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  • Nombre de pages646
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,6 cm
  • ISBN978-2-253-16388-6
  • EAN9782253163886
  • Date de parution02/01/2015
  • CollectionLe livre de poche. Policier
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Rude journée pour le commissaire Yeruldelgger Khaltar Guichyguinnkhen. A l'aube, il apprend que trois Chinois ont été découpés au cutter dans une usine près d'Oulan-Bator. Quelques heures plus tard, dans la steppe, il déterre le cadavre d'une fillette aux boucles blondes agrippée à son tricycle rose. Il y avait la Suède de Mankell, l'Islande d'Indridason, l'Ecosse de Rankin, il y a désormais la Mongolie de Manook ! Une maîtrise époustouflante pour le polar le plus primé et le plus dépaysant de tous les temps.
Yeruldelgger est le seul polar triplement récompensé : le prix des lecteurs Quais du polar/20 minutes, le prix SNCF 2014 et le prix des lectrices de Elle (polar). Coup d'essai et coup de maître. 20 minutes. Un héros au nom imprononçable mais inoubliable. Elle. En bonus, le premier chapitre de la suite des aventures du commissaire Yerudelgger à paraître chez Albin Michel, et une préface inédite de l'auteur.
Rude journée pour le commissaire Yeruldelgger Khaltar Guichyguinnkhen. A l'aube, il apprend que trois Chinois ont été découpés au cutter dans une usine près d'Oulan-Bator. Quelques heures plus tard, dans la steppe, il déterre le cadavre d'une fillette aux boucles blondes agrippée à son tricycle rose. Il y avait la Suède de Mankell, l'Islande d'Indridason, l'Ecosse de Rankin, il y a désormais la Mongolie de Manook ! Une maîtrise époustouflante pour le polar le plus primé et le plus dépaysant de tous les temps.
Yeruldelgger est le seul polar triplement récompensé : le prix des lecteurs Quais du polar/20 minutes, le prix SNCF 2014 et le prix des lectrices de Elle (polar). Coup d'essai et coup de maître. 20 minutes. Un héros au nom imprononçable mais inoubliable. Elle. En bonus, le premier chapitre de la suite des aventures du commissaire Yerudelgger à paraître chez Albin Michel, et une préface inédite de l'auteur.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
.Furet du Nord Villeneuve d'Ascq
4/5
YERULDELGGER
Venez chevaucher avec le sombre inspecteur Yeruldelgger à travers la steppe et la société mongole, afin de résoudre un meurtre sauvage. Magistral !
Venez chevaucher avec le sombre inspecteur Yeruldelgger à travers la steppe et la société mongole, afin de résoudre un meurtre sauvage. Magistral !
Anne-Laure D.Decitre Ecully
5/5
Meurtre en Mongolie
Un thriller sans temps mort en terre Mongole, une immersion au cœur d'une culture riche, tiraillée entre traditions et modernité, un commissaire opiniâtre et impliqué qu'on aime instantanément, une intrigue passionnante qui nous trimballe de la steppe sauvage aux rues oppressantes d'Oulan-Bator.... Voici les ingrédients de ce polar haletant, mené de main de maître par Ian Manook. J'ai adoré découvrir les us et coutumes de ce pays magnifique à travers l'enquête du fascinant Yeruldelgger !
Un thriller sans temps mort en terre Mongole, une immersion au cœur d'une culture riche, tiraillée entre traditions et modernité, un commissaire opiniâtre et impliqué qu'on aime instantanément, une intrigue passionnante qui nous trimballe de la steppe sauvage aux rues oppressantes d'Oulan-Bator.... Voici les ingrédients de ce polar haletant, mené de main de maître par Ian Manook. J'ai adoré découvrir les us et coutumes de ce pays magnifique à travers l'enquête du fascinant Yeruldelgger !
  • Enquête
  • violence
  • Mongolie
  • Intense
  • Steppe
  • traditions
  • egouts
  • frontières

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 13 notes dont 11 avis lecteurs
La Mongolie comme vous ne l'avez jamais lue !
Ian Manook est un français qui a le coeur en Mongolie. Il nous partage sa passion par le Thriller. Et tout n'est pas rose à Oulan-Bator : Cadavre de fillette enterré dans la steppe, massacres racistes, tensions avec le voisin chinois... Sur un rythme haletant, suivez le commissaire Yeruldelgger et sa clique. Vibrez... et voyagez ! Guillaume
Ian Manook est un français qui a le coeur en Mongolie. Il nous partage sa passion par le Thriller. Et tout n'est pas rose à Oulan-Bator : Cadavre de fillette enterré dans la steppe, massacres racistes, tensions avec le voisin chinois... Sur un rythme haletant, suivez le commissaire Yeruldelgger et sa clique. Vibrez... et voyagez ! Guillaume
  • Mongolie
  • thriller
5/5
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Pour un coup de maître c’est un coup de maître. Avec son premier roman Yeruldelgger Ian Manook signe un thriller qui nous entraîne jusque dans les plaines de Mongolie. Une enquête à faire pâlir les reporters du National Geographic où le commissaire Yeruldelgger doit faire la lumière sur l’étrange découverte qu’ont fait des nomades Mongols dans la steppe, le corps enfoui d’une petite fille enterrée sous son vélo. Le policier a lui même perdu sa fille dans un assassinat qui ne fut jamais élucidé, cette triste tombe d’enfant constitue aussi pour lui le gouffre d’un bonheur disparu. Vilains draps en vérité tachés par la cupidité des hommes et la sauvagerie qui en est généralement la conséquence directe. L’écriture de Manook sait poser le décor et nous entraîner dans les méandres d’une enquête où son héros va devoir affronter des puissances sans pitié qui veulent mettre la main sur son pays. L’écriture est sobre, clinique et aussi tranchante qu’un scalpel : « Il était vidé, épuisé, comme essoré par cette vie de flic qu’il ne maîtrisait plus vraiment. Ce matin à six heures on l’envoyait enquêter sur trois cadavres découpés au cutter dans le local des cadres d’une usine chinoise dans la banlieue d’Oulan-Bator, et cinq heures plus tard il était dans la steppe à ne même pas comprendre pourquoi on l’avait envoyé jusque-là. Il aurait de loin préféré rester en ville pour enquêter sur les cadavres des Chinois avec son équipe. Il savait par expérience et par goût de l’adrénaline que la première heure sur une scène de crime était déterminante. Il n’aimait pas trop ne pas y être … » On raconte une anecdote sur Ian Manook qui en dit long sur le personnage : il aurait traversé tous les Etats-Unis d’Est en Ouest jusqu’en Californie pour assister au festival de Woodstock et à son arrivée à l’heure dite au moment où les amplis commençaient à rugir il s’aperçoit qu’en fait Woodstock se trouve en réalité sur la côte Est … On aurait donc pu légitimement s’inquiéter de le voir ouvrir sa carrière romanesque sur un roman se déroulant à l’autre bout du monde. On aurait tort car ce thriller nous plonge dans l’univers des grandes steppes, un univers où les champs de force sont telluriques et où un petit flic ne pèse pas grand chose contre des intérêts qui le dépassent. Cependant il ne faut pas négliger une donnée essentielle, la Mongolie est le pays de Gengis Khan, un pays où un homme qui a tout perdu est bien plus dangereux que celui qui a encore quelque chose à perdre. Le roman est aussi impitoyable que ceux contre lesquels Yeruldelgger doit lutter. Il nous offre une plongée dans un univers trouble, terrible et totalement immoral mais notre commissaire sait se battre jusqu’au bout dans un pays où tout le monde possède un Iphone comme partout ailleurs dans le monde. Reste que la Mongolie possède ses charmes et ils se dévoilent tout au long d’un récit haletant : « Yeruldelgger apprécia chaque seconde de cette longue chevauchée dans les espaces sauvages du Khentii. La montagne avait été façonnée en longues ravines par mille rivières disparues. La piste sinueuse cherchait les passes et les failles pour aller d’un vallon à l’autre. Déjà la taïga creusait de vaste clairières fleuries dans l’ombre sombre des forêts de pins et de mélèzes. De temps en temps, il apercevait une yourte blanche posée en pleine nature. Une femme en deel de satin bleu qui s’occupait des moutons, un homme immobile à cheval et sa longue urga à l’horizontale sous le bras qui les regardait passer, des enfants tannés au soleil froid qui couraient après un chien jaune à la queue basse. Ou bien ils croisaient sur une moto un homme en habits traditionnels casqué de cuir comme un pionnier de l’aviation… » Il y a quelque chose de profondément rafraîchissant à suivre les pistes mongoles qui débouchent sur les bas-fonds d’Oulan-Bator. Essayez c’est beaucoup moins cher qu’un billet d’avion… ARCHIBALD PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
Pour un coup de maître c’est un coup de maître. Avec son premier roman Yeruldelgger Ian Manook signe un thriller qui nous entraîne jusque dans les plaines de Mongolie. Une enquête à faire pâlir les reporters du National Geographic où le commissaire Yeruldelgger doit faire la lumière sur l’étrange découverte qu’ont fait des nomades Mongols dans la steppe, le corps enfoui d’une petite fille enterrée sous son vélo. Le policier a lui même perdu sa fille dans un assassinat qui ne fut jamais élucidé, cette triste tombe d’enfant constitue aussi pour lui le gouffre d’un bonheur disparu. Vilains draps en vérité tachés par la cupidité des hommes et la sauvagerie qui en est généralement la conséquence directe. L’écriture de Manook sait poser le décor et nous entraîner dans les méandres d’une enquête où son héros va devoir affronter des puissances sans pitié qui veulent mettre la main sur son pays. L’écriture est sobre, clinique et aussi tranchante qu’un scalpel : « Il était vidé, épuisé, comme essoré par cette vie de flic qu’il ne maîtrisait plus vraiment. Ce matin à six heures on l’envoyait enquêter sur trois cadavres découpés au cutter dans le local des cadres d’une usine chinoise dans la banlieue d’Oulan-Bator, et cinq heures plus tard il était dans la steppe à ne même pas comprendre pourquoi on l’avait envoyé jusque-là. Il aurait de loin préféré rester en ville pour enquêter sur les cadavres des Chinois avec son équipe. Il savait par expérience et par goût de l’adrénaline que la première heure sur une scène de crime était déterminante. Il n’aimait pas trop ne pas y être … » On raconte une anecdote sur Ian Manook qui en dit long sur le personnage : il aurait traversé tous les Etats-Unis d’Est en Ouest jusqu’en Californie pour assister au festival de Woodstock et à son arrivée à l’heure dite au moment où les amplis commençaient à rugir il s’aperçoit qu’en fait Woodstock se trouve en réalité sur la côte Est … On aurait donc pu légitimement s’inquiéter de le voir ouvrir sa carrière romanesque sur un roman se déroulant à l’autre bout du monde. On aurait tort car ce thriller nous plonge dans l’univers des grandes steppes, un univers où les champs de force sont telluriques et où un petit flic ne pèse pas grand chose contre des intérêts qui le dépassent. Cependant il ne faut pas négliger une donnée essentielle, la Mongolie est le pays de Gengis Khan, un pays où un homme qui a tout perdu est bien plus dangereux que celui qui a encore quelque chose à perdre. Le roman est aussi impitoyable que ceux contre lesquels Yeruldelgger doit lutter. Il nous offre une plongée dans un univers trouble, terrible et totalement immoral mais notre commissaire sait se battre jusqu’au bout dans un pays où tout le monde possède un Iphone comme partout ailleurs dans le monde. Reste que la Mongolie possède ses charmes et ils se dévoilent tout au long d’un récit haletant : « Yeruldelgger apprécia chaque seconde de cette longue chevauchée dans les espaces sauvages du Khentii. La montagne avait été façonnée en longues ravines par mille rivières disparues. La piste sinueuse cherchait les passes et les failles pour aller d’un vallon à l’autre. Déjà la taïga creusait de vaste clairières fleuries dans l’ombre sombre des forêts de pins et de mélèzes. De temps en temps, il apercevait une yourte blanche posée en pleine nature. Une femme en deel de satin bleu qui s’occupait des moutons, un homme immobile à cheval et sa longue urga à l’horizontale sous le bras qui les regardait passer, des enfants tannés au soleil froid qui couraient après un chien jaune à la queue basse. Ou bien ils croisaient sur une moto un homme en habits traditionnels casqué de cuir comme un pionnier de l’aviation… » Il y a quelque chose de profondément rafraîchissant à suivre les pistes mongoles qui débouchent sur les bas-fonds d’Oulan-Bator. Essayez c’est beaucoup moins cher qu’un billet d’avion… ARCHIBALD PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
4/5
Un nouvel héros est né
Dès les premières pages, nous sommes pris par ce livre, captivé tout d'abord par la plume de Ian Manook, puis par cette contrée lointaine qu'est la Mongolie, sans oublier le charismatique Yeruldelgger. Il est toujours difficile de parler d'un polar sans risquer de trop en dévoiler. L'intrigue débute non pas par une scène de crime, mais deux, l'une tout aussi horrible que l'autre, pour différentes raisons, je vous laisse la surprise de les découvrir par vous-même. Ah la Mongolie, quel dépaysement total que nous propose cet auteur. C'est un territoire peu usité en littérature policière (il me semble mais je ne suis pas une référence), on ne découvre pas uniquement de beaux paysages. On y rencontre des Hommes, une nation, des traditions ancestrales, une société sans fard. La folie des Hommes est présente dans chaque contrée, la Mongolie n'échappe malheureusement pas à la règle. Le second atout du titre est son héros, Yeruldelgger, un commissaire dévasté par l'assassinat de sa propre fille. Cet homme est à bout moralement, il devient enragé, encore plus incontrôlable. Il s'oblige à fermer son cœur aux personnes qui lui sont proches, pour se protéger, mais surtout pour les protéger. On ne peut rester insensible à ce grand gaillard qui se révèle être un excellent flic, et un homme de confiance. Ce livre n'a que peu de temps mort, on est pris par les chapitres, par l'enquête, par les révélations et les questions qui en découlent. On ne peut s'empêcher d'établir des hypothèses. Ian Manook ne nous épargne rien, il ne se moque pas de nous, il sait bien que ses lecteurs ne sont pas nés de la dernière pluie. Il nous propose un titre adulte, sans concession, sans faux-semblant car la vie est ainsi. Pourquoi enjoliver la violence des hommes, leur stupidité?
Dès les premières pages, nous sommes pris par ce livre, captivé tout d'abord par la plume de Ian Manook, puis par cette contrée lointaine qu'est la Mongolie, sans oublier le charismatique Yeruldelgger. Il est toujours difficile de parler d'un polar sans risquer de trop en dévoiler. L'intrigue débute non pas par une scène de crime, mais deux, l'une tout aussi horrible que l'autre, pour différentes raisons, je vous laisse la surprise de les découvrir par vous-même. Ah la Mongolie, quel dépaysement total que nous propose cet auteur. C'est un territoire peu usité en littérature policière (il me semble mais je ne suis pas une référence), on ne découvre pas uniquement de beaux paysages. On y rencontre des Hommes, une nation, des traditions ancestrales, une société sans fard. La folie des Hommes est présente dans chaque contrée, la Mongolie n'échappe malheureusement pas à la règle. Le second atout du titre est son héros, Yeruldelgger, un commissaire dévasté par l'assassinat de sa propre fille. Cet homme est à bout moralement, il devient enragé, encore plus incontrôlable. Il s'oblige à fermer son cœur aux personnes qui lui sont proches, pour se protéger, mais surtout pour les protéger. On ne peut rester insensible à ce grand gaillard qui se révèle être un excellent flic, et un homme de confiance. Ce livre n'a que peu de temps mort, on est pris par les chapitres, par l'enquête, par les révélations et les questions qui en découlent. On ne peut s'empêcher d'établir des hypothèses. Ian Manook ne nous épargne rien, il ne se moque pas de nous, il sait bien que ses lecteurs ne sont pas nés de la dernière pluie. Il nous propose un titre adulte, sans concession, sans faux-semblant car la vie est ainsi. Pourquoi enjoliver la violence des hommes, leur stupidité?