qui s'effrite, vient tout dérégler. Un roman surprenant, au style hypnotique, plein d'un humour et d'une ironie distillés par petites touches, empreint également de tendresse et de mélancolie.
      Le coeur ne cède pas
      Avis posté le 2022-08-27
        Le coeur ne cède pas
        Après avoir dévoré les presque 2000 pages du Dossier M, quelle ne fut pas ma joie d'apprendre que Grégoire Bouillier avait récidivé avec Le cœur ne cède pas - "seulement" 912 pages, malheureusement. Quel plaisir de se promener dans les méandres de la pensée arborescente de l'auteur, de s'y perdre, de se laisser surprendre et dérouter. Comment parler des livres de Grégoire Bouillier ? Un art consommé de la digression, qui va pourtant droit au but, touche droit au cœur. Une érudition jamais pesante. Un humour ravageur. Dans Le cœur ne cède pas, à partir d'un fait divers macabre et fou, Bouillier nous entraîne dans une entreprise elle aussi un peu folle, un tantinet obsessionnelle, mêlant l'autobiographie à la biographie, brouillant les pistes entre réalité et fiction en se jouant de tous les codes avec un enthousiasme presque enfantin, et en même temps un talent qui tient du génie. Si je ne devais retenir qu'un livre de cette rentrée littéraire, ce serait assurément celui-ci.
        Après avoir dévoré les presque 2000 pages du Dossier M, quelle ne fut pas ma joie d'apprendre que Grégoire Bouillier avait récidivé avec Le cœur ne cède pas - "seulement" 912 pages, malheureusement. Quel plaisir de se promener dans les méandres de la pensée arborescente de l'auteur, de s'y perdre, de se laisser surprendre et dérouter. Comment parler des livres de Grégoire Bouillier ? Un art consommé de la digression, qui va pourtant droit au but, touche droit au cœur. Une érudition jamais pesante. Un humour ravageur. Dans Le cœur ne cède pas, à partir d'un fait divers macabre et fou, Bouillier nous entraîne dans une entreprise elle aussi un peu folle, un tantinet obsessionnelle, mêlant l'autobiographie à la biographie, brouillant les pistes entre réalité et fiction en se jouant de tous les codes avec un enthousiasme presque enfantin, et en même temps un talent qui tient du génie. Si je ne devais retenir qu'un livre de cette rentrée littéraire, ce serait assurément celui-ci.
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